XII. Sourire

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PDV de Giuliana

Flashback il y a cinq ans.

13h17 : maison de Sergio.

J'ai dû porter son corps jusqu'au deuxième étage et il ne pèse pas dix kilos. Je l'ai enfermé dans sa chambre et je l'ai attaché avec une paire de menottes qui était dans sa chambre. Je ne veux même pas savoir à quoi elles ont servi.

Je monte les deux étages et entre dans sa chambre.

- Aller on se réveille. Criais-je en frappant dans mes mains pour faire beaucoup de bruit.

Je prends la chaise de son bureau et l'a fait glisser jusqu'à devant le lit. Je m'assoie sur la chaise et le regard. Il devait sûrement avoir la gueule de bois vue tout le rhum que j'ai mis dans les lasagnes.

Il commence à ouvrir les yeux. Dès que ces yeux croisent les miens il essaye de bouger mais comprend vite que ses poignets son attaché au lit.

- Ma belle je t'ai déjà dit que si tu voulais qu'on couche ensemble tu n'as qu'à me demander.

J'allais répondre à quelques choses à cet abruti mais j'entends son téléphone sonner. Je me lève et pars voir qui l'appelle. Merde c'est Pedro comment je vais faire.

- Bah alors tu décroche pas. Me demande Sergio avec un grand sourire.

Une idée me vient à l'esprit. Il y a une chance sur deux que ça marche. Je mets son téléphone en haut parleur.

- Allô Pedro que puis-je faire pour toi ? Demandais-je comme si c'était mon téléphone.

- Où est Sergio ?

- Je suis là. dit Sergio.

Merde, il ne pouvait pas fermer sa gueule celui-là.

- Passe moi Sergio. Me dit sèchement Pedro.

Je réfléchis soit je donne le téléphone et Sergio va sûrement lui dire que je l'ai bourré et attaché à son lit ou je raccroche mais il va se douter de quelque chose.

Sergio me fait un signe de la tête pour que je lui donne le téléphone. J'hésite un peu mais je lui donne le téléphone.

Il parle en italien donc je ne comprends rien. Pedro raccroche et Sergio jette le téléphone sur la table de nuit avec sa bouche puis me regarde.

- Alors soit tu me libères et je ne t'enfermerais pas dans une cave ou tu me laisses attaché et quand Pedro arrivera il t'enfermera sûrement dans une cave et te nourriras tout les trois jours.

Je prends les clés et le détache. A peine ai-je eu le temps de le détacher, qu'il me fait tomber sur le lit et se met sur moi.

Il attrape mes poignets avec une main puis les met au dessus de ma tête. Il embrasse mon cou et son autre main caresse mon ventre sous son t-shirt.

Ses baisers montent jusqu'à ma mâchoire et il arrive devant ma bouche. Nos lèvres se frôle et je ne sais pas pourquoi mais ça me rend folle.

Je finis par seller nos lèvres. Le baiser est doux. Il relève mon t-shirt et sa main monte jusqu'à mon téton. Il le caresse et sa tête descendent jusqu'à mon ventre.

Il me fait des bisous sur le ventre et remonte sa tête jusqu'à mes seins. Il suce un de mes seins pendant que sa main descend jusqu'à mon entre jambe. Sa main caresse mon entre jambe mouillée à travers un caleçon qu'il m'a donné.

Je n'arrête pas de gémir et ça le fait sourire. Il entre sa main dans le caleçon et commence à toucher me touchée.

Un de ces doigts entre en moi et il commence à faire des va et viens, je sens que je mouille encore plus. Il remonte sa tête jusqu'à ma bouche et m'embrasse.

La noche del serpiente [ EN PAUSE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant