Partie 25

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[Ps : Suite du flashback en italique]

T'es la plus belle des plus belles, rayon de soleil depuis le sofitel. T'es une fille bien tu sera ma hlel.







Le levé du soleil n'était pas complètement encore apparu, enfin de ce que je voyais de la fenêtre de la salle de bain.
Aujourd'hui on est le 1 décembre et qui dis décembre dis mon anniversaire avant fin de l'année. Mais pas seulement puisque moi et Reza on est ensemble depuis environ presque un an. Fou comme les mois se sont défilés à une vitesse folle. Reza ne sait pas que mon anniversaire est aujourd'hui pour la simple et bonne raison que je ne lui en est pas informé. À vrai dire, je souhaitais pas fêter mon anniversaire parce qu'il n'y a pas de quoi fêter ce jour qui me rapproche de plus en plus de ma mort. Puis, sans mes parents et mon frère à mes côtés, je vois encore moins l'intérêt de le célébrer.
Une fois mon devoir rempli, je trouvais plus le sommeil. Ma famille me manquait énormément et l'espace de cet instant réussi à m'imbiber d'un sentiment de solitude. À force de trop pensée, je m'étais assoupie sur le canapé du salon. Lorsque mes yeux s'ouvrit, je pouvais sentir les rayons du soleil me traversée le visage de plein fouet. Les rideaux étaient tirées offrant un éclairage complet dans la pièce. J'avais compris que Reza était réveillé à son tour et qu'il avait jugé bon d'aérer son salon.

Je me lève avec des légères courbatures dans le corps dû à ma courte sieste. Certes son canapé était beau, confortable assis et doux mais c'est pas pour autant que c'était un bon lit. C'était de toute évidence non anormal que j'échappe au bonne vieille courbatures. J'ai pas assurée du tout de m'endormir la tête sur l'accoudoir servant de repose bras en réalité. Puis, je pense que Reza m'avait vu tellement paisible qu'il a pas eût envie de me réveiller.
Arrivée dans la chambre, pas un chat, pareil pour la salle de bain et l'ensemble des autres pièces du duplex. Mais où était-il donc passée sérieusement ? Généralement, il me tiens au jus quand il bouge ou pour quoi que se soit. Mise à part son biz qu'il ne parlait pas mais difficile de le cacher. Je le voyais bien qu'il s'agissait de cette merde qu'il touchait au nom de sa famille. D'ailleurs, plus d'une fois récemment les choses ont faillis mal tournées quand es disputes éclataient entre nous. Il y'avait des soirs où il rentrait le regard, ou il passait d'interminables conversation téléphonique, où il ne fermait pas l'œil de la nuit mais le soir qui m'a beaucoup plus fait flippé est lorsqu'il était rentrée le gilet ensanglantée sur la manche. Il m'avait ensuite avoué qu'il avait dû prendre les choses en mains et j'avais compris qu'il avait tabassé un homme avec ses points. Son calme quand il me racontait me terrifiait, le manque de remords c'était tout naturel pour lui à l'observer. La nouvelle nature que commençais à graisser l'homme que j'aimais me submergeait. J'avais peur pour lui forcément mais lui n'en avais pas conscience. Il y'avait aussi Hibou, le pote à mon frère qui tentait de me joindre souvent chose que je ne comprenais pas. Mais c'était pas le pire, c'est plutôt les messages qu'ils m'envoyaient. Il était fort chelou, il n'en n'était aucunement question de mon frère, mais plutôt de moi d'ailleurs ce qui m'était dans une colère noir Reza qui n'avait pas hésité à le bloquer la énième fois de trop. Merci l'iPhone, j'y avais même pas penser sinon je l'aurais fait depuis le début pour éviter nos embrouilles. On s'était bien entendu disputée toutes ses fois là mais à la fin nous finissons toujours par se réconcilier. S'il n'y avait pas de problème dans notre couple, choses impossibles alors je me disais que c'était normal à un moment donné. On avait manquée plus d'une fois de franchir les limites. Dormir ensemble qui plus est, côte à côte était un concours de circonstance pas simple à résister au feu qui brûle en nous.

On vivait bien plus qu'une simple amourette, non la notre c'était une relation à pleine puissance qu'on a qu'une seule fois dans une vie. Enfin, j'en étais persuadé mais en était-il de même pour lui. Seul l'avenir me le dira.

Jusqu'à ce que mon frère nous sépare - Chapitre [1]Kde žijí příběhy. Začni objevovat