Derrière la porte

Humiliation

Soudain une main se colle sur ma bouche. Quelqu'un me tire dans un cul de sac.

Je regarde qui c'est et remarque que c'est mon frère. Je suis rassuré.
Méliodas : Chut... Fais pas de bruit et suis moi.
Je le vois pousser une pierre du mur à côté de nous. Un passage secret, je ne le connaissait pas. Il s'engouffre dedans, je fais de même. Le passage se referme derrière moi. Je me retrouve dans sa chambre.
Méliodas : Je peut savoir pourquoi tu étais dehors?
Zeldris : Je revenais de l'entrainement et je suis tombé sur une porte. Curieux, j'ai voulu l'ouvrir mais je n'ai pas réussi.
Méliodas : Zel, tu sais que nous n'avons...
Zeldris : Pas le droit. Oui je sais.
Méliodas : Qu'as tu découvert?
Zeldris : Il y a une fille qui est enfermé.
Méliodas : Si elle est enfermé c'est qu'il a une bonne raison. Tu devrait la laisser...
Zeldris : Toute seule?! Mon frère, tu sais aussi bien que moi que c'est insupportable. Nous avons un passage qui relie nos chambres. Je passe tous mon temps avec toi, pour éviter la solitude. Je veux juste lui tenir compagnie.
Méliodas : Je comprends. Tu sais pourquoi elle est là ?
Zeldris : Non. Même elle ne se rappelle plus.
Méliodas : Ça doit faire longtemps. Tu sais son nom?
Zeldris : Oui elle s'appelle Gelda.
Méliodas : J'essaierai de me renseigner.
Zeldris : Merci. Au fait, pourquoi tu étais dehors?
Méliodas : Ah... Euh... Je voulais sortir.
Zeldris : Oh aller quoi. Tu peut me le dire.
Méliodas : Bon d'accord. J'ai rencontré une fille il y a quelques jours. Depuis, je sors tous les jours pour la voir.
Zeldris : Oh. Comment elle s'appelle ?
Méliodas : Elle s'appelle Élizabeth et c'est une princesse.
Zeldris : Ta fait fort.
Méliodas : Elle est tellement gentille, douce, merveilleuse...
Zeldris : Tu es amoureux. Haha.
Méliodas : Non, n'importe quoi!
Zeldris : Haha.
Méliodas : Mais ta fini de te moquer!
Zeldris : Haha. J'en peut plus.
Je continu de rire. Il finit par me chatouiller. On se taquine. Ça fait du bien. Je passe une bonne journée. Heureusement, qu'il est la. Je passe tous mon temps libre avec lui. Nous avons que ça à faire. Nous discutons de tous et de rien. J'en apprend plus sur sa dulcinée. Je retourne dans ma chambre un peu avant l'heure du diner. Les servantes viennent me chercher. Ouf, juste à temps. A table, pour une fois c'est calme. Une fois, le repas terminer, je retourne de nouveau dans ma chambre. Il arrive que je dorme souvent avec mon grand frère Méliodas. Je fais des cauchemars depuis que notre mère n'est plus là. J'ai vraiment envie d'être à demain. J'ai hâte de pouvoir parler à Gelda. Je rejoins mon frère et m'endors dans ses bras. Il m'a toujours consoler. Le lendemain matin, je me réveille de bonne humeur. Je me dépêche de me préparer et j'attend qu'on vienne me chercher. A table, tous le monde remarque ma bonne humeur.
Estarossa : Tiens, tu es bien jovial petit frère.
Zeldris : Un problème ?
Estarossa : Je me demande ce que tu as.
Zeldris : Ça te regarde pas.
Estarossa : Aller, soit sympa. Dis le moi.
Zeldris : Laisse moi tranquille.
Méliodas : Estarossa un conseil laisse Zeldris.
Estarossa : Méliodas je sais ce que je fais. Et toi Zeldris tu vas me dire ce que t'as. D'habitude tu fais toujours la tête mais pas ce matin. Pourquoi?
Zeldris : Ferme la.
Estarossa : Tu me parles autrement, je suis ton aîné.
Zeldris : Et alors, ça ne te donne pas tous les droits. J'ai aucun compte à te rendre, surtout pour quelqu'un qui passe ses journées a dormir.
