Les âmes ont un prix

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Hell's comin' with me - Poor man's poison


L'homme sirote tranquillement sa bière sans ce soucier des regard qui pèsent sur lui. Il a beau être rentré dans ce bar il y a une heure, personne ne la lâcher des yeux. Este-ce car il porte un signe de divinité sur le coup ? Surement. Il devrait probablement le caché, cela lui apporte des ennuis a chaque fois, seulement il n'en a pas honte, au contraire, il le porte fièrement. Il le porte pour leur rappeler qu'il ne sait pas laisser abattre.

Soudain les porte du saloon s'ouvre brusquement. Le bruit de l'orage accompagne l'entré brutale des trois homme. Ceux si sont doté de copier en fer autour du coup, des quels pendes des chaines en metal qui ne sont pas plus grande que leurs thorax.

Toutes les têtes se tournent vers eux. Les pupilles dilaté, les veines visibles, le souffle court, il cherche quelque choses. Qu'ils ne mettent pas longtemps a trouvé. Une fois la cible en vue ils avancent vers elle.

Le parquet craque sous leurs poids, remettant en doute la solidité du sol. Malgré le vacarme provoqué par les fauteurs de trouble, l'homme ne bouge pas, il continue de boire sa bière. Le chef de bande s'arrête près de lui. Il pose une mains sur le dossier de sa chaise, avent de penché sa tête a quelque centimètre de l'homme.

- C'est a cause de toi n'est-ce pas ?

Son interlocuteur sourit, puis lève la tête vers lui révèlent ses yeux bleu, ainsi que sa marque sur le coup.

- Vous avez réussit a me trouvé a ce que je vois.

Les battement de coeur du brigand s'accélèrent, il recule. Mais, de colère, ses deux associer le rejoigne affronté l'homme. Tous les client ce sont éloigné vers la sortis, au cas ou la situation dégénère, mais son resté par curiosité.

- C'était pas compliqué de te retrouvé. Déclara l'un des trois.

- Elle nous a bien aider...  Rétorqua un autre.

- Elle ?

Demanda l'homme, sa joie grandissant de plus en plus. Il n'était pas ur que ça avait marché, mais tout porté a croire qu'elle avait tenue parole.

- Tu nous a vendus a ce monstre !

Le chef de bande s'avança de nouveaux, enfoncent son index dans le torse de l'homme. Malgré ce manque de respect il ne perd pas son calme, alors que l'euphorie grandit de plus en plus dans son être.

- Enfin, ne dit pas ça.

Accompagnant le geste a la parole, il pousse de sa main, le bras de l'homme, en plantant son regard dans le sien.

- Et puis, c'est donnant donnant tu ne crois pas ?

La colère qui bouillait jusqu'à là dans le corps du brigand, explose a présent. Son teint deviens gris, ses veines se gorge de sang en virant au violé. Il poussa l'homme violemment, il tomba au sol.

- Tu l'avait mérité ! TU t'ai foutu dans cette merde, on t'a juste remit a ta place !

Un silence s'abattait sur eux, laissent la pluie battante s'exprimé pleinement. L'orage devenait de plus en plus violant, pendant que l'aire s'humidifier de plus en plus. Plus personne ne respirait, de peur d'énervé le gangster, qui ressemblait d'avantage a un cadavre qua un humain.

Quand le mort vivant décida de s'avancer vers sa victime pour continuer son excès de violence, son collier se serrât contre sa trachée l'empêchant de respirer. Il se retourna, quand il entendit ses amies suffoquer. Ces dernier était contre le sol, recroquevillé sur eux même, leurs main autour du coup essayent de trouvé la moindre bribe d'air.

La panique parcourue le sang du criminel, qui essayer tan bien que mal de tenir debout, malgré le manque d'oxygène, et le collier qui lui cisaille le cou. Les chaines des trois hommes, qui était coupé au niveaux de leurs torse s'agrandirent en une lueur verte, pour finir dans la main de l'homme, toujours allonger au sol.

Un grondement sinistre ce fit entendre, pendant que l'homme ce relevé, le cliquetis des chaines a ses trousses. Le brigand avait succombé au douleurs, et été a terre. Des cries retentirent, quand les main des trois bourreaux de se désintégré en cendre, s'envolent dans l'air lourd. L'homme les regarda s'envoler lentement en poussière, avant de ce mettre a la hauteur du chef. Il attrapa ses cheveux pour relever sa tête, dévoilant son visage a moitié décomposer.

- Je pense qu'elle a oublie de précisé que effectivement j'avais vendue vos âmes, mais elles m'appartiennent désormais.

Le brigand le dévisagea du regard, de peur de comprendre. L'homme passa sa maint sur son cou, avant de la descendre sur ses clavicules, pour désigné la marque encré sur sa peaux.

- J'ai fait un pacte de sang avec elle, ce qui fait que vos âmes sont aussi a moi.

- Tu joue a un jeu dangereux.

Un sourire malicieux ce dessina sur le visage de l'homme.

- Je sais.

Lâcha-t-il avant de lâcher la tête du chef, puis de ce redresser. Il s'apprêtait a partir quand la voix de son âme retentis.

- Tu ne t'en sortira pas comme ça.

L'homme ce sévit pas. Il resta les pieds encré sur le parquet, sa marque dans le coup s'allument d'une lumière verte.

- Vous m'avez roulé dans la merde, croyant faire le bien, sans même chercher a me comprendre. Vous m'avez détruit, vous croyant protéger par les forces du bien. Puis vous m'avez oublié, en me pensant mort par vos coup, mort emporter par les sentinelle mortuaire a cause de mes actes. Vous avez baisser votre garde, et vous vous heurté a la triste réalité: le « bien » ne vous a pas protéger. Vous savez pourquoi ?
Vous avez beau être bénit de toutes les divinité, les âmes on un prit, et peuvent être acheté par le pire meurtrier.

Les clients s'écartèrent quand il passa prés d'eux pour sortir du bâtiment. Il était satisfait. Tous avaient vue ce qu'il c'était passé, tous avaient  vue qu'il c'était vengé, tous avaient vue qu'il était désormais intouchable.



                                         *



L'homme ouvrit doucement les yeux. Il sentis une douce chaleurs, semblable a celle du soleil, sur sa peau. Cette douce chaleurs qui n'était autre que le reflet e la lumière sur les milliard de pièce d'or qui ce trouvaient ici. Il ce redressa lui, reconnaissent l''endroit, il chercha la propriétaire des lieux.

- Alors satisfait ?

Il ce tourna vers la provenance de la voix. Celle-ci appartenait a une créature a l'apparence de femme. cette dernier possède des ailes semblable a celle d'une pie, tout comme les quelque plumes qui parsemez son corps.

- Plus que ravit.

La femme s'avança vers lui, sa longue robe blanche ondulant le long de ses jambes. Elle s'arrêta a quelque centimètre de lui, avant de poser sa main sur la marque qu'elle lui avait faite quelque jours plus tôt.

- Je te l'avait die, je suis une divinité tu peu me faire confiance.

- Jusqu'a quand ?

Cette réflexion provoquas un rire chez les deux individus. La femme enleva sa main avent de planter son regard dans son pactisant.

- Ils t'ont trouvé plus vite que ce que je penser.

- Ils ont plus intelligent qu'on ne le panse.

- Tu compte en faire quoi ?

- Je ne sais pas, pour le moment tu en fais ce que tu veux.

La divinité souris. Ça faisait longent qu'elle n'avait pas eu d'âme a torturé.

- Ne me les abîmes pas trop.

- Je vais essayé.

L'histoire des corbeaux Where stories live. Discover now