Rêve ou réalité

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Pdv Méliodas

Je retourne dans la chambre de mon petit frère. Je vais à son chevet. Je vérifie sa température. Le pauvre a encore beaucoup de fièvre. Je m'allonge près de lui et le cale contre moi pour le réchauffer. Il grelotte. J'aurais aimé rejoindre ma bien aimé mais je ne peut pas le laisser tous seul. Il pourrais lui arriver n'importe quoi. Surtout avec Estarossa. Si je disparais, Zeldris prendrais ma place sur le trône. Je sais qu'Estarossa veut la couronne. Il ferait tous pour arriver à ses fins. Quitte a l'éliminer. Je ne supporterai pas de perdre Zel. Les heures passent et il finit par se réveillé.
Zeldris : Gelda?
Méliodas : J'en suis désolé mais non.
Il se redresse difficilement. Je m'assoit à ses côtés.
Zeldris : Aïe ma tête.
Méliodas : Fais doucement frangin.
Zeldris : J'ai fait un drôle de rêve.
Méliodas : Tu peut me raconter.
Zeldris : J'aimerais sortir un peu avant.
Je me lève et il fait de même. Il tousse encore.
Méliodas : Couvre toi. Il fait froid.
Il met un gros pull. Nous sortons de sa chambre et nous baladons dans les couloirs.
Zeldris : J'ai rêvé que je me reveillais dans les bras d'une belle jeunne femme. Elle avait de magnifique cheveux de blé, des yeux améthystes, un sublime sourire, une généreuse poitrine...
Méliodas : Espèce de petit obsédé.
Il rougit à vu d'oeil. Ça me fait rire. J'ignorais qu'il était comme ça.
Zeldris : Bref... C'était Gelda. Elle m'a avouer ses sentiments et je l'ai embrassé.
Méliodas : Et ben. Tu perd pas de temps.
Zeldris : J'aimerais tellement que sa soit réel.
Méliodas : Ensuite?
Zeldris : Ensuite... Quoi ensuite?!
Méliodas : Bâ qu'es ce que tu as fait? Tu lui as sauté dessus?
Zeldris : Ah! Euh, non... Je m'en souviens plus.
Je rigole de sa gêne. J'adore le taquiné.
Méliodas : Dommage, au moment le plus intéressant. Heureusement que ce n'est qu'un rêve. T'imagines tu commence à faire des choses et que tu en as aucun souvenir de ce moment.
Zeldris : Hey! Mais ça n'arrivera pas. Enfin, comme tu l'as dit ce n'est qu'un rêve. Je suis tombé amoureux de Gelda mais j'ignore ce qu'elle ressent. Ça fait un petit moment que je ne peut plus bouger de ma chambre et que je ne lui est pas parlé. Elle doit m'en vouloir de l'avoir laissé sans aucune nouvelles.
Je l'écoute sans rien dire. Je crois que je l'ai blessé sans le vouloir. J'ignore ce qu'il c'est passé quand je me suis absenté. Si il faut ce n'est pas un rêve et il l'a vraiment vécu. Gelda elle même m'a confirmer qu'il c'était réveillé. Je l'ai bien vu, elle est tout aussi éprise que lui. J'essaye de le réconforté. Je dois attendre qu'il se rétablisse un peu plus avant de lui parler de fuir. Je ne peut pas prendre le risque qu'il fasse une rechute.
Zeldris : Au fait, comment ça se passe avec ta chérie ?
Méliodas : Moins fort. On pourrait nous écouter.
Zeldris : Désolé.
Méliodas : Ce n'est rien. Elle est juste formidable. J'aimerais que tu la rencontre.
Zeldris : Avec plaisir. Tu peut me raconter votre rencontre?
Méliodas : Si tu veut, mais se soir.

