Chut libre

9 2 0
                                    


Begin the end ~ Placebo

J'observe attentivement le ciel obscure parsemé d'étoiles, qui semble si lointaine, et c'est le cas. La toisons argentée ne ma jamais parut aussi belle, que maintenant, quand je suis assis sur ce toi, les pieds pendant dans le vide. Je ne me suis jamais sentis aussi libre.

Je détache mes yeux de ce magnifique spectacle, quand j'entend du bruit derrière moi.

Le claquement des bouteille entre elle résonne dans le cahot de la nuit, pendant que Ludo monte l'escalier qui mène en haut du bâtiment, sur lequel j'ai décidé de passer la nuit.

- Je pensais pas que tu viendrais.

Pendant qu'il s'installe a coté de moi, je sort une cigarette, la loge au creux de ma main pour la cacher du vent.

L'air n'est pas si fraie d'habitude. Mon corps frisonne au contacte du froid sur ma peaux. Il n'est pas habitué a ces température.

- Tu aurais du prendre une veste.

Me déclare le nouveaux venue, en s'asseyant, a coté de moi, en tailleur sur le petit rebord.

- Je n'en aurais plus besoin.

- Pas faux, p'tit bière ?

Il me tend la bouteille décapsuler comme si c'était un trophée. Je jette un oeil a l'unique bouteille que j'avais porter, qui est désormais vide.

De ma main libre j'attrape alors le trophée qu'il me tend, et bois une premier gorgé. Les saveur de la boisson explose dans mon palet, avent de glisser dans ma gorge, laissant un léger gout amer, dont je me lasserai jamais.

Je tourne ma tête vers mon camarade qui semble lui aussi ce délecter de ce gout qu'ont apprécie tan. Encore plus maintenant.

Je souffle la fumet de ma cigarette, et la regard filé au gré du vent, s'effacent petit a petit face au intempérie de la vie.

La braise de ma clope provoque une douce lumière, qui devient rapidement la seul source de chaleur, face au froid de la nuit.

- Tu ne voulait pas rester avec ta famille ?

Malgré les cries strident et gutturale qui perce l'atmosphère, les bruit de coup de feux, les sirène de police, d'ambulance et les vacarmes d'accident, j'entend tout de même le silence que Ludo ma donné comme réponse.

Soudain mon coeur ce sert, et l'air a du mal a ce frayait un chemin jusqu'a mes poumons. Je tourne la tête vers lui pour essayer de décrypter ses émotions. Ses lèvres souris, mais ses yeux brille d'une lueur triste, tendis qu'une larme coule sur sa joue.

Le song veut sortir, mais ils n'y arrivent pas. Je veux connaitre la réponse, mais j'ai peur de cette dernier. Je ne veux pas entendre ces mots sortir de sa bouche. Mais je n'est pas le choix, je dois lui demander. J'arrache alors mes corde vocale, et commence ma question.

- Ils sont...

- Mort ?

Me coup-t-il, d'une voix douce, qui contraste avec ce qu'il ce passe au pied de cet immeuble.

Mon coeur loup un battement quand il essuie la larmes. Je me sans tombé dans le vide, quand je suis rattraper par ses mots.

- heureusement non. Ils ont prie la voiture pour aller ce réfugier dans un boom-coeur, j'espère qu'ils vont y arriver.

- Et tu ne va pas avec eux ?

- J'allais pas te laisser mourir seul.

- Mais...

L'histoire des corbeaux Where stories live. Discover now