Malade

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Pdv Gelda

Je m'inquiète, ça fait des jours que je n'ai pas eu de nouvelles de Zeldris. Peut être qu'il ne veut plus venir. Il me manque. J'adore l'entendre me raconter ses journées. Depuis quelques temps, je ne sors plus de ma chambre. Le roi ne vient plus me voir. Je me sens de nouveau seule. Je tourne en rond dans cette pièce. Quelqu'un toque à la porte.
Gelda : Zeldris! Je m'inquiétais!
Inconnu : Navré de te decevoir mais je ne suis pas Zel.
Gelda : Qui êtes vous?
Inconnu : Reculez vous. Je vais vous ouvrir.
Je m'écarte et il met la clef dans la serrure. Il ouvre la porte et je vois un jeune homme blond, assez petit.
Inconnu : Je m'appele Méliodas. Je suis le grand frère à Zeldris. Enchanté de vous rencontrez.
Gelda : J'ai entendu parler de vous. Pourquoi Zeldris ne vient plus?
Méliodas : Il est au fond de son lit. Il n'est pas en état de se lever.
Gelda : Que lui arrive t-il?
Méliodas : Il ne vous l'a pas dit?!
Gelda : Me dire quoi?
Méliodas : Venez suivez moi. Ça lui fera plaisir de vous voir et c'est à lui de vous dire.
Je ne comprend pas tous mais je le suis. Plus nous avançons, plus j'ai peur. Enfin le voir me rejouis mais j'ai peur qu'il me rejette. Finalement nous nous sommes jamais vu et j'ignore ce qu'il ressent. Je tient énormément à lui. Je dirai même que j'ai fini par tomber amoureuse de lui. Nous sommes juste devant une porte. Sûrement la chambre à Zeldris. Il toque pour signaler sa présence. Il entre et m'invite à faire de même.
Méliodas : Zel ça va?
Zeldris : Hum...
Méliodas : Je t'ai ramené de la compagnie.
Il s'avance je le suis toujours. J'ai le coeur qui bat à la chamade. Je m'approche et découvre un jeune homme brun. Il a l'air mal en point. Il ouvre difficilement les yeux. Leurs couleurs est juste magnifique. Un beau vert émeraude. Je plonge mon regard dans le siens. J'ai chaud d'un coup.
Zeldris : Gelda...?
Gelda : Oui, Zeldris. Je suis bien là.
Il se redresse pour se retrouver assis. Il est magnifique.
Zeldris : Aïe ma tête.
Méliodas : Doucement ptit frère. Tu es encore affaibli.
Gelda : Que t'arrive t-il?
Zeldris : Je suis gravement malade. Ça fait des années que je prends des médicaments. J'ai dû faire une rechute.
Gelda : Pourquoi tu ne me l'as pas dit plus tôt ?
Zeldris : J'avais peur que tu me surprotège en l'apprennant.
Gelda : Comment ça ce fait que tu as fait une rechute?
Zeldris : ...
Méliodas : Tu devrais faire un peu plus attention.
Zeldris : Je sais...
Méliodas : Il a voulut en faire toujours plus. Malgré les cachets, il devait faire attention. Têtu comme il est, il n'a pas écouté le médecin. Il se reposait peu. Évidemment, son corps n'avait pas asser de force pour supporter autant d'effort.
Gelda : Zeldris fait attention à toi.
Zeldris : J'en peut plus d'être surprotéger. Je veut vivre normalement. Déjà que je suis le cadet. En plus, je dois avoir une bonne image pour les autres royaumes.
Méliodas : Zel, je comprend mais je m'en fou de ce que dise les autres. Ta santé est plus importante.
Gelda : Ton frère a raison.
Je le vois verser des larmes. Je ne comprend pas. Son frère le prend dans ses bras.
Zeldris : Je ne veut pas être un fardeau pour toi grand frère...
Méliodas : Tu ne le sera jamais Zel. Calme toi. Tu as vraiment de la chance. J'aimerai être à ta place. J'ai aucune envie de monter sur le trône. Je n'ai pas le choix. Tu es plus libre que je le suis.
Gelda : Vous êtes princes?!
