C'est la fin

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Je comprend qu'il est eu peur. J'ai tout aussi peur que lui.
Méliodas : Ne t'en fais pas. Tu as juste besoin de repos.
Zeldris : Dis moi frangin, tu peut me raconter une histoire?
Méliodas : Bien sûr. Je vais te raconter comment j'ai rencontré Élizabeth. Tu me l'avais demandé mais je n'ai eu l'occasion de t'en parler.
Zeldris : Oui c'est vrai.
Je m'assoit près de lui et le prend dans mes bras. Il cale sa tête contre mon torse comme quand il était enfant. Je commence à lui raconter. Il m'écoute avec attention. Il est si adorable. Il me pose des questions de temps en temps. Il est très curieux de nature.
Zeldris : C'est mignon.
Méliodas : Il faut que tu te repose.
Les filles entrent. Gelda vient enlacer mon frère. Elle est en larme. Il répond à son étreinte.
Zeldris : Calme toi ma princesse. Je vais bien.
Elle se redresse et plante son regard dans le sien.
Gelda : Tu te moque de moi! Ta maladie c'est aggravé et tous va bien!?
Zeldris : Ne crie pas s'il te plaît.
Gelda : Je suis inquiète. On vient à peine de se voir, je n'ai pas envie de te perdre.
Il lui essui ses larmes et essaye de se redresser. Il se crispe de douleur.
Gelda : Fais attention.
Zeldris : Je ne suis pas en sucre non plus. J'ai des courbatures de partout. Mais qu'es ce qu'il m'a donné le médecin ?
Méliodas : Il t'a admistré une sorte de calmant.
Zeldris : Je comprend mieux pourquoi j'ai les muscles endormi.
Les jours passent et la santé de mon frère ne s'est pas arrangé. Malgré les médicaments, il a toujours autant de douleur. Viens la fin de la semaine. Nous retournons voirs le médecin. Les filles sont avec nous. J'explique au médecin ses dernièrs jours.
Hendrisson : Bon, il faut changer votre traitement. Avant ça, il faut que je vous fasse faire des tests.
Méliodas : Cusack et Chandler sortaient avec les filles. Faîtes se que vous voulez mais ne restez pas.
Gelda veut rester près de mon frère. Cusack arrive a la convaincre de partir. Je sais que les tests vont être douloureux pour Zel. Il est hors de question que sa belle le voit dans cet état.
Zeldris : Merci. J'ai pas envie qu'ils voient tous ça.
Le médecin pose certaines questions à mon frère. Il lui répond. Puis, l'homme fais faire des exercices à mon frère. Je le vois se tordre de douleur. Je ne dois pas intervenir. Ça fait parti des tests.
Hendrisson : C'est encore plus grave que je l'avais imaginé.
Méliodas : Que voulez vous dire?
Hendrisson : La maladie c'est aggravé. Je suis au regret de vous dire qu'il ne vous reste que peu de temps à vivre.
Méliodas : Vous êtes sûr ?!
Hendrisson : Malheureusement, oui. Je peut toujours donné des calmants pour les douleurs mais je ne peu rien faire de plus.
Zeldris : Combien de temps il me reste?
Hendrisson : Je ne peut pas être précis. Vous devez pas faire d'efforts trop intense.
Il nous donne d'autres explications. Nous sortons et j'explose en larme. Il me prend dans ses bras.
Méliodas : Je ne veut pas te perdre mon frère.
Zeldris : Je sais. Je ne veut pas mourir non plus mais faut se rendre à l'évidence. On ne peut pas stopper la maladie. J'ai une faveur à te demander.
Je le regarde dans les yeux. Je constate sa fatigue.
Méliodas : Tous ce que tu veux.
Zeldris : Garde sa pour toi s'il te plaît.
Méliodas : Pourquoi?
Zeldris : Je ne veut pas les voirs pleurer. J'en peut plus. Je sais qu'ils sont triste mais je ne veut pas qu'on s'apitoie sur mon sort.
Méliodas : Je comprend. Je ne dirais rien je te le promet.
Zeldris : Merci mon frère.
Nous rejoignons les autres et il explique que tous va bien. Nous reprenons le chemin de Camelot. Des mois durants, je ne dis pas un mot. D'apparence, il montre qu'il va bien mais je sais que c'est une façade. Je sais qu'il souffre. C'est un très bon comédien. Il profite avec sa belle des paysages. Bizarrement, il n'a pas refais de crises. C'est comme ci il n'était pas malade. Peut-être es ce le cas. Nous finissons par arrivé à notre destination. Le roi Arthur nous accueil à bras ouvert. Je pense qu'il espère qu'Elizabeth lui tombe dans ses bras. Je lui fais bien comprendre qu'elle m'arpartient. Que je suis le seul homme de sa vie. Je suis jaloux et égoïste, je le reconnais. Finalement, mon petit frère m'avoue qu'il a de plus en plus de douleur et qu'il a arrêté tout traitement. Ça me fais mal au coeur mais je ne peut pa slui imposé, il est condamné. Il me confie également, qu'il voudrais faire sienne sa femme. Même si c'est la seule et dernière fois. Je ne peut pas lui refusais. Durant la nuit, avec ma belle nous entendons du bruit dans la chambre de mon frère et la blonde. Je crois savoir ce qu'ils font.
Élizabeth : Nous devrions aller voir.
Méliodas : Non, laisse les. Je vais t'expliquer.
Je suis désolé mon frère mais je ne peut le cacher plus longtemps à mon aimée. Je lui raconte réellement ce que nous a dit le médecin se jour là.
Élizabeth : Mais ça va le tuer!
Méliodas : Je sais mais il m'a demandé de me taire et le laissé profiter de ses derniers instant. Je ne peut pas lui refuser.
J'explose en larme et ma belle me réconforte. J'ai passé une sale nuit. Le lendemain matin, je me précipite dans la chambre de mon frère. Je constate avec horreur la scène. Je m'avance les larmes dévalant mes joues. Gelda est assise au sol, accoudé sur le lit, tennant la main inerte de mon frère. Je vérifie leurs pouls mais constate que tous les deux sont morts. Je regarde sur la table de chevet et vois un flacon. Je sens le contenu et prend conscience que c'est du poison. Zel a dû finalement lui dire et elle c'est tuer en suivant. Mon petit frère a été emporter par la maladie et sa douce par amour. Élizabeth entre à son tour dans la pièce. Elle me voit pleurer au chevet de mon frère. Elle vient vers moi et m'enlace.
Méliodas : Ils sont mort tous les deux.
Au moins, ils sont tous les deux enfin réuni sans barrière, sans peur. Un pur amour. J'ai si mal mais j'ai le sourire. Ça peut paraître bizarre et affreux mais je suis heureux, il est enfin libre.

Yo tous le monde. Voici l'avant dernier chapitre. Il est très triste et émouvant. Zeldris est bel et bien mort. Il ne reviendra pas dans le dernier chapitre. Au départ cette fiction n'avais pas cette tournure mais en la relisant avant de reprendre la publication que sa me plaisait pas. Alors, j'ai changé la fin. Pour l'OS "Une profonde tristesse" je voulais qu'elle se finisse tragiquement mais j'ai changé d'avis. Au final, sa c'est fait sur celle là. J'espère que sa vous plaît.
A la semaine prochaine.

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