Oups, patron

Hello brother

J'avais fini la journée à l'ignorer et sa "copine". Mon frère m'a proposé de sortir et je n'est pas refusé car je ne l'ai pas vu depuis quelques temps déjà. Mon frère c'est Jay, le mec vous savez hyper cool, et qui est sorti avec toutes les meuff canon du lycée. D'ailleurs il sort avec une fille, je ne l'aime pas du tout car c'est une fille fausse mais bon eux deux cela fais déjà 2 ans. Je sais que un jour ou l'autre leur histoire vas mal finir, mais pas à cause de lui, à cause d'elle et j'en suis sûre.

Jay m'a dit qu'il allait m'emmenais en boite, bon pourquoi pas. Je m'habille assez classe et commence à sortir de de mon appartement. Je vois Jay et sa copine dehors entrain de m'attendre. Je souris à mon frère et ignore sa copine. Je lui fais la bise et me dirige vers sa voiture.

- Tu pourrais lui dire bonjour quand même, dit Jay dans mon oreille.

- Qui ça ?, dis-je avec innocence.

- Bande de gamine, dit-il rieur.

Il démarre sa voiture et part en direction de la boite. Mon téléphone sonne et je vois que j'ai reçue un message de Louis.

Louis: Où êtes vous ?
Moi: Cela ne vous regarde pas Jones.
Louis: Dites moi !
Moi: Oh monsieur est autoritaire encore une fois.
Louis: Ne jouez pas à ça avec moi.
Moi: Très bien, je vais à un endroit où je vais m'amusez, sur ceux bonne soirée à vous.
Louis: Très bien je vais venir vous chercher, à toute à l'heure.
Moi: C'est ça oui.

Je souris car j'aime le provoquer et je me dis que je vais passer une super soirée aux côtés de mon frère. Nous sommes enfin arrivées et j'entends déjà la musique, ce soir je suis de bonne humeur et je vais m'amuser !

Cela fais déjà 30 minutes que je suis au bar, j'ai bu quelques verres mais je ne suis pas encore saoule, et Jay fait attention à moi et à ce que je consomme, il m'observe depuis la piste de danse où il se trouve avec sa poufiasse.

Je pense que je ne suis pas encore saoule mais je n'est pas les idées très claires, heureusement que personne viens me voir, je fais pitié. Mais depuis 15 minutes j'ai remarqué une silhouette qui m'est familière dans l'ombre. Je regarde attentivement et me dirige vers celle ci car l'homme me fixe et je trouve ça étrange.

Je m'avance lentement, sur de moi. Tout le monde danse autour de moi, la musique me détruit les tympan mais je le fixe que lui. Je suis encore loin de lui et nous nous fixons en même temps que j'avance, des personnes me bousculent en dansant mais je n'y prête aucune attention. J'arrive enfin à sa hauteur, je m'arrête face à se visage si parfais et reconnaissable à 1000 km. Je ne dis rien, on se fixe, on se contemple.

- Vous, dis-je.

- Moi, dit-il.

Tout ce qui est autour de nous a disparut, je me sens libre et bien. J'ai l'impression que je n'est bu aucun verre. Je me vois dans une bulle avec lui me fixant toujours autant.

- Charlie, dit-il.

- Louis, dis-je.

- Je vous avez dit que j'allais venir vous chercher, j'ai prévenue votre frère, dit-il.

- Comment ?, dis-je stupéfaite.

- Venez avec moi, dit-il.

Je ne bouge pas, et lui me regarde avec incompréhension. Puis il se rapproche de moi et colle son front sur le mien, je sens son odeur et je le fixe. Je veux partir avec lui mais je ne sais pas pourquoi. Du coup, je me recule.

- Non, dis-je.

- Charlie venez !

- Pourquoi me faites vous cela ? Restez avec Alix et arrêtez de me faire ça, dis-je.

- De vous faire quoi ?

- De.. de faire tout ça. D'essayer d'apprendre à me connaître etc...dis-je.

- Par ce que je le veux, je veux être avec vous, et je veux que vous soyez à moi, dit-il en plongeant son regard dans le mien.

Je m'avance vers lui et prend sa main comme si c'était une habitude. On sort de la boite, on s'avance vers sa voiture et il me fait rentrer dedans.

- Pourquoi faites vous tout cela avec moi et pas Alix ?, dis-je en regardant par ma fenêtre.

- Pourquoi tout le temps me parler d'elle ?, dit-il d'un ton ferme.

- Car vous couchez avec elle et c'est votre secrétaire !, dis-je énervé en me tournant vers lui. Il me regarde et re fixe la route.

- Nous ne couchez plus ensemble depuis que vous nous aviez surpris, et c'est ma secrétaire car sois c'était ça sois c'était la directrice des ressources et ça aurait était pire n'est ce pas ?, dit-il.

- Pourquoi ?

- Son père est mon patron, je croyais que vous le saviez, dit-il.

- Euh... non elle me l'a jamais dis, dis-je honteuse.

- Mais je vous rassure sur une chose, je ne l'ai plus jamais touché après cette fâcheuse scène. C'est elle qui saute sur moi, je n'est eu envie que de touché une seule femme depuis notre premier regard mais celle ci ce montre beaucoup plus inaccessible et je vous avoue que c'est de plus en plus dire d'y résister lorsque je suis à ces côtés, dit-il en me regardant quelques fois.

Je rougis face à cette déclaration et je ne sais plus quoi dire. Je me retourne face à ma fenêtre et tente de changer de sujet.

- Où allons nous ?, dis-je.

- Chez moi, je dormirez que le canapé et vous dans ma chambre, dit-il.

- Pourquoi chez vous ?

- Car j'ai du mal à être loin de vous, et je vous veux avec moi, dit-il la mâchoire crispée.

- Très bien, dis-je en souriant. Je remarque qu'il se détend.

- Bien sur que vous donnerez des habits à moi pour la nuit, dit-il gêné.

- Ah oui, merci beaucoup, dis-je.

Toujours face à la fenêtre je sens que quelque chose se posé sur ma cuisse gauche. Je regarde et je vois que Louis a déposer sa main sur ma cuisse, je souris et place ma main sur la sienne sans gêne. Il resserre ma main et nous arrivons enfin chez lui.