Mon Colonel

CHAPITRE 36

Une fois fini chacun de nous retourna à son rôle respectif, le colonel et son élève.

Je rentre dans ma chambre et retrouve ma colocataire paniquée.

-Putain Esmée! J'étais inquiète.

Elle se pressa vers moi pour me prendre dans ses bras, ce simple contact me fit éclater en sanglots.

-Je suis la...Je ne sais pas exactement ce qui sais passé mais si tu as besoin de quoi que ce soit, je serais la pour toi.

Nous restons comme ça pendant quelque temps avant que quelqu'un frappe à la porte.Je vais m'asseoir sur le lit quant à Mazie elle va ouvrir la porte.

-Elle est là?

Je reconnais cette voix masculin, c'était Mathyss.

-Esmée?!

Mazie le laisse passer et ferme la porte.Il se rapproche de moi pour me prendre dans ses bras, je recule sans avoir pris cette décision.Mon corps réagis simplement.Je pense que c'est dû qu'il est son jumeau...

-Que se passe-t-il?demande Mathyss

J'hésitais fortement à en parler par peur qu'ils me disent que je l'ai mérité,ou que Mathyss ne me crois pas comme c'est son jumeau.

-On m'a dit qu'il s'était passé quelque chose avec Kameron.Il t'a fait quelque chose?demande Mazie.

-Attends mon frère! Il t'a fait quoi?

Pendant plusieurs minutes le silence...Au bout de 5 minutes je décida enfin de leurs dire.Je leurs racontais au début quand j'étais dans sa chambre, ensuite quand on s'était embrassés, puis la piscine et enfin quand le colonel est venu m'aider.

-Ce fils de pute! Hurla Mathyss

-Ce n'est pas de ta faute Esmée, tu n'as pas à tant vouloir.me rassura Mazie.

Mathyss sort de la chambre en furie, on décide de le suivre avec Mazie.

-Tu vas où?Lui demanda Mazie

Il fonça droit vers l'infirmerie, sûrement là où se trouvait Kameron.Il ouvrit la porte violemment, il était là sur le lit, son visage était couvert d'hématomes et de pansements.

-Voila mon frang-...

Mathyss lui fout un coup de point dans sa gueule.

-Mais ça ne va pas, tu viens de me recasser mon nez!

J'étais choqué de la scène, il saignait du nez. Mathyss lui tenait par le col voulant de nouveau le frapper.

-Esmée?dit-il étant choqué de me voir présente.Qu'est ce que t'es allé raconter connasse?

-Ferme ta gueule Kameron, où je te re fous mon point dans ta tronche c'est pas l'envie qui m'en manque!Hurla Mathyss

Soudain le colonel et le commandant Eden arriva. Le commandant sorta Mathyss et le colonel demanda à Mazie d'appeler le lieutenant Victoria à l'infirmerie. Son regard me demanda si tout allait bien.Je fixais juste Kameron...Je fermais la porte et me rapprochait de son lit.
Le colonel est là tu ne crains rien.

-Je m'excuse car tu as cru que je voulais quelque chose avec toi.

-J'en veux pas de tes excuses bidons.

Je m'approche de lui et lui met une gifle.

-Sale p-

-Fermez la Viagose!cria le colonel.

-Mais je ne m'excuse pas pour cette gifle.

Le lieutenant Victoria arrive et je sort de la chambre avec le colonel.

-Esmée?

-Oui?

-Il sera sanctionné en conséquence même si j'ai une toute autre sanction en tête.

-Je n'en doute pas mais il n'en vaut pas la tête que tu perdes ta place pour lui.

Je m'éloigne et je vais rejoindre Mathyss et Mazie.

-Est-ce que ça va Mathyss?lui demande-je

-C'est moi qui devrais te demander ça.Désolé de ne pas avoir été là.

Il se rapproche lentement vers moi puis me tend ses bras, je m'approche et il me serra dans ses bras.

Nous profitons de la journée sur se bateau, notre avant derniers jours.Personne d'autre n'était au courant de l'histoire.Cette journée ma changer les idées et heureusement que mes amis était là.
Le soir Mathyss était resté dans la chambre de Mazie et moi, je dormais avec Mazie dans son lit et Mathyss dans mon lit. Le lendemain la journée était chargés tout le monde était occupé à ranger leurs affaires. Puis nous remercions le capitaine et son équipage et nous descendons sur le port et maintenant on devait prendre l'avion. Le vol était assez long mais j'ai dormi entre temps à plusieurs reprise. Je n'ai pas croisé Kameron depuis la dernière fois et mes angoisses étaient chasser mise à part quand quelqu'un était trop tactile avec moi. J'avais réussi étant jeune à oublier cette vieille histoire mais de nouveau ces souvenirs revenait la nuit.
Nous revenons au camps des heures et des heures plus tard. Notre classe avait la semaine banalisés qu'on avait gagnés alors je décidais d'aller voir ma meilleure amie mais avant je devais lui envoyer un message. J'allais donc vers le bureau du colonel

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