XVI. Motel

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PDV de Dalila

Foret

J'ai enfin fini d'enterrer les deux corps pendant que Pedro me regardait faire en fumant plusieurs cigarettes.

Mes habits sont recouvert de terre et je n'ai plus aucune force. Pedro commence à marcher en direction de la voiture et je le suis.

Quand on arrive devant la voiture il entre et commence à démarrer. Quand j'essaye d'ouvrir la portière coté passager, celle-ci est bloqué.

Pedro sourit fière de sa bêtise. Il descend la vitre de la voiture mais pas assez pour que je puisse rentrer dans la voiture.

- J'ai froid tu peut ouvrir la porte s'il te plait. Dis-je en tremblant de froid.

- Pourtant quand tu voulais t'enfuir tu n'avais pas froid. Dit-il en souriant de plus belle.

- Ouvre la porte, j'ai froid et tu ne vas pas me laisser rentrer à pied.

- Tu sais quoi c'est une bonne idée, tu marches devant la voiture mais si tu essayes de t'enfuir tu sais ce qui t'attend.

- Tu n'es pas sérieux.

Il ferme la vitre et allume les phares de la voiture. Il claxonne deux fois et je commence à marcher devant la voiture.

Ça doit faire seulement cinq minutes que je marche mais j'ai l'impression que ça fait trois heures.

On est sorti de la foret donc c'est un peu plus facile de marcher. Pedro me claxonne plusieurs fois.

- Marche plus vite même ma grand-mère marche plus vite que toi.

C'est bien pour ta grand-mère connard.

J'entends une portière claquer, je me retourne pour voir un Pedro énerver. Il me prend par le cou avant de me plaquer sur le capot de la voiture.

Il serre mon cou et l'air commence petit à petit à me manquer. Qu'est-ce que j'ai fait encore.

- Tu veux vraiment perde ta virginité sur la banquette arrière de ma voiture ?

Je pose mes mains sur les siennes pour essayer de défaire sa prise mais ça ne marche pas et il resserre plus sa prise.

- Je t'ai poser une question.

- N... n... non. Finis-je par dire.

- Alors c'est la dernière fois que tu m'insulte, compris ?

J'ai parlé à voix haute quand j'ai parlé de sa grand-mère et que je l'ai insulté de connard c'est pour ça qu'il est énervé.

- O... oui. Dis-je, en même temps il relâche mon cou.

Je tousse plusieurs fois pendant que l'autre connard remonte dans la voiture.

Il me claxonne alors que je reprend mon souffle, je recommence à marcher pour aller je ne sais où.

Ça doit faire trois heures que je marche quand j'aperçois un motel avec une petite superette à coté, ils ont l'air d'être abandonné mais je vois des voitures dans le parking du motel.

Je voit la voiture me dépasser pour aller se garer dans le petit parking du motel.

Je pourrais m'enfuir mais ça ne servirait à rien, il ne prendrait même pas une minute avant de rattraper et je suis trop fatigué pour courir.

Je marche jusqu'à l'accueil du motel. Il est entrain de parler au réceptionniste. C'est un vielle homme, qui ressemble plus à un espagnol qu'un italien.

La noche del serpiente [ EN PAUSE ]Where stories live. Discover now