𝚃𝚒𝚕𝚕 𝚝𝚑𝚎 𝚎𝚗𝚍 𝚘𝚏 𝚝𝚑𝚎 𝚠𝚘𝚛𝚕𝚍 ᵀᵒᵈᵒᵇᵃᵏᵘ

Chapitre 4

Deux jours après l'accident de Katsuki. 

Le pire est arrivé,  l'internat. Je veux m'enterrer et ne plus revoir la lumièredu jour, Deku risque de m'isoler et de me frappé encore plus fort,  c'est de pire en pire. Ma vieille me croit de moins en moins. Personne ne me croit de toute façon, je veux tout lâcher. 

J'expire bruyamment mon air et prend mon sac de cours et d'internat avant de descendre en bas et de sortir de chez moi. Je sens directement un changement de température. Il fait froid en Janvier bordel. Après c'est pas si désagréable. Je marche jusqu'à la prison et remarque que Deku m'y attend. 

Je me mis à marcher beaucoup moins vite se qui l'énerve,  j'espère juste que quelqu'un arrive, que quelqu'un me sau-

Shoto: Tu sais plus marché normalement pétard mouillé ? La drogue c'est mal, surtout dès le réveil. Pourquoi lui comme "SAUVEUR" mon fuking rivale sérieusement !? Pff..

-T'es psy? Putain jamais je prendrais rendez-vous chez toi!

Shoto: Tu me blesses, j'ai plus d'argents pour moi sobas moi, snif.

- Rien à foutre. 

Je passe à côté de Deku en faisant totalement genre de ne pas l'avoir remarqué à cause de ma conversation éclaté avec Icy-hot. Nos chemins finissent par se séparés et on rentre individuellement dans la classe. J'ai pas envie qu'ils sachent que j'ai fait la fin du trajet avec Double-merde! La honte!

J'ai à peine le temps de m'asseoir que le vieux insomniaque rentre et se mit à nous parlé.

Aïzawa: Bonjour, vous avez tous bien vous affaires j'espère parce que après les cours vous iriez à l'internat,  j'imagine que tout le monde sait en quoi ça consiste ? 

La classe: Oui!

Un endroit où on emprisonne des gens.  N'ai-je pas raison? Être enfermé, dans une lieu loin de tes rêves, où ton danger peut facilement t'atteindre et de te faire du mal. Oula.. je me mes à parler seul. De mieux en mieux. Je vais finir dans un hôpital psychiatrique si ça continue.  En plus les dortoirs sont par deux.. je vais me retrouver avec lui.. c'est sur. Putain ! Bordel de merde!

Reconcentre toi un peu..

Il continue son discours que je n'écoute absolument plus, je penses juste à mes problèmes et à la paix.. les heure passent lentement..

Pause méridienne 

Je me pose seul à une table comme à mon habitude après avoir prit la bouffe dégueulasse du self. Je reçois une boulette de papier en pleine gueule . Je l'ouvre doucement et lit se qu'il y a écrit. 

" T'es seul? Comment ça se fait ? Pauvre petit pétard mouillé, quelle vie pas facile. Je me permets de m'incruster à ta table, met ta fiertéde côté si tu me remercies dans ta tête ;] "

- Mais pour qu'il il se prend? Je ne lève pas mes yeux pour regarder si il y avait quelqu'un devant moi et je reçois une pichenette au front . Touche à ta mère ! Je relève mon regard. 

Shoto: Attend, me dis pas que ça t'as fait mal? Je me frotte le front.

- Absolument pas! Pour qui tu me prends !?

Shoto: Pour mon rivale qui ne sait pas se défendre. 

- Je vais t'enculer ta race!

Shoto: Nan merci,  ça ira.

On se mit à manger de le silence, un silence pas énormément gênant, mais sa présence me dérange, je ne peux pas relâché mon aire énervé, et dire que dans quelques mois je mets fin à tout.

Après la journée terminée le prof nous a emmené à l'internat qui est à 5 minutes de UA, mais Deku m'a pris en dehors des regards se qui me fit déglutir.

- Ai-je fait quelques choses de mal pour être encore frapper. Lui dis-je froidement. 

Izuku: Nan. Mais j'ai besion de me dégourdir . Il me donne un énorme coup dans mon estomac et me fit expulser contre le mur. Je tiens mon ventre qui me fait extrêmement mal. Tu vois se qui arrive au faible Katchan? On les victimise jusqu'à les pousser à bout! Il me redonne un énorme coup

- A-rrête ! Putain ! J'vais te faire ravaler tes paroles à la con!

Il se met à ma hauteur et me caresse les cheveux comme si j'étais sa pute, et repart tout content de m'avoir mit mal en point. Je grogne de douleur  en me relevant et part difficilement. Une fois arrivé dans l'internat je fis comme si il ne s'était rien passé.

Je demande dans quelle dortoir je suis,  au vieux qui me l'indique. Je ne le remercie pas et monte les escaliers en ayant pas hâte de savoir avec qui je suis. Je marche doucement dans le couloir et arrive devant la porte, je prends une grande inspiration et ouvre la porte.

Qu'est-ce... NAN PUTAIN!!!

- À suivre -