Addiction

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Kill or be killed ~ Muse



Je me jette sur la cuvette des toilette avant de vomir mon repas du soir est bien plus encore, Ben sur les talons.

A quatre patte, pencher au dessus des chiottes je tente de reprendre mon souffle. Chaque bouffer d'aire agit comme de l'acide sur ma gore, mes poumons me brule, pendant que mon coeur se rétracte sur lui même, tout en étant planter de mille aiguille. Mon sang fuse dans mes veines, manquant de les faire exploser a chaque pulsion. La terre tourne autour de moi, alors que je ne sens plus ma langue. Mes jambes tremble et peine a retenir mon poids.

- Tu veux de l'eau ?

Me demande la voix fluette de Ben, paniquer par la situation. Si tu savais mon grand.

Je m'assoie sur mes talons, essayent temp bien que mal d'inspirer l'air, bien que ma trachée soit trop serré pour l'accueillir.

Je me laisse ensuite tombé en arrière pour poser mon dos sur le mur, avant d'accepter sa proposition d'un hochement de tête.

Aussi pâle qu'un cadavre il part me chercher ce précieux breuvage, qui ne peut qu'apaiser le feux qui brule tous mes organe en ce moment même.

Ses pas résonnent de nouveau dans la pièce, il attrape d'abord une serviette qu'il me tend. Je m'essuie le visage avec avent de le remercier.

Elle est encore humide du lavage précédent, mais elle a le mérite de rafraichir ma peau trempé de sueur. Je la laisse tombé par terre, avant d'attraper le vers, et de boire son contenue en intégralité.

La fraicheur de l'eau frappe ma bouche, créent un choc thermique, avant que le liquide ne s'évapore dans mon oesophage.

Une douleur, semblable a un pic d'aiguille, traverse mon coeur, avant de se reprendre jusque dans mes bars, me faisant lâcher le verre, ce dernier se brise au sol, rependant les bouts de verre comme des milliers d'étoiles sur le sol.

Ben s'adosse au mur avant de se laissé glisser jusqu'au sol. Il ramène ensuite ses genoux jusqu'a son torse, avant de les entourés de ses bars.

- Je peux savoir ce qu'il ce passe ?

Sa voix se veut pleine d'assurance, mais ses yeux sont fuyant. Un nouveau spasme travers mon corps, me faisant grimacer. La douleur m'habite depuis seulement quelque heur, et pourtant je sais que c'est bientôt la fin. Reste a savoir la fin de qui.

A son détriment, je plante mes iris marrons dans les siennes d'un bleue miroir fragile, qui peut se briser a chaque instant.

Il fuit les lames de mes yeux quelque secondes, avant d'y succombé. Je le retient un long moment, le plus longtemps possible, jusqu'à ce qu'une nouvelle aiguille travers mon coeur et propage la douleur dans chacun de mes muscles.

Pour répondre a sa question, j'enlève mon T-shirt exposant ma peu a la lumière tamisé de la pièce.

Je repose ensuite mon dos sur le froid du carrelage murale, entrainent une dualité entre le mur glacial et mon corps brûlant.

Je lui dévoile ainsi mes veines. Mes veines qui son d'un bleu profond presque noir. Mes veines qui son désormais visibles a travers ma peau. Mes veines qui sont agglutiné autour de mon coeur, et se propage, telle des filament, sur mon corps.

Je sert les points et la mâchoire avant de fair jaillir des petit éclaire de mes veines. L'odeur de bruler ce repend dans la pièce. C'est l'un des effets secondaire. Quand je les fais apparaître, c'est comme si ma peau bruler. Ça ne me fait pas mal, mais ça ce sens.

Sous les yeux écarquiller de Ben, je décontracte mes muscles. Sans surprise mes veines se rependent un peu plus sous ma peau, me provocant une vif douleur.

L'histoire des corbeaux Where stories live. Discover now