Le jour où Abby est morte

La reponse

Cela devait bien faire une journée entière que je n'avais pas mangé, et croyez moi ce repas est l'une des meilleures choses qui me soit arrivés depuis le début de se périple. Les pâtes étaient succulente et la touche de parmesan rajoute ce petit goût en plus qui fait toute la différence. Je suis quand même bien traité pour quelque un qui c'est faite kidnapper sauvagement! Je suis toujours assise sur cette chaise horripilante et mon dos commence à le ressentir, je dois certainement avoir un torticolis désastreux et ma salive n'est plus que sécheresse.

Cette pièce est dans la quasis totalité noire mais le faible éclairage du plafonnier suffit pour y voir suffisamment. Celle-ci est vide, sans âme et agréablement silencieuse, ce qui peux parfois être un signe de solitude et de folie.

- Je vois que tu es en pleine réflexion, c'est rare d'avoir des personnes aussi calme dans cet entrepôt. Alors comment étaient mes pâtes ? Me dit Pierre sans que je me rendes compte qu'il était rentré dans ma nouvelle demeure.

- Es-tu italien ? Combien de temps ça fait que je suis attachée sur cette chaise infeste ? Personnellement ce n'est pas que je me fais chier mais un tout petit peu quand même.

- Tu es vraiment une jeune intéressante Abby, oui ma mere était italienne et mon père russe le hasard fait bien les choses non ? Et je dirais que tu es là depuis hier matin seulement. Je vais être clair avec toi ma belle, c'est maintenant que les vraies choses commence alors soit tu es compréhensive et tu réponds rapidement à mes questions, soit je te défigures jusqu'à ce que mort s'ensuive compris ?

- Oui chef lui répondis-je en rigolant. Le stress peut être vous dirais-je ou l'angoisse de ne pas pouvoir répondre à ses questions..

Il m'affligea un uppercut en pleine mâchoire qui me renversa à l'envers, c'est à ce moment là que je pus apercevoir la baie vitré situé au premier étage. Il m'observait depuis hier déjà et je prie pour qu'il n'est pas vu mon couteau fait maison. Malgré la douleur terrassante je continuais de rire, il n'y avait rien de bien drôle mais ce qu'ils ne savaient pas c'est qu'il se confronteraient à un mur avec autant de violence.

- Je comptais commencer que demain mais apparemment tu m'as l'air d'être prête. Ses yeux virèrent aux noir,  plus foncé que d'habitude, il releva ses manches de sa chemise en cachemire et me fixa d'un air désolée, il remît son voile tout en détournant les yeux vers la table de gauche.

- Pourquoi les gens cachés derrière la baie vitré ne viendrait-il pas me voir au lieu de t'envoyer faire le sale boulot ? Ils ont trop peur que je découvre qui ils sont avant même de leur parler ? Ils ont bien raison vu comment ça était facile avec vous lui dis-je d'un ton amer. Une gifle vain se coller sur ma joue déjà remplie de sang et je savais que j'allais passer une très mauvaises soirée.

- C'est moi qui pose les questions ici ! Comment connais-tu Max Oxford ? Et où habite t'il ?!

- Max ? C'est mon ex petit-ami notre relation a duré deux ans mais qu'à t'il à voir avec mon kidnapping ? Et je n'ai plus de nouvelle depuis qu'il est rentré dans l'armée cela doit faire cinq ans maintenant qu'il a disparu, pauvre con ta choisi la mauvaise personne et arrete de me frapper ça ne sert à rien la violence lui crachais-je au visage.

Il allait me frapper de nouveaux quand une voix se fit entendre dans un micro, ARRETE ELLE A N'A assez eu pour ce soir !! Je connais cette voix j'en suis sûre, je la connais..

- Tu as de la chance gamine me dit-il avec un clin d'œil qui m'a fait blanchir. Ah et oui tu l'as bien compris, si t'es ici cest que Max nous doit quelque chose et heureusement pour lui on ne connaît pas son visage. Alors si t'arrive à sortir de ce merdier tue le avant nous ! Me dit-il avant de me couper les cordes et me jeter sur un petit lit miteux qu'il se trouvait au fond du hangar. Et ensuite il est parti comme si de rien était...

COUCOU TOUT LE MONDE ALORS COMMENT PENSEZ VOUS DE CETTE RÉVÉLATION ? VOUS VOULEZ LA SUITE ? N'HÉSITEZ PAS À COMMENTER 😏