Partie 33

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Quelques semaines étaient passés, à chaque fois que j'essayais de parler Reza de ma grossesse, je ne trouvais pas la force ou il m'envoyait valser sur des grosses roses avec nos petits moments de folies à nous. On avait pas encore instauré une vraie routine, mon mari était des plus imprévisibles et c'est ce que j'ai toujours aimé chez lui. Nous sommes à Saint-tropez pour passer autrement dit un court moment en amoureux. Pour le coup pas besoin d'aller loin dans un autre pays pour passer une lune de miel d'enfer, s'éclater en couple et passée de vrai moment inoubliable avec le plus beau des hommes à nos côtés. Depuis notre union, j'arrête pas de le trouver encore plus magnifique que la veille. Serait-ce l'amour que j'éprouve pour lui qui s'intensifie un peu plus avec le temps ? Je ne saurais pas le dire, mais le simple fait de me lever dans ses bras me comble de bonheur.





Il est 8 heures et demi du soir, Reza m'attends au rez-de-chaussée de l'hôtel pour m'emmener dîner à bord d'un restaurant bateau. Mon bébé ne fait pas les choses à demi moitié. C'était sensée être une surprise mais j'ai tout niquer en lui faisant croire que j'étais triste comme une vrai connasse. Il a finit par lâcher le morceau le pauvre, il n'aime pas me voir avec de la tristesse dans les yeux indirectement pour lui c'est de sa faute car son devoir est de me rendre heureuse continuellement. Nebi fè n'diarabi fosaya..An bé nioro fé fo ka an na abada kama InchAllah.













La dernière des robes longues à volants et drapés sur les côtés, un peu près du corps mais pas trop non plus, de couleur rose pâle, talon noir en velours et pochette noire. J'avais mis le collier que m'avais offert mon mari avant notre arrivée ici. C'était un collier avec écrit en Farsi mon prénom et juste en dessous le sien collée mais vraiment trop beau en argent.

Ps : Dans le même style.

Il ne me quittera plus jamais une chose est sûre

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Il ne me quittera plus jamais une chose est sûre. J'enfile mon long blazer à cape noir, et pshit pshit pshit Narcisco Rodriguez rose poudré.

Je ferme notre chambre et descend à l'accueil de l'hôtel où je le vois de dos adossé en position dodo limite contre un mur en verre.



Moi : Né kanou...kanou..


Il se retourne pas ce con, il fait encore exprès parce qu'il aime pas quand je l'appelle comme ça tship. Est-ce que moi je me plains quand il me sort des "omran", "ghalbam" etc.. ? Non, mais quand c'est ma langue monsieur rechigne est n'aimes pas sa tête cimenté là tship. Si vous n'avez pas suivi Né kanou veut dire mon amour dans ma langue.

Entre l'hôtel qui était au top, les balades en bateaux, les petits moments détente je n'avais de quoi lui prendre la tête mais en tant que femme relou et chiante euh? Il le fallait ahaha.

Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant