Encore et toujours malade

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Pdv Méliodas

Mon frère à l'air d'aller mieux. Gelda aussi. Notre voyage dure depuis longtemps déjà. Nous nous arrêtons dans des auberges pour dormir. On est presque arrivé à notre destination. Personne n'aurais l'idée de nous trouvé dans le royaume de Camelot. Élizabeth connais le roi et c'est un très bon ami à elle. Nous sommes loin de chez nous. Mon frère est émerveillé par ce qu'il l'entoure pareil pour sa belle. Il faut dire que tous les deux ne sont pas sortit depuis longtemps. Nous nous arrêtons dans une grande ville. Le cochet à besoin de faire une pause et nous aussi. Nous descendons de la voiture.
Méliodas : Bon, autant rester quelques jours. On pourra se reposer.
Élizabeth : Nous on va faire les boutiques.
La blonde est enjoué par l'idée.
Gelda : Génial et on va visiter la ville.
Elles commencent à partir. Zeldris aller pour les suivre. Je le retient par le bras.
Méliodas : Laisse les un peu entre elle. Chandler je compte sur toi pour les protégé.
Chandler : Bien.
Il part les rejoindre.
Méliodas