Pdv Zeldris

J'adore discuter avec mon frère. Au moins avec lui, je peut être moi même. On peut parler de tous. Enfant, il me raconter des histoires avant de dormir. Maintenant, il m'en raconte seulement quand je lui demande. J'aime sa façon de conter ses histoires. Même si la plupart du temps se sont des légendes du royaume de Britania, je ne m'en lasse pas. Je le suis sans trop me poser de question. Ce château me paraît toujours étranger. Gelda me manque terriblement. D'après ce que m'a dit mon frère, elle est venu me voir. Nous aurions parlé et surtout nous nous serions vu. Malheureusement, je ne m'en souviens pas. De quoi nous avons parlé? A quoi elle ressemble ? Qu'es ce qu'elle pense de moi? J'aimerais la voir, lui parler.
Zeldris : Mon frère, j'aimerais parlé à Gelda. Elle me manque et je voudrais m'excuser.
Méliodas : Je lui est parlé de ta maladie. Elle m'a posé beaucoup de questions. Elle tient énormément à toi. T'inquiète pas elle ne t'en veut pas et a pris soin de toi. Tu t'es même endormi dans ses bras.
Zeldris : Vraiment?!
Méliodas : Puisque je te le dit. Enfin dans ses bras. Tu avais ta tête dans sa poitrine.
Zeldris : Quoi?!
Je repense a l'image de mon rêve. À cette pensée, je rougis énormément. Ce qui fait rire mon ainé. Même si je me suis reposé, je me sens encore affaiblit. Je tousse encore et je sens que j'ai le souffle saccadé. Au moment du repas, tout est silencieux. Enfin silencieux jusqu'à l'arriver de mon père. Même quand je suis malade, il me fait la morale.
Père : Tient un revenant. Je suppose que tu n'es pas totalement rétabli.
Zeldris : Non, ce n'est pas le cas.
Père : Je peut savoir pourquoi tu as fait une rechute? Es ce que tu as arrêté de prendre tes médicaments ou es ce tes entraînements sont trop intense? Je t'écoute.
Je ne sais pas quoi répondre. Je sais que je n'ai pas fait attention. Je me sens fautif.
Père : Zeldris, tu vas me répondre oui!
Zeldris : Je... Je voulais faire plus. Je sait que j'en suis capable. Alors je me suis entraîner en plus de ceux de Cusack.
Père : Et tu espérer quoi!
Zeldris : Je pensais pouvoir devenir plus fort. Je voulais être traiter normalement et prouver ma valeur.
Père : Bravo tu as tout gagné. Regardes toi. Plusieurs semaines que tu es cloué au lit et à cause de toi ton frère passe tous son temps à s'occuper de toi.
Je continu à me prendre toutes sortes de repproche. Méliodas prend ma défense encore. J'en peut plus. Encore et toujours la même chose. Je ne supporte vraiment plus cette vie.
Père : Asser!! Méliodas tu te tais. Quand à toi Zeldris, je t'interdis de sortir de ta chambre.
Zeldris : Quoi?!
Père : Tu sortiras uniquement pour manger. Plus d'entrainement ni de cours pour toi.
Zeldris : Vous pouvez pas me faire ça! Dans peu de temps, j'irai mieux et...
Père : Je ne veut plus t'entendre! Tu sortira de ta chambre seulement quand je t'y autoriserais.
J'allais protesté mais il sort de table, nous laissant seuls. Je n'en revient pas. Sa m'a coupé l'appétit. Je me lève et sors de table. J'allais pour partir de la pièce mais Estarossa me coupe dans mon élan.
Estarossa : C'est mieux pour toi. Tu es faible et tu le restera.
Il m'énerve mais je garde mon sang froid.
Zeldris : La ferme.
Estarossa : Tu as eu de la chance la dernière fois mais crois pas que tu soit fort.
Zeldris : Je t'ai dit de la fermer.
Il continu de me provoquer. Ce n'est pas le moment et Méliodas ne dit rien. C'est étrange. D'habitude, il aurait réagit. Je l'observe. J'ai l'impression qu'il a la tête ailleur.
Zeldris : Mélio!? Ça va?
Il relève la tête vers moi.
Méliodas : Tu me disais?
Zeldris : Tu as l'air perdu.
Méliodas : J'étais dans mes pensées.
Estarossa m'attrape au col. Là s'en ai trop. Je relève mon genou et lui donne un coup bien placé. Il hurle de douleur. Il me relâche, j'en profite pour lui assemer un autre coup dans le ventre et le pousse. J'ai le souffle saccadé. J'en peut plus.
Estarossa : Tu vas me le payer cher.
Méliodas : J'espère pas pour toi. Tu n'as pas intérêt à toucher à un seul cheveux de Zel. Ou tu auras à faire à moi.
Estarossa regarde Méliodas qui s'est levé et qui vient vers nous. Je tousse beaucoup. L'argenté se relève, il se prépare à me donner un coup de poing. Le blond l'arrête avant et le remet à terre.
Méliodas : Je veut plus te voir !
Il s'en va en courant.

Yo tous le monde. Notre pauvre Zeldris est toujours autant malade. Estarossa s'en prend à lui est sa belle est partit mais il le sait pas encore.
Petite question. Si j'écris une autre histoire es ce que vous voulez que sa soit sur un autre manga ou jeux vidéo ? Je ferais avec ceux que je connais.

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