Mystère

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Pdv Zeldris

Comme tous les matins, je me lève pas motivé. Je me prépare et pars manger. À table, je croise mes frères. Personne ne parle. C'est d'un ennui. Notre père finit par arriver. Il nous fait tous un tas de reproche. Je baisse la tête. Tous les jours, c'est la même chose. Je me lasse de cette vie. Malheureusement, étant princes, nous n'avons pas le choix. Nous avons des obligations. Notre père veut qu'on soit les meilleurs. Il n'y a pas de place pour les faibles. Étant le dernier de la fratrie, je me prend toutes les critiques. Mon grand frère Meliodas prend souvent ma défense. Il lui a déjà tenu tête. Malheureusement, il en a subit les conséquences. Mon autre frère Estarossa, lui personne lui dit rien. Je pense que c'est parce qu'il a été adopter. De plus, c'est un gros fainéant. À la fin du repas, avec Méliodas on part à l'entrainement. Estarossa part de son côté. Sûrement pour dormir dans son coin et en faire le moins possible. Le maitre d'arme de Méliodas, Chandler et le miens Cusack, nous attendent.
Chandler : Vous êtes en retard.
Cusack : Laisse les tranquille un peu.
Méliodas : Vous avez fini oui?!
Mon aîné est très impulsif. Il se met facilement en colère. Contrairement à lui, je suis plus calme. Il est rare que je m'énerve. Il a souvent tendance à me taquiner. Il me pousse à mes limites. Le pire dans tous ça, c'est que ça l'amuse. J'ai plus d'affinité avec lui qu'avec Estarossa. Il faut dire que ce dernier préfère rester dans son coin à paresser. Je m'entend bien avec lui mais je le vois moins souvent. Le peu que reste avec lui, je dois le surveiller. Il est très immature. Nos rôles sont inversé. Je prends soin de lui comme si j'étais le plus vieux.
Cusack : Jeune maître, concentrez vous!
Chandler : Arrête de le ménageait.
Méliodas : Chandler, ça suffit!
Chandler : Bien maître...
Chandler et Méliodas reprennent leurs échanges. Je fais de même avec Cusack. N'empêche Chandler a raison. Mon maître d'arme a tendance à me surprotéger. Comme ma défunte mère, j'ai une santé fragile. Je suis gravement malade. Depuis quelques années, j'ai un traitement. J'ai repris des forces et je suis un peu plus résistant. Je peut m'entrainer normalement. Cusack ne force pas trop. Il ne veut pas me brusquer. Je sais que je suis capable de plus. J'ai demandé plusieurs fois d'intensifier l'entrainement mais il refuse. Pas la peine que je demande à Chandler, il entraine que mon frère et ça risque de vexer Cusack. Peut-être Méliodas. Faudra que je lui demande. L'entrainement s'achève enfin. Je reprend le chemin de ma chambre. Je passe par un couloir asser sombre. Plus jeune, j'avais terriblement peur. Méliodas m'accompagnait et me réconfortait. Maintenant, j'y passe seul. Je ne suis toujours pas vraiment rassuré. Je rêvasse et me cogne dans quelque chose. Je relève la tête et vois une porte. Je ne me souvient pas l'avoir vu avant. Curieux, j'essaye de l'ouvrir. Impossible, je décide de toquer. Aucune réponse. Tans pis. Je fais quelques pas en arrière, près à repartir. Soudain, j'entends une réponse de l'autre côté. Je me rapproche et réentend toquer.
Zeldris : Il y a quelqu'un?
Inconnue : Es ce que je rêve?
J'entends la voix d'une jeune femme.
Zeldris : Qui êtes vous?
Inconnue : Je m'appelle Gelda et vous?
Zeldris : Mon nom est Zeldris. Que faites vous ici?
Gelda : Je ne sais plus. Ça fait tellement longtemps que je suis enfermé dans cette chambre.
Zeldris : Pourquoi ça ?
Gelda : Vous êtes bien curieux. J'étais au mauvais endroit au mauvais moment.
Zeldris : Qui vous a enfermez?
Gelda : Le roi.
Zeldris : Le roi?!
Gelda : Vous allez l'air surpris!?
Zeldris : Euh... Je vais vous sortir de là.
Gelda : C'est gentil mais vous risquez d'avoir des ennuis.
Zeldris : Ça ne changera pas de d'habitude. Vous êtes toute seule?
Gelda : Oui... Ça fait longtemps que je n'ai parlé à quelqu'un. Peut-être que je finis par déliré et qu'au final, je ne parle à personne...
Zeldris : Je vous assure que je suis bien réel.
Gelda : J'aimerai y croire.
J'entends des bruits de pas derrière moi. Je panique et me retourne. Estarossa arrive a ma hauteur.
Zeldris : Tu m'as fait peur abruti.
Estarossa : Tu ne devrais pas être dans ta chambre?
Zeldris : Ah... Euh...
Je me gratte l'arrière du crâne. Est ce que je dois lui dire pour Gelda?
Estarossa : Évite de trainer dans les couloirs. Si notre père te vois...
Zeldris : Je sais... Tu en as de la chance. Il ne te dis rien alors que tu ne t'entraine pas.
Estarossa : Ça c'est ce que tu crois. Bref, traîne pas trop.
Zeldris : Oui, t'inquiète pas. Dis Estarossa, tu ne m'as pas vu d'accord ?
Estarossa : Ça marche, petit frère.
Il fini par partir. J'attends qu'il soit loin pour reparler à Gelda.
Zeldris : Gelda, je regrette mais je dois vous laissez.
Gelda : Ce n'est rien...
Zeldris : Je reviendrai demain. Je vous le promet.
Elle ne me répond plus. Je m'éloigne de la porte. Je cours dans le couloir. Arrivé au bout, je me fais discret. Des gardes rodent. Si ils me trouvent, je risque gros. Nous sommes autorisé à sortir de nos chambres juste pour manger et s'entrainer. Je regarde autour de moi. Personne. Je me lance. Sans que je m'en aperçoive, l'un d'entre eux arrive vers moi. Je n'ai pas d'échappatoire. Je suis trop loin de ma chambre. Il va me tomber dessus. J'ai peur. Mon coeur s'emballe. Soudain une main se colle sur ma bouche. Quelqu'un me tire dans un cul de sac.

Yo tous le monde. Enfin je publie cette fiction. Comme je l'ai dit, il n'y a pas de magie. J'espère que ça vous plaira. N'hésitez pas à lire mes autres fictions. Normalement, elle n'aura pas beaucoup de chapitre.

Derrière la porteWhere stories live. Discover now