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𝐊𝐚𝐲𝐥𝐞𝐞 𝐖𝐢𝐥𝐥𝐢𝐚𝐦𝐬ღ

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𝐊𝐚𝐲𝐥𝐞𝐞 𝐖𝐢𝐥𝐥𝐢𝐚𝐦𝐬



je regardais en silence les voitures passer devant les vitres de la voiture noir dans laquelle Marcus m'avait gentiment proposer de me raccompagner avant d'aller à son entrainement matinal. Il était onze heure. Je soupirai un grand coup en m'imaginant le regard de mon père lorsque je serais rentré, je ne voulais en aucun cas revoir son visage, même avec le plus grand respect que j'avais pour lui.

- t'as pas l'air bien. il me faisait remarquer, cassant cet épais silence.

par le rétroviseur, je pouvais voir qu'il me regardait déjà depuis quelques secondes avant que ses yeux ne se reposent une nouvelle fois sur la route bondée habituelle des matins de Manchester. Il soufflait silencieusement en s'enfonçant dans son siège. Nous avions été obligés de nous arrêter à cause de bouchons, putain qu'est ce que je détestais l'heure de pointe.

- si, si ça va. je savais qu'il me croyait encore moins que ce que moi je croyais mais ne posait pas plus de question. L'atmosphère était glaciale pour je ne sais quelle raison. J'étais simplement fatigué et, à chaque mouvement, mon dos me faisait mal. Je ne voudrais pas accuser Marcus, mais je sais que il n'y est pas totalement innocent.

- c'est ta vraie texture de cheveux ?

mes yeux se levèrent une nouvelle fois vers les siens, laissant mes doigts se trituraient sans mon regard persistant dessus. Je hochai simplement ma tête de haut en bas, pitié, qu'on me sorte de cet enfer

- ouais.

- j'aime bien. il dit juste, son regard se reconcentrant sur la route qui commençait à se dégager. J'esquissai un léger sourire à peine visible, resserrant les lacets du pull qu'il m'avait prêté pour cacher mon visage qui prenait un air niais. Je savais que si je laissais voir mes pommettes se former cause à mon sourire, il allait de nouveau prendre son air narquois. J'aimais bien son caractère du matin, il ne parlait pas trop, n'avait pas son foutu air provocateur sur son visage. Il était pour une fois supportable.

je ne répondu rien, je le laissais conduire jusqu'à une adresse vague que je lui avais donné pour ne pas qu'il puisse voir ma maison. Je n'avais jamais ramené personne chez moi juste par peur qu'il découvre le secret de toute ma famille. J'avais honte d'où je venais, je ne laissais personne trop pénétrer dans ma vie.

le trajet se fut silencieux jusqu'à l'arrivée de la rue sombre dans laquelle je lui avais demandé de m'accompagner. Il regardait les alentours d'un air intéressé, surement pour voir où pouvait être planqué ma maison.

- tu crois peut-être que je vais t'emmener chez moi ? je riais nerveusement en le voyant disposer ses yeux dans tous les alentours de cette rue. Il les disposa finalement sur moi. Je prenais mon sac à main et ouvris la porte

Mafiabulous: l'éveil de la libertéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant