Meant to be yours- Dabi x Keigo

Jour meilleur.

POV Keigo:

Ma respiration est vraiment critique, fixant encore et encore mon reflet en réfléchissant  à cette question qui rester dans ma mémoire  a chaque fois que je broyer du noir.

J'avais conscience que si du jour au lendemain je disparaissais, personne ne me chercherais. Ça peut paraître bête de paniquer sur quelques chose d'aussi futile, mais c'était un fait... J'avais besoins de me sentir aimer  et chéri au moins par une personne de mon entourage et malheureusement cette place était vacante.  

Voyant enfin le bout de ma crise de paniqué enfin passer,  je soupira soulagé.

Mme si mes pensées noires refaisait de temps  à autre surface dans ma tête j'en faisais facilement abstraction du moins jusqu'à  la nuit pendant laquelle tout mes problèmes de la veille me revenait en mémoire. Faisant des crise d'angoisse inlassablement  chaque nuit, pensant a ce moment que ce que je vivais était insurmontable.

Quand le jour se couchait, c'était plus fort que moi, je devenais stréssé et anxieux.

Ce jour là, Rumi m'appela ayant sûrement réussis a prendre un peu de temps dans ses révisions pour me contacter. Je décrocha immédiatement, un sourire forcé se dessinant sur le visage.

Rumi: Salut beau blond!

Je ricana nerveusement voulant intérieurement lui répondre que je n'étais pas beau. Mais je m'abstenue de tout commentaire.

Rumi: Alors t'as journée?

Keigo: Super. Les cours se passe super bien en tout cas.

Plus je parlais, plus les lettres lumineuses sur mon front s'éclairait " menteur"

C'était devenu une habitude.

J'avais régulé ma voix pour ne pas qu'elle entende ma voix briser par les larmes se qu'elle goba facilement. J'étais devenu un pro pour cacher mes sentiments.  Et le lendemain les gens disait sur moi que j'étais sans coeur.

En tout cas c'était ce qu'il s'était passé un jour ou ma mère m'avait appelé  en me disant  que ma grand mère était décédé.
J'avais comme d'habitude caché mes larmes au téléphone et le le demain elle me repprochait d'être sans vie, sans coeur, sans sentiment.

C'était peut être la réalité, j'étais peut être qu'une coquille vide.

Il m'aurait fallu au moins une personne qui me rendent la main, mais visiblement dieu en valait décidé autrement, se délectant sûrement de me voir autabt déprimé.
Je ne crois pas en dieu, loin de la, mais devant ma vie monotone je ne pouvais que prier que ça aille mieux.

Chaque jour je me disais que je devais commencer à être heureux et le lendemain je me redisais la même chose, encore et encore. Mais je ne savais pas comment faire. Alors rien ne changeais. Et ce pendant des années et des années.

***

Je retourna à l'école un peu a reculons, me demandant quel genre de malaise allait il y avoir quand je retournerais parmi mon groupe.  Et comme attendu, une fois en cours, je devint cette plante verte que j'avais tellement l'habitude d'être. Et encore une ante c'est beau, c'est une décoration, moi je suis loin d'être plaisant à regarder.

Il n'y avait aucune comparaison a faire sur moi.

Et encore un repas de midi, qui se passa dans le silence. Ou tous ne déccrochait pas de leur portable  sûrement trop occupé à répondre à leur messages.
Par réflexe, je regarda mon propre écran et ria nerveusement en remarquant que comme d'habitude aucun message n'était présent.  Moi j'ai rien a faire là dessus.
Et visiblement, ils sont trop gêne pour parler de leur réagit devant moi comme je n'étais pas dans leur histoire.