L'histoire des corbeaux

Là malédictions de Térié

Les filles pouffaient pendant qu'elles couraient a travers les couloirs, leur pas résonnaient, couvrant le silence qui c'était installé dans l'une des chambre.

Rose regardait tour a tour Crystal et Venus. Toute joie qui, les animait il y a encore quelque seconde, les avaient quitté. Les flammes des bougies vacillaient pour n'éclairaient que leur mine déconfites. Venus plaça une mèche rebelle derrière son oreille, avent de prendre la parole.

- Personne ne t'en a parler ?

Rose rebondit par un hochement de tête négatif. Venus soufflât exaspérer, avent de tourner sa tête vers Crystal, qui affichait une grand sourire.

Sans prévenir Venus prit Rose par la bars et l'amenas hors de la chambre, pour l'emmenait dans ce qu'elles appelaient le salon commun. Presque toute les filles de la maison close étaient réunit. Une ambiance mystérieuse régnait garce a la seul lumière que procurait les diffèrent chandeliers.

Certaine c'étaient installé sur le canapé, d'autre étaient sur le dossier de ce dernier, tandis que d'autre c'étaient assise part terre.

Quand elles passèrent le seuil de la porte des dizaines d'yeux ce tourneront vers elles.

- Vous en avez mit du temp ! S'exclame Claris la plus jeune.

- Excusez-nous pour le retard, installe toi là.

Déclare Venus en montrant une place au sol a Rose, qui s'exécuta suivi de Crystal. Venus s'avança pour ce mettre au milieux du cercle approximatif.

- Tout le monde est là ?

-  Non, Candy est avec un client, elle ne viendra pas ce soir.

- Très bien.

Venus marqua une pause pour prendre un air sérieux. Elle parcourut l'assemblé des yeux, puis commença, en ajoutant une intonation faussement dramatique a sa voix.

- Les filles, l'heur est grave. Rose ici présente, n'est pas au courent pour la malédiction de Térié !

Des murmure de choque ce propageront dans la pièce, comme le ferait la peste. Aussitôt la honte monta aux joue de Rose, elle n'osait regarder personne, et baissa la tête.

- C'est pour ça que nous allons y remédiera ce soir.

Toute les filles ce tassement dans un coin, pour ce mettre face a Venus. Ses traits était a peine éclairaient par la faible lueur des bougies. Les motifs du papier peint sont a peine visible, ne laissent apparaître qu'un mur verdâtre.

La tension monte au fur est a mesure que les murmures s'estompe. Une fois que seul le crépitement des flemmes et audible, Venus commença, en plantant son regard dans celui de chacune des filles.

- Il y a très longtemps de cela, avent même la guerre de l'éclipse, un homme du nom d'Etimose habitais dans un petit village, installer non loin d'un lac.

Venus marqua un pause, pour alourdir d'avantage l'atmosphère. Pendant cette pause Rose l'interrogea du regard interpellait par le nom de l'homme. En gage de réponse Venus continua son récit.
« Ce lac était réputé, car ont raconté qu'une jeune fille a la beauté inégalé si rendez souvent. Intrigué Etimose décida qu'il était t'en d'aller faire un tour a ce lac. Les premier fois ne furent pas concluante.
Aucune trace de la jeune fille. Décourager il si rendit une dernier fois. C'est a ce moment qu'il la vit. Entre les arbres, éclairait par un rayons de soleil, qui semblait n'avoir était crée uniquement pour elle.
Tellement éblouit par cette beauté, il en fit presque aveuglé. Trop intimidé, il n'osa pas l'approcher. Il ce contenta de seulement la savouré du regard.