A l'état sauvage

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Killer queen ~ Mad Tasi


- Pour moi la tristesse ne devrait pas exister.    Elle est inutile, dépourvue de sens.                        L'être humain n'est pas fait pour ça. l'humain est fait pour tuer. Nous étions des animaux sauvage au départ, des animaux fait pour tuer, tout comme les lions. Nous avons nous mémé crée la tristesse. Les animaux ne son pas triste, ils ne font pas d'état d'âme. C'est nous qui avons rendu ce monde compliqué, avec ce que vous appelez les émotions.

Je jette un coup d'oeil a Lisa. Contrairement au autre elle n'a pas l'air paniquer. Son regard et vide. Vide d'émotion. J'avoue être étonné. Ca ne ce passe pas comme ça d'habitude.

- Que ce qui t'arrive ?

Elle pose ses yeux livide sur mois. Tous son corps, qui tremble habituellement, et stone, presque paralysé.

Comme un humain serait paralysé par la peur. Mais ce n'est pas la peur qui l'anime, rien ne l'anime a l'heure actuelle.

Curieuse, je m'approche d'elle. Mes talons résonne sur le carrelage de ma chambre. L'éclat de la lune illumine Lisa, comme si elle n'existais que pour elle.

Une lumière bleu s'est emparé de la pièce, donnant une ambiance spectrale.

Je pose mes genoux au sol, pour plongeai mon regard dans le sien. Elle ne l'évite pas, au contraire elle plonge dedans, quitte a ce noyer.

j'essaye de discernais la moindre émotion, mais rien. Absolument rien.
Soudain une flemme de jalousie s'allume en moi.

Ne plus avoir d'émotion, c'est exactement ce que je recherche, comment fait-elle ? Faut-il que moi aussi je me fasse étrangler, puis ligoter, puis enfermer dans le coin d'une pièce pour ne plus ressentir une once de sentiment ?

- Comment fait tu ?

- De quoi ?

Sa voix n'est pas habituelle. D'habitude si aiguë, et si fragile, elle est aujourd'hui grave, sans la moindre bribe de peur.

- Pour ne pas paniquer ?

- J'ai l'habitude.

j'arque un sourcil. Elle a l'habitude de ce faire séquestré ?

- Des déceptions, je veux dire. J'ai l'habitude de ça.

Je comprend encore moins. Elle ne veut pas être plus précise ?

- Qu'elle déceptions ?

- Toi, je pensais qu'on était amie, mais visiblement ce n'est pas le cas.

- Mais si enfin, que ce qui te fait dire qu'on ne l'est plus ?

- Je suis pas une experte, mais je suis pas sure que les amies ce ligotes entre eux, ce n'est que mon avis.

- Mais c'est pour toi que je le fais.

C'est a son tour de ne pas comprendre.

Je vais encore me lancer dans des explications qu'elle ne comprendra surement pas. Elles ne comprennent jamais. Mais elle...elle est différentes, peut-être que...

Je lève ma main pour la posait délicatement sur sa joue. Contrairement au autre, elle ce laisse faire. Elle est différentes.

- Tu n'a pas a souffrir, tu a trop soufrer, tu n'a pas continuer ainsi. Seulement si tu est humaine tu souffrira toute ta vie. La seul solution est de

- Mourir ?

Un profond sentiment de joie ce mue en moi. Elle comprend, elle me comprend.

- Exactement.

- Mais que ce que tu en sait toi de la souffrance ? Commente tu peux savoir ce que je ressent. Toi, tout le monde t'adore, tout le monde t'aime, personne ne te fais du mal.

C'est a moi d'être déçus.

Je me lève, avent de passer mes main sur ma longue jupe, pour enlever les plies.

Je prend ensuite le tissu entre mes main, pour la soulever et laisser apparaître mes jambes.

Je déteste ce moment. Ce moment ou elles me disent que je ne peux pas comprendre la souffrance. Ce moment ou je dois leur montraient mes cicatrices.

- Ils m'ont taillader les jambes.

- Pourquoi...

La voix si frêle qui la caractérise t'en et revenue. Son âme s'agite de nouveaux. De la pitié ce c'est imprimé sur son visage.

- Je ne sais pas.

Dis-je en lâchant ma jupe, me matant de nouveaux a sa hauteur.

- Mais je sais ce que tu ressent, je l'ai vécu aussi.

- Pourquoi tu fais ça ?

- Pour que vous n'ayez plus a souffrir.

- Tu nous...tu nous sauves ?

- Je vous donne accès au bonheur.

- Mais tu délires ?

Son état stoïque a disparut. Elle commence a s'agiter. Je m'était trompé, elle ne s'est pas vidé de ses émotions, elles sont toujours là, a s'accrocher a elle comme une sangsue.

- Libère moi, laisse moi partir.

- Mais tu sais ce que c'est que de souffrir. Sentier une vive douleur en toi qui te brule de l'intérieur, de ce sentier vide, de

- Oui mais...

- Alors rejoints les, atteint ce stade ou plus aucune émotion ne t'habite, ou plus rien ne peut de faire de mal.

- Mais

- Que ce qui te retiens ici ?

Elle ouvre la bouche, mais la referme aussi tôt. Elles ont toutes la même réponse.

Rien

Rien ne les retiens ici. Elles n'ont aucune raison de rester. Elles sont toute pareille, et Lisa n'est pas une exceptions.

- Toi aussi tu ma déçus, je te pensait différente.

- Moi aussi je te pensais différente. Finalement tu est comme tous les autres.

Je déplie mes jambes. Je la scrute encore quelque seconde. C'est la dernière fois que je la verrais, et comme toutes les autres elle pleure, alors qu'une nouvelle vie sans souffrance l'attend.

L'histoire des corbeaux Where stories live. Discover now