Ton odeur m'a parfumé

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Et puis il commença à prouver, par un simple geste.

Je sors de la chambre à l'entente de bruits.

Je cherche du regard, mais personne.

Je vais à l'arrière au jardin et

Moi : ALI ???

Ali : wesh grosse tête. Sourit-il.

Je vais vers lui en souriant et on se tcheque.

Moi : comment tu dates !

Moi : ça va depuis ?

Ali : tranquille Elhamdulilah et toi ?

Moi : ça va ça va.

Je le regarde.

Ali : tu veux quoi ?

Moi : t'étais à l'hôpital, ca va mieux ?

Ali : ah ça, t'inquiète y'a rien. C'est passé.

Moi : hm.

Il range.

Moi : j't'aide.

Je l'aide pour les cartons.

Ali : zebi tu marches on dirait t'es constipée.

Moi : ferme ta respiration c'est lourd.

Il pete de rire.

Moi : vsi regarde.

Je me remets bien en tenant le carton et fais un défilé de miss.

Ali : tu crois t'as dead ça ?

Moi : j'ai clairement, dead ça.

Ali : tema la bogossitude.

Il fait un défilé éclaté.

Moi : c'est pour ça t'arrives pas a gerer les meufs ptit chou ?

Ali : ferme ton nez.

Moi : "ferme ton nez" riais-je.

Ali : cours.

Moi : tu vas faire q-AAAAAAA.

Je me mets à courir autour de la maison.

Je me cogne contre quelqu'un.

Lui : Toiiii ????

Moi : oh non, pas toi !

Ali : merci Rohat.

Moi : Ali tu sais bien t'es le meilleur.

Ali : trop tard.

Il allait me mouiller avec la bouteille, mais je vais derrière Rohat et il se ramasse tout.

Rohat : purée y'a le gout de grenadine.

Ali : c'est de l'essence bête type.

Moi : t'es au courant tu vas dead ?

Rohat : vous êtes des sheytans.

Moi : bon, il reste encore des cartons.

On va ranger.

Moi : y'a quoi dedans ?

Rohat : des chatons.

Moi : sérieux ?

Ali : rien de ouf.

Moi : j'vais ouvrir alors.

Je m'apprête à ouvrir, mais Ali me stoppe.

Ali : vasi fais rien c'est mieux, en plus c'est lourd.

Moi : nan ça va, laisse moi.

Rohat : têtue va.