Chapitre 42

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   Je ne pouvais plus rester avec son cadavre, alors je suis allé dehors.

   J'ai respiré l'air frais que dégageait la nuit. Il y avait des milliards d'étoiles dans le ciel. Face à ces multitudes de lumières brillantes, je ne me sentais pas mal à l'aise. Les étoiles sont des astres qui me fascinent. Elles sont là, ne disent rien, ne jugent pas, ne se plaignent pas. Elles se contentent juste d'observer sans arrières pensées, jusqu'au jour où leur scintillante lumière s'éteint, sans un bruit, sans tristesse.

Journal d'un humainWhere stories live. Discover now