Oups, patron

Quelle tante

Vendredi 5 février:

Hier je me suis mis officiellement en couple avec Louis et je me sens bien, bon c'est très étrange car c'est mon patron et nous devons cacher notre relation au travail ce qui est normal. Marc lui ne travail plus avec nous, Alix toujours la secrétaire de Louis mais je n'est plus peur d'elle. Et Hailey et Simon sont juste adorables et mignon ensemble, un couple qui fais rêver.

Aujourd'hui j'ai juste une petite journée de boulot et ensuite je reste chez moi, ça oui. Personne ne pourras me faire sortir de mon canapé avec mes pop corn à la main.

Driiiing driingg

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai un mauvais pressentiment. Je me dirige vers la porte avec lenteur et ouvre. C'est ma tante, la pire des femmes que je n'est jamais connue. Je ne comprends même pas pourquoi elle est là.

- Bonjours Nathalie, que faites vous la ?, dis-je.

- Tu ne me laisse même pas rentrer, moi ta tante ?, dit-elle avec m'épris.

- Bah si, je t'en pris, entre, dis-je en m'écartant pour la laisser rentrée.

- Bon que se passe t-il ?

- Il se trouve que je vais essayer de marier ma fille a un gentleman, dit-elle.

- Et ?, dis-je.

-Il est directeur de journalisme, dit-elle en s'asseyant sur mon canapé.

- Vous voulez en venir où ?, dis-je fatiguer.

- Pourriez vous avoir des coordonnées ou voila...dit-elle.

- Je ne connais même pas son nom, dis-je en riant.

- Pour l'instant vous en avait pas besoin. Je vais organiser une rencontre, dit-elle en riant.

- Bah alors vous avez son prénom, dis-je énervée.

- Nous ne sommes pas sur, nous savons juste qu'il est directeur de journalisme et qu'il est très beau.

- Bon, et c'est quand leurs "fausse" rencontre ?, dis-je.

- Dans une semaine, a une sorte de soirée à la bourgeoise, dit-elle.

- Ok, c'est tout ?, dis-je.

- Oui ma chère, a bientôt.

- Oui, bye.

Ouff enfin, elle et sa horrible fille je les déteste. Pauvre "gentleman" qui vas tomber dans leur panneaux. Si je sais qui c'est, j'essayerais de l'aider.

Bon je me remet à mes occupations et m'endors devant la télé.

Driiiiiiingg driiiiing

Je me réveille d'un coup et cours à ma porte, j'ouvre c'est Louis. Je lui souris et il m'embrasse avec vitesse mais tendresse. Je le laisse rentrer et je me dis que je vais faire à manger pour nous deux.

En mangeant je décide de parler de ma tante à Louis.

- Ah enfaite, j'ai eu une visite incroyable aujourd'hui, dis-je en riant.

- Ah oui, celle de qui ?, dit-il curieux.

- Celle d'une de mes tantes horrible. Elle m'a annoncée qu'elle allait mariée sa fille dans très peu de temps. Sa fille est aussi horrible, dis-je avec dégoût.

- Et qui est l'heureux élu ?, dit-il en riant.

- Je ne sais pas justement, elle est venue me demander des informations alors qu'elle ne sait même pas son nom. Mais attention elles ont prévu une rencontre. Je sais juste que c'est un gentleman et un directeur de journalisme, dis-je.

- Gentleman comme moi ?, dit-il en souriant.

- Non toi tu es tout le contraire, dis-je en le tapotant à l'épaule.

Il fait la mou mais je l'embrasse et il arrête de suite de bouder.

- Ah enfaite, justement la semaine prochaine. J'ai un sorte de gala et j'aimerais t'emmenais en tant que petite amie, dit-il timidement.

- Oui d'accord, je serais la, en tant que ta petite amie, dis-je.

On fini de manger et Louis veut regarder un petit film dans le lit. Je ne refuse pas car c'est mon quotidien et j'adore les films. Nous sommes coucher, recouvert d'un plaide et je suis collée à lui car j'ai très froid et lui me réchauffe. On regarde le film tranquillement mais je me demande si Louis vas rester cette nuit ou pas.

- Louis ?, dis-je.

- Oui, dit-il en regardant la télé.

- Tu reste cette nuit ou pas ?, dis-je gênée.

- Euh pour dormir, euh oui si ça te gêne pas, dit-il nerveux.

- Non comme ça, tu vas me tenir chaud, dis-je en lui souriant.

Il me sourit et m'embrasse avec tendresse. Il est 23h maintenant et mes yeux comment à se fermer petit à petit, Louis m'embrasse sur le front et part dans la salle de bain. Il revient en caleçon et se glisse sous la couette. Nous nous coulons car il fait très froid et le chauffage chez moi... c'est compliquer.

En plus demain, on ne travail pas. Super, on vas faire une grasse matinée !

Je m'endors dans ces bras, et cela me rappelle lorsque j'avais passer la nuit je sais plus où pour le boulot. Lorsque j'avais la sensation que quelqu'un me tenais la hanche, Louis est exactement comme le garçon de mon imagination.

Samedi 6 février:

Je me réveille doucement et Louis dort encore, qu'il est mignon... j'adore. On dirais un ange lorsqu'il dort c'est incroyable.