Égoïste

6 2 0
                                    

Sweater weather - our last nigyt

Je sursaute quand l'agrafeuse percuter le parquet, provoquant un bruit sourd. Il résonne en moi, faisant vibré toutes les cellules de mon corps, ravivant des souvenir affreux qui me coupe le souffle.

Le sol devient soudainement froid, me provoquant un frisson. La terre ce met a tourné, je m'appuie alors contre le mur, pour évité de tombé. Je ramène mes genoux a ma poitrine en les entourent de mes bars, et enfouis ma tête dedans.

Ma cage thoracique ce referme sur mes poumons, m'empêchants de respirait correctement. Des larmes viennent brouillé ma vue. Me sentant oppresser je relève la tête. La pièce semble de rétrécir de second en seconde.

Mon estomac ce retourne, faisant montré un gout de bile dans ma bouche. Mon envie de vomir devient imminente. Par réflexe je place ma main devant mal bouche. La lumière de la lune s'efface petit a petit pour laisser place a une obscurité qui ne fait que m'oppresser encore plus. Quand je crus m'évanouir, je l'entendit crier dehors.

- Viens m'aider !

Ne voulant pas l'énerver d'avantage, je me relevé brusquement, même trop vite. La terre ce met a tourné, je vacille, avent de m'appuyer sur le mur. Je me redresse doucement, avent de sortir. Une fois a l'extérieure, l'air frais s'infiltre dans mes poumons, et j'ai du mal a savoir si cela me détend ou me fait mal.

Je me penche en avent et pose mes mains sur mes genoux, j'essaye de reprendre mon souffle. Je tente de me souvenir des minutes précédent, mais tout est flou. Les souvenirs ce bouscule entre eux, et provoque un brouhaha qui me scie la tête.

Je ne tiens plus, et crache mon repas du midi. l'acide brulant ma gorge me fait toussé. j'essuie ensuite ma bouche, puis penche ma tête en arrière.

- Ça va mieux ?

Je lui lance un regard en coin, pendant que le vent fait virevolté mes cheveux. Je hoche la tête positivement, avent de le rejoindre au coffre de la voiture. Je saisie la charge, qui avait perdue de la stabilité, puis la pousse dans la voiture avec son aide.

Le poids du tapis m'empote avec lui. Mon père me redresse, avant d'essuyé la poussière, présente sur mon épaule, de sa main.

- Aller monte dans la voiture.

Il marche jusqu'a la portière avent de l'ouvrir, pendant que je reste immobile devant le coffre fermé de la voiture.

- Dépêche toi.

Déclare-t-il avant de ce glisser derrière le volant. Je le rejoint ensuite sur le siège passager. Il démarre en silence. Encore tremblante je tourne ma tête vers la fenêtre, et regarde le paysage nocturne défilé.

- Tu en parler a quelqu'un d'autre ?

Je laisse sa phrase en suspend avent de répondre.

- Non, je n'ai appelé personne d'autre.

- Même pas a ta mère ?

Je ne peu m'empêcher de laisser échappé un petit rire.

- Je suis pas suicidaire.

Il reste silencieux face a cette réponse. Sans que je ne m'en rendre compte, une larmes coule sur ma joue. Je l'essuie tout en reniflant.

- C'est pas le moment de pleuré.

- Je contrôle pas. Lui répondis-je d'une
voix cassé.

- C'est la même excuse que tu me sort a chaque fois.

L'histoire des corbeaux Where stories live. Discover now