Chapitre 12 : Reviens parmi nous

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Lundi matin :

Je ressens enfin la joie de me lever à 6h...You-pie...
J'ai cru que j'allais passer mon réveil par la fenêtre de ma chambre. Je suis un gars calme mais là... Des envies de meurtres de réveil, parfois...

Je me sors de mon lit à contre cœur. Pourquoi c'est si tôt les cours ? Je me motive devant mon miroir. Mon corps frèle, mes cheveux bruns indomptables au réveil et surtout, mon corps tacheté de la tête au pied. Je ne trouve pas ça très sexy, on dirait un dalmatien à taille humaine ! Mais ma mère me répète que c'est ce qui fait mon charme... N'importe quoi...

Je finis de m'habiller et descend les escaliers pour aller à la cuisine. Ma mère est là, entrain de prendre son café.

Maman : Bonjour mon chéri. Bien dormi ?

Moi : Bonjour maman, oui oui ça va.

Je chope mon bol et mes céréales et commence mon petit dej sur l'îlot central. Je lis une histoire sur mon téléphone tout en mangeant. J'ai, acquis au fil du temps, une véritable dextérité à ne pas m'en mettre partout lorsque je lis. Soudain mon téléphone vibre dans ma main et une notification de message apparaît. Je clique dessus après avoir vu de qui ça venait.

Jean 💙

Hey Freckels ! Juste
pour te demander
de te dépêcher un
peu, je vais pas
t'attendre 2h...

Tu m'attends ?
Où ça ?

Tu verras 😉

D'accord... Je finis de manger, passe faire un bisou à ma mère avant de remonter finir de me préparer. Je redescend 10 minutes plus tard, sac sur le dos. Je mets vite mes chaussures et sors de chez moi. Je me retrouve donc nez à nez avec un grand châtain qui me fait signe devant une moto, deux casques à la main.

Jean : J'ai faillis attendre... Ça va ?

Moi : Oui mais... Qu'est ce que tu fais là ??

Jean : Je viens vous chercher, Votre Altesse.

Il me tends un des casques et enfile l'autre.

Jean : Monte derrière et accroche toi bien à moi.

Moi : J'ignorais que tu faisais de la moto.

Jean : Il y a beaucoup de choses que tu ne sais pas sur moi.

Sur ces paroles, je m'exécute. Je dois avouer que c'est assez agréable de me retrouver collé au corps de Jean, même pour un petit trajet. Et si jamais je... Enfin que mon... se lève ? Je fais quoi ? Je pris intérieurement pour que ça n'arrive pas.
Jean commence à rouler tranquillement et je regarde passer les maisons de mon quartier. Un dodane sauvage surgi soudain et je m'accroche désespérément à Jean pour ne pas tomber. Je crois ne jamais avoir été aussi proche de quelqu'un...

On arrive en 10 minutes à peine au lycée. Je descend à contre cœur pour laisser Jean manœuvrer tranquillement.

Jean : Tu as apprécié cette petite balade ?

Moi : Très agréable...

Jean : T'es rouge Marco !

Moi : Quoi ?! N- non !

Pourquoi moi ?! [Jarco] [ Correction + Réécriture ]Dove le storie prendono vita. Scoprilo ora