Partie 14

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Zayane était resté dormit chez moi pendant 2 jours. Mon frère n'y voyait pas de problème parce que monsieur se faisait de plus en plus rare à la maison. D'ailleurs, j'ai pas encore réussie à l'attraper pour lui parler de mon agression de la dernière fois à la maison. Toujours aucune nouvelle de la police, dans ses moments tu te rends compte à quel point ils servent vraiment à rien. Mais ce n'est que mon avis personnelle. Je comprends les gens qui se font justice eux-mêmes ou continue leur vie comme si de rien n'était les pauvres.














On est samedi aujourd'hui et j'avais décidée de me laisser aller comme à mon habitude. J'avais pris une longue douche et enfiler mes vêtements de maison. Vous savez le vieux jogging qu'on ne porte plus pour sortir et un t-shirt viellaux porter et porter qui a fait son temps. Je plonge dans mon lit, oui, vous avez bien lui un plongeon comme à la piscine. J'aime trop faire ça, puis après je bouge plus de ma position. J'attrape mon pc pour regarder un film et me recouvre sous mes draps. Mon téléphone ne cesse de vibrer mais la flemme d'aller le chercher je vous jure. Obligée je suis pas la seule à faire ça, je me dis aller je regarderais plus tard tellement j'ai pas d'amis au pire c'est un message d'orange ou des pubs à deux balles.

Puis, j'entends des bruits machines assourdissantes que même mes écouteurs ne camouflait pas. La seconde d'après un gros bruit similaire à un tremblement de terre s'abat dans mes tympans. Mon cœur s'est couper en deux secondes. Je me lève et sort sur mon petit balconnets. C'était chez les voisins d'en face des hommes en tenues vertes faisait des travaux dans leur jardin et venait d'abattre un arbre géant. Pas de quoi s'alarmer, c'est sûrement la seule ambiance qu'on entend dans mon petit quartier pavillonnaire et tant mieux j'ai envie de dire.











Je retourne m'installer à mon poste de commande, c'est-à-dire devant mon ordi portable. Quand la porte de ma chambre se claque au mur. Une grosse trace viens marquée mon mur dessinant ma poignée de porte. Mon frère venait d'entrée dans ma chambre en énervé comme never des never. Je bondis de mon lit et lance mon pc sur ma table de nuit. Quand, il est dans cet état vaut mieux sauver l'essentiel autour de moi. Mon frère, c'est les renois costaud que tu croise dans la rue que ta limite envie de baisser les yeux en croisant son regard. Tu demande qu'est ce qu'il peut bien manger pour être comme ça. La nourriture africaine fait partit du résultat je pense bien comme l'a dit Babarr. Je l'aime trop ce mec, j'espère qu'il va cé-per à l'aise.














Après, je ne dit pas que l'être veut forcément dire que t'es un casseur. Absolument pas parce que l'adversaire peut-être armée ou tu peux manquer de technique face à lui alors tes points te sont inutile. Tu peux être le plus gros des caïds ou être un thug comme vous le sentez moi je préfère l'utiliser pour parler des personnes à l'échelle de Tupac, Biggy, mort pour et par la rue. Je trouve que ce mot n'a plus de valeur parce qu'il est utilisé à mauvais escient. Je préfère dire Caïd ou lascars ou dangereux ou dealers ou bandits, nous avons le choix entre une multitude de formulation. Puis, mon frère n'en fait pas partit lui et j'en suis bien heureuse. J'aimerais quand même connaitre un jour où il travaille n'empêche. Parce que depuis tout ce temps maintenant que j'y pense je sais toujours pas, il m'a toujours qu'il travaille dans le commerce. Mais le commerce reste très large, oui certes, je me suis arrêtée au bac mais j'en connais un rayon. J'ai pas ouvert mon cahier mais je suis cultivé.












Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]Where stories live. Discover now