Mon Éternelle Âme Sœur Tome 2

Chapitre 18

Lorsque nous arrivons ce matin, nos logements sont occupés par des ouvriers qui sont en train de faire des travaux. Je me demande encore ce qu'est ce bordel. Je conduis Amber dans sa chambre en l'invitant à dormir un peu :

- Alors Mystic Falls ?
- Bonjour à toi aussi Klaus. Mystic Falls se porte bien ne t'inquiète pas... ah et t'as le bonjour de Caroline, je lui dis avant de monter prendre une douche
- Alors comme ça Amber aime les glaces au kiwi, ricane Elijah en arrivant derrière moi
- Il faut croire et tu n'as toujours pas de nouvelles de Marcel
- Non et je suis bien content qu'il aie compris
- Je ne le connais pas autant que toi mais je me méfierai à ta place.
- Ne t'inquiète pas et ce soir à lieu une fête en l'honneur des sorcières et j'aimerais que tu sois présente
- Pardon ? je m'égosille
- Oui un accord a été signé et doit être respecté, me dit-il
- J'espère vraiment que tu sais ce que tu fais parce que je te rappelle que ce sont les mêmes sorcières qui ont tenté de me tuer ainsi que ta fille
- Tout se passera bien et d'ailleurs j'aimerais que tu m'accompagnes pour prévenir à tous les partis de cette soirée.

Ben voyons, non mais et puis quoi encore. Je crois que tu te fais vieux Elijah et c'est sûrement pour ça que tu te ramollis :

- Laisse-moi me changer et j'arrive, je soupire

Une demi-heure plus tard, je suis lavée, habillée, coiffée et maquillée et sur le point d'aller voir tout le monde pour les prévenir de la fête du siècle et honnêtement je ne suis pas enchantée. Je suis tout de même rassurée lorsque je vois Diego, représentant des vampires, réagir exactement de la même manière que moi un peu plus tôt. Une fois que tout le monde est prévenu nous allons voir la représentante de la faction humaine, Francesca Correa qui a tout l'air d'une pimbêche :

- À qui ai-je l'honneur ?
- Amalia je te présente Francesca Correa, représentante de la faction humaine. Amalia mon épouse
- Enchanté, me dit-elle alors que je lui souris hypocritement, ces festivités vont attirés beaucoup de monde n'est ce pas ?
- Il en va de soit, répond Elijah
- Donc je veux bien être présente même si je n'est pas trop le choix et en échange vous serez redevable envers notre faction, nous dit-elle avant de partir
- Quelle pétasse, je souffle, il ne manque plus que les loups je me trompe ?
- Non et ça risque d'être compliqué
- Alors laisse-moi faire. Ils m'apprécient plus que toi
- Et après c'est moi le diplomate

On va dans le bayou, dernière étape, afin de convaincre comme l'on peut les loups de venir. Honnêtement à leur place j'aurais refusé mais bon d'après ce que Elijah m'a dit, personne n'a vraiment le choix et est légèrement obligé d'être présent. Ce qu'il y a de plus fantastique c'est que tout le monde semble ravis d'y aller.

- C'est une nouvelle air dans le vieux carré alors on devrait y assister, accepte Jackson alors que Hayley avait refusé un peu plus tôt, on doit jouer le jeu si on veut vivre ensemble alors on enverra un représentant avec un cadeau, termine le loup en partant avec Oliver
- Ça a été trop facile, note Elijah avant de partir, fais attention Hayley
- Je repasserai te voir, je lui dis avant de partir à mon tour

Quand on retourne à la voiture, Elijah me reparle de l'attitude des loups et me demande ce que j'en pense. Je lui confie alors que je pense que leur attitude prête à la confusion : d'un côté c'est normal qu'ils veulent mettre un terme aux conflits inter-espèces mais de l'autre c'est bizarre qu'ils acceptent aussi vite d'être présents aux côté des sorcières alors qu'ils ont subis un enchantement de leur part :

- Tu sais que Amber voudrais que l'on ressortes tous les trois comme on le faisait à New-York avant tout ça ? je lui apprends, et honnêtement j'aimerai bien que ça se fasse parce que depuis qu'on est ici, c'est problèmes sur problèmes mais jamais nous n'avons l'occasion de profiter à trois comme on bon vieux temps
- Je sais et moi aussi ça me manque tout ça. Si tu veux on peut faire ça cet après-midi juste avant la fête des sorcières
- C'est vrai ? je m'extasie comme une enfant
- Oui, tu vas la chercher et je préviens Klaus, me dit-il lorsqu'on arrive