La forêt

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Shérif :

J'étais assis à mon bureau comme d'habitude quand ma radio commençait à grésiller.

- ici Unité 5, chérif vous êtes là ?

- Ici le shérif qu'est ce qu'il ya ?

- Il y a un homme près de Hellroad et Gransonboulevard, il est blessé et inconscient.

- J'envoie une unité la bas pour vous aidez.

Je me leva de ma chaise en faisant attention à ne pas me taper les jambes à mon bureau. J'alla vers la porte, l'ouvrit et commença à crier le nom de mon adjoint.

- Parrish !

Il arriva en détalent de son petit bureau au coin de la pièce.

- Qu'y a-t-il shérif Stilinski ?

- Il y a une poursuite près de Hellroad et Gransonboulevard. Envoyé une équipe en renfort et vous aussi, vous serez avec eux.

Il me dit oui de la tête et commençait à préparer son équipe. Quand à moi je me retourne pour aller dans mon bureau quand un jeune homme entre à folle allure dans l'office.

Stiles :

J'étais épuisé d'avoir couru pour voir mon père. Quand je suis arrivé on aurait dit qu'il me dévisageait.

- Stiles ! Qu'est-ce que tu fous ici ?!

- Scott à tracer une piste, il y aurais une choisi dans les bois.

Il me prit par Le Bras et m'emmena dans son bureau vitré. J'expliquai tout, depuis eichen house.

- Attends quoi, une cré... créature ?

Je lui fit un signe de la tête. Il s'affala sur sa chaise, sous le choc. Il me regarde avec de grands yeux, des yeux de merlan fris 😂. Mais avant qu'il ne dise quoi que se soit, mon portable sonna dans ma poche. Je le prit et vu que c'était Lydia, je décrocha donc tout de suite.

- Lydia, alors vous avez trouvé quelque chose ?

- Stiles vient tout de suite à l'ancienne maison des Hale !

Elle raccrocha subitement. Je regarde mon père et je suis ressorti en courant par là où j'étais rentré.

Lydia :

Je relève les yeux de mon téléphone et regarde encore une fois la porte rouge à moitié brûlée de la maison des Hale.

Je fus rejoint quelques dizaines de minutes plus tard par Scott et la bande. Ils se garèrent en contre bas de l'entrée et me rejoignirent.

- Mais c'est quoi ça ? Demanda Allison

Scott examina de plus près l'étrange symbole qui ornait cette planche de bois calciné. Styles fit de même mais aucun d'eux ne sut dire de quoi il s'agissait.

Je décide alors de m'assoir sur le rebord de la terrasse extérieure afin de réfléchir car il me semble avoir déjà vue quelque chose qui ressemble à quelque peu à cette peinture. Je n'en avais pas parlé au autres car, comme je le sais si bien, je prédis la mort et très souvent, ça se réalise.

- Lydia ? Ça va

Je me retourne et vit Stiles, accroupis, sa main sur mon épaule droite. Je le regarde droit dans les yeux et lui dit :

- Oui ça va.

Il haussa alors les épaules en acquiesçant et repartit voir Scott, Allison et Malia.

Malia :

Je m'étais un peu écarté du groupe afin d'observer les bois et de humer l'air. Mon 6e sens de coyote garou s'affolait toujours dans cette forêt ( c'est peut-être parce que c'est là où ma mère et ma petite sœur sont mortes )

- Malia ?

Je me retourne et vis Stiles à quelques mètres de moi

- Oui ?

Lui fit-je en ouvrant un peu les bras ainsi que les mains.

- qu'est ce que tu veux ?

il fit quelques pas à reculons et commença à me parler sur une voix qui ressemblait trait pour trait au Stiles terrifié la première fois qu'il m'a vue sous ma forme de coyote.

- tu semblait entrain de sentir quelque chose, Scott m'a demandé de venir te demander si tu avais potentiellement ...

- non, je ne fait qu'observer le paysage banane.

- ah ok bah je vais retourner voir les autres.

il partit et je continua à humer l'air environnant cette maison moche et sans vie.

???:

Ces gamins n'ont fait que me déranger dans ma mission. J'était en couverture pour le compte d'un personnage très puissant et extrêmement influenceur dans cette région de l'Amérique.

Ils étaient enfin partis, je me dirigeai donc vers mon objectif. Cette maison me rappelais pas mal de souvenir. J'y venais dans mon enfance, autrefois il y avait une famille qui y vivait mais elle est morte dans des circonstances étranges. 

Je me rapprochai doucement vers cette ruine tout en veillant à ne pas faire de bruit. Arrive sur le perron, je commençai à tourné la poigne métallique de la porte en bois brûlé. Ouverte, je m'engouffrai dans cette maison qui jadis, respirait un air de famille.

En tournant à gauche, je me retrouva dans une grande salle remplie de poussière. Les quelques rayons de la lune qui me servaient d'éclairage passaient par une petite ouverture sur le mur en face de moi. De grandes toiles d'araignée était tissées au quatre coins de la pièce.

Je me remémorai alors les mots de mon employeur:

- va dans le salon, et cherche une latte de parquet qui bouge. Retire la et prend ce qu'elle cache. SURTOUT NE REGARDE PAS CE QU'IL Y A DEDANS !!!!!

Je commençai alors à la chercher. Être à quatre pattes était je pense la meilleure technique pour toucher les lattes carbonisées. Au bout d'une dizaine de minute, au fond du « salon », près du canapé, je découvris la fameuse latte. Je pris les extrémités avec mes ongles et la déplaça de sa place.

Je devinai alors ce qu'elle dissimulait. Au fond, il y avait une boîte de 20 cm je pense en acier avec une initiale grave sur le couvercle « H ».

Je la pris vite et ressortit rapidement car j'avais cru qu'une chose m'espionnait. Je sortit mon téléphone après quelques mètres à l'écart de la maison. Je composai un numéro et posa mon portable sur mon oreille.

- Dring, Dring ... alors vous l'avez ?

- Oui M Hale je l'ai.

L'homme à abattreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant