Partie 10

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La porte de ma chambre, je ne la fermait pas à clés comme mon frère. Il n'y a pas de trésor ou quoi à l'intérieur à quoi bon et puis personne à part mon frère dans cette maison.




Elle s'ouvre brusquement, deux hommes se tenaient devant mes yeux. J'étais encore au téléphone avec Ortense qui me déballait tout les détails de cette histoire. J'étais en serviette avec mon chapeau de bain sur le crâne prête à prendre une douche après la conversation. Je pousse un cris de femelle, en vrai j'en suis une ce qui est totalement normale.


Moi -  aouzou billah mina shaytani razim



J'entends Zayane à l'autre bout du fil me crier dans les oreilles me demandant ce qu'il m'arrive. Mais très vite, l'un d'eux s'avança à une vitesse phénoménale vers moi et m'arracha mon téléphone des mains. J'étais comme tétanisée, je bougeait plus, je savais pas quoi faire. Je voulais fuir mais mon corps réagissait pas à mon cerveau. Surtout fuir pour aller où risquant d'aggraver mon cas. Il portait des cagoules ou plutôt des bonnets qu'ils avaient trouées sous forme de cagoules. C'était sûrement pas des pros, je pense pas qu'il soit là pour nous cambriolés mais alors pourquoi sont-ils là ?

Les deux avaient l'air d'avoir le teint basanés de ce que je pouvais voir à travers le contour de la fausse cagoule. Ils étaient vêtue en survêtements et de paires de TN usés par le temps. Je tremblais sur moi-même, mon corps se mit à me brûler d'un coup c'était pire chaud. Je suis en serviette..Yeh Allah..


Homme 2 - Ferme ta guele avant je t'attache au lit et m'occupe de ton cas.


Il avait dis avec toute la haine du monde que mon souffle se coupa. Je sentais juste à la prononciation de ses mots qu'il n'éprouve pour moi que du profond dégoût. Plus aucun mots, ni même air ne sortait à présent de ma bouche. Je voulais juste savoir la raison de leur venue. Alors, impatiemment j'attendais qu'ils dialoguent.


Homme 1 - On est pas venu pour ça poto oublie pas !



La voix de celui qui viens de parler n'étais pas effrayante comparé à l'autre homme. La situation l'est, alors oublié ma pensée. Moi-même j'étais paniqué, je fais la meuf relax qui a pris son goûté à 16h.



Homme 2 - Ouais mais je peux toujours changer d'avis. Elle est bonne en plus sa chienne. Je savais pas qu'il avait des penchants pour les renoies.



Si j'étais pas aussi effrayé de finir violer, puis morte dans mon lit j'aurais sûrement répliqué. Je tremblais trop pour sortir la moindre syllabe de ma bouche. La vérité que ma grande bouche à ce moment me servait à quedal. Des fois, dans la vie faut être raisonnable quand on tombe sur plus fort que soit entre nous.



Homme 1 - Calme toi vite alors. Tu sais c'est la reuss à qui ?


Homme 2 - Je m'en balek ta mère.



Homme 1 - Parle bien, je suis pas ton pd aussi.



On savait des deux qui était le petit à qui sans blague l'homme 2 lui parlait comme si c'était son gosse. Il continuait à se disputer ou plutôt l'autre gueulait sur celui qui me défendait ok va dire. Tandis que moi j'osais même pas faire une action de peur des représailles.


Homme 2 - Bon, sors maintenant, je vais parler avec elle pour savoir ce qu'elle sait.



Homme 1 - Ok mais fais rien que tu pourrais regretté kho ! Le but, c'est de faire peur rien de plus !


Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant