Ton odeur m'a parfumé

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Një lule sa herë që më mungon, një kopsht me aromën që ti don.

Il vient vers moi et me demande de lever les bras.

Je le fais et il m'enfile le tee-shirt sur mon pull.

T'facon il est tellement large, ca serre meme pas.
Il prend ma tete entre ses mains et me depose un bisous sur le front.

Amir : fais nous gagner.

J'ouvre grand la bouche et je tape son torse. Il lache un rire et se met à courir pour rejoindre son équipe. Ouioui, parce que je suis dans l'équipe adverse.

Moi : eh les gars jouez bien faut gagner la hophophop

Ils me regardent en mode "elle se fout de nos gueules ?"

Moi : pffff, aller les nullos

Je me mets face a Amir et le regarde mal.

Le jeu commence.

Amir me provoque avec la balle sah j'peux pas.

Je suis contre lui, derrière et j'essaye de l'attraper.

Moi : Amir orh !

Il continue a me fatiguer. Je pose mon bras autour de lui et m'arrête.

Moi : t'as vite oublié qui est la meuf avec qui tu joues

Amir : provocation la, penalty

Moi : non, juste petit rappel

Amir se concentre sur moi alors les gars prennent la balle et marquent. Je le lache et cours vers mon équipe en hurlant.

Moi : EH OUAIS MA GUEULE C'EST NOUS LES BOSS

On se tcheque tous.

Ali : t'es la best

Type 1 : objection ! Tu n'as pas le droit d'utiliser les gens par sentiments

Type 2 : tout a fait d'accord, vous avez fait perturber notre capitaine

Moi : euh non, j'essayais juste d'attraper la balle

Type 1 : faux, vous lui parliez

Rohat : étant donné que les femmes sont des sorcières, je partage l'avis de mes camarades

Moi : Amir ? Le regardais-je.

Il leve les bras et dit rien.

Type 3 : PAHHHHHHH choqué la, pourquoi personne filme ?

Type 1 : c'est Amir meme ?

Rohat : eh les gars réveillez vous cette meuf l'a rendu malade faut faire une pétition pour la faire disparaître

Moi : non, il est bien la et toi tais toi

Amir : eh asi fermez la et jouez

On joue encore et franchement j'suis pliée, c'est pour me tuer ! Y'a penalty donc tout l'monde crie mon prenom pour que j'marque.

Le goalman me fait des signes de mains, qu'il me laisse carement la place de marquer. C'est vraiment des batards ! Bon 1...2...3 !

Je tire et marque, ils hurlent tous et m'entourent. J'vais m'étouffer c'est des gros fous !

Amir : OOOO ELOIGNEZ VOUS D'MA FEMME OU J'VOUS *

[...]

Moi : c'est bon lachez moi purée !

Enfin ils me lachent, j'ai crû mourir.

Leart : ma femme, ma vie, mon -

Moi : toi j'te jure tais toi j'ai deja assez mal au crane