Zeldris : Oui, j'allais finir par t'en parler mais j'avais également peur que tu me rejette. C'est mon père qui t'a enfermé.
Gelda : Oh, Zeldris...
Je sais pas quoi dire, ni quoi faire.
Méliodas : Ta fièvre a augmenté.
Zeldris : J'ai froid.
Méliodas : Recale toi dans tes draps.
Le corbeau se rallonge et son frère lui remet bien les couvertures. Le pauvre il ne fait que tousser. Le blond lui tend un verre d'eau et un cachet. Zeldris se redresse un peu pour le prendre et se recale.
Zeldris : J'ai terriblement froid.
Méliodas : Je reviens.
Il sort de la pièce nous laissant seul. Je m'assoit près de lui. Il me regarde faiblement.
Zeldris : S'il te plait reste.
Gelda : Bien sûr.
Zeldris : Merci.
Je lui caresse son visage. Il est bouillant. Il me souris. Je rougis un peu. Il est magnifique même malade. Il grelotte. Je m'allonge près de lui, me glisse sous les draps et le prend dans mes bras. Il a l'air surpris.
Zeldris : Euh... Merci...
Gelda : Hihi. C'est normal.
Je le ramène contre moi. Sa tête se retrouve dans ma poitrine. Il doit être gêner. Il finit par s'endormir. Il est adorable. Son frère revient avec une bouillotte.
Méliodas : Ta trouvais une autre solution pour te réchauffer. Nishishi.
Gelda : Zeldris vient de s'endormir.
Il se rapproche et glisse l'objet dans le dos de son frère.
Méliodas : Le pauvre. Il ne va pas se souvenir de tous ça.
Gelda : Que voulez vous dire?
Méliodas : Il a tellement de fièvre qu'il délire. Dans quelques semaines, il sera rétabli et il aura oublié tous se qu'il aura vu ou dit.
Gelda : C'est dommage...
Méliodas : Peut-être qu'il ne va pas oublié mais il le vera comme un rêve.
Gelda : Ça fait longtemps qu'il est malade?
Méliodas : Malheureusement, oui. Il a une santé aussi fragile que notre mère.
Gelda : Ça peut se soigner?
Méliodas : Il prend des médicaments pour se renforcer mais il doit toujours faire attention. Si il fait trop d'effort, il peut faire des rechutes comme là.
Gelda : Le pauvre.
Méliodas : Depuis qu'il est tout petit je prend soin lui. À la mort de notre mère, il était mal. Je l'ai pris sous mon aile. Il a commencé à s'entraîner un peu plus tard que moi. Son maître d'arme la toujours ménager. Votre chambre est dans le couloir ou il passe pour sortir. Plus jeune, il avait peur de passer. Il entendait des voix et entendais pleurer.
Gelda : Oh...
Méliodas : Je pensais qu'il inventait ou qu'il délirait a cause de sa maladie. Il y a quelques temps, quand il ma parlé de vous, j'avais penser qu'il avait recommencer à délirer. Je ne lui rien dit car il avait de nouveau le sourire et sa joie de vivre. Il était de nouveau heureux. Je l'écoutais me parler. Mon père a finit par m'expliquer ce qui c'était passé.
Zeldris me serre à la taille. Je rougis. Méliodas rigole.
Méliodas : Nishishi. Que ressentez vous pour mon frère ?
A sa question, je rougis encore plus.
Méliodas : C'est bien ce que je pensais.

Yo tous le monde. Quel plasir de vous retrouver. J'ai adoré écrire se chapitre. Je vous annoce qu'il y aura une pause pour cette oeuvre. Contrairement à l'autre celle ci je ne l'ai pas terminer et je ne sais pas comment la finir. Je préfère prendre du temps et vraiment être satisfaite de se j'écris. Je modifie beaucoup mes histoires et j'ai pas envie de publié quelque chose et après le modifier. Voilà. Je vous retrouve mardi pour la suite de "Mon seul et unique amour".
A bientôt.

Derrière la porteWhere stories live. Discover now