Dentelle Rouge // Neymar x Oc

16. Impression de déjà vue

                    Emmy
Au camp d'entraînement, ???, Paris.

—( en anglais ) Quoi ? releva t-il le regard de Maria et jaugea Acharf. Heureux élu de quoi-

Il n'eu le temps de poser sa question que Mbappé nous avait déjà enfermé dans le placard.

Je regarda en face de moi comme paralysée. Neymar, lui, commença à taper sur la porte du placard pour essayer de sortir de là.

—Les gars, sérieux ! cria t-il en poussant la porte de l'armoire. C'est SON gage, pas le mien !

—Arrête de crier, TOI LÀ ! dis-je en le poussant. Tu cries dans mes oreilles, sale con !!

—T'as dit quoi ?

—CONTINUEZ COMME ÇA ET ÇA SERA PAS DIX MINUTES MAIS VINGT !! s'esclaffa Messi.

Dès qu'il prononça la fin de ça phrase, on se calma de suite. Je soupira en me laissant tomber à genou.

L'armoire-placard était assez grande. Assez pour au moins quatre personnes puissent s'asseoir.

Je mis mon nez dans « mon » pull pour renifler son odeur. Ça sent tellement bon..

—( en portugais) Une torture.. être enfermé avec elle... murmura t-il dans sa barbe.

—M'en parle pas. Être enfermé avec toi. C'est pire qu'un supplice. crachai-je mon venin en pleine face.

—Ferme-là.

—Vas te faire enculer.

—Plus tu parleras, plus ça sera long. Donc, ferme-là. soupira t-il.

Je mis la capuche du sweet sur ma tête et mis ma tête sur le coter pour me reposer.

Je suis fatiguée. J'ai trop ri, aujourd'hui. Rire, c'est comme monter les escaliers. Ça fatigue.

Je commençais à fermer les yeux.

—Emma. T'endors pas. commença t-il. Et pousse-toi. Tu prends trop de place.

—T'insinue quoi là ? Que je suis grosse ?

—Euh..c'est une question piège..? hésita t-il. Juste que tu prends trop de place.

—C'est pas moi, c'est ton gros pull que j'ai sur moi. grognai-je.

—Rends-le-moi, alors.

—Non. refusais-je. Il est à moi, maintenant.

Il soupira et s'installa à coter de moi. Après un blanc de trente secondes il prit enfin la parole.

—Emma-

—Emmy. le repris-je.

—Tu m'énerves...soupira t-il. Je me demandais... souffla t-il. Pourquoi on ne s'aime pas ?

Une impression de déjà vue. Je ne répondis pas et il continua.

—Tu sais... à l'anniversaire de Carol. Je m'en souviens quand on était que tout les deux. Enfin.. je me souviens que du moment où je t'ai poser cette question. Et je trouve qu'on j'entendais... plutôt bien ?

Il tourna ça tête vers moi en sorte qu'on puisse se regarder dans les yeux.

—Non ? reprit-il. Tu trouves pas ? On rigolais bien.