Il se lève et me regarde de haut.
Estarossa : Tu veut te battre ou quoi?
Je suis étonné. Es ce que j'ai bien compris?
Zeldris : Contre toi?! Tu n'est pas sérieux?!
Estarossa : Je ne plaisante pas.
Avec Méliodas ont explose de rire. Il n'est vraiment pas sérieux.
Zeldris : Elle est bien bonne celle là.
Estarossa : Pourquoi tu rigole grand frère ?
Méliodas : Tu veut vraiment affronter Zel?
Estarossa : Oui je le battrai sans difficultés.
Méliodas réexplose de rire. Notre père finit par arriver. Il a l'air énervé.
Père : Estarossa tu t'assois, Zeldris tient toi correctement et toi Méliodas arrête de rire!
Estarossa : Je te défi Zeldris.
Méliodas le regarde est explose de rire encore une fois.
Zeldris : Qu'es ce que j'y gagne?
Estarossa : Si je gagne, tu fais ce que je veut et inversement.
Zeldris : Intéressant. Prépare toi.
Estarossa : Fais pas le malin. Tu vas perdre.
S'en étais trop pour mon frère. Il n'arrive pas a se calmer et il est mort de rire. Il a failli s'étouffer avec sa brioche.
Père : Sa suffit! Estarossa tu t'assois et laisse ton frère. Zeldris tu te tiens correctement. Méliodas pour l'amour du ciel, arrête de rire.
Nous obéissons. Le blond se calme difficilement. Dès qu'il croise mon regard, il mord sa lèvre et se retient de rire. Je mange tranquillement mon petit déjeuner. Nous attendons l'accord de notre père pour sortir de table. Une fois fais, nous allons à l'entrainement. Estarossa nous suit pour une fois. Cusack et Chandler sont surpris de le voir.
Chandler : Qu'es ce qu'il fait là ?
Méliodas : Cette andouille a défier Zeldris dans un duel.
Cusack : Un duel?!
Zeldris : Ça changera de d'habitude. Cusack accorde moi 10 secondes, le temps de le remettre à sa place.
Méliodas : Ça promet d'être drôle.
Chandler : Maître on commence.
Méliodas : Attend, j'aimerai voir l'humiliation d'Estarossa.
Nous nous mettons en garde. Il fonce vers moi, je l'évite et le met à terre. Je met un pied sur son ventre et le pointe mon épée vers son cou.
Zeldris : Alors, c'est bien toi qui a dit que j'allais perdre?
Estarossa : Qu'es ce que tu veut?
Zeldris : Tu as une heure pour me trouver ceci.
Je lui tend un morceau de papier.
Zeldris : Un détail, personne ne doit savoir.
Estarossa : Si je le dit?
Zeldris : Oh si tu amuse a en parler, je peut te garantir que subira quelque chose de pire.
Estarossa : Une heure c'est ça ?
Zeldris : Ta tous compris.
Il part vite. Chandler et Cusack me regarde surpris.
Méliodas : Tu aurais pu lui laisser une chance.
Zeldris : Et puis quoi encore?! Au moins, il ne me manquera plus de respect.
Méliodas : Ta pas tord. Dis frangin, ça te dis qu'on croise le fer. Ça fait un bail.
Zeldris : Pourquoi pas.
Cusack : Enfin, jeune maître...
Chandler : Ton protégé sait se défendre. C'est un très bon moyen de voir se qu'ils ont retenu des enseignements.
Nous nous mettons en place. Nous échangeons les coups. Je sais que mon frère se retient. Il ne veut pas me blesser. Je lui fais comprendre qu'il peut se lâcher. Ce qu'il fait. Il ne me ménage pas. Enfin un combat digne de ce nom. Il finit par me mettre à terre. Je suis épuisé. Il m'aide à me relever. Estarossa accourt vers nous, il me donne ce que je lui avait demander et repars.

Yo tous le monde. Je me suis amusé à écrire ce chapitre. J'espère que sa vous plaira.
A la semaine prochaine. A mardi pour certain et a jeudi pour les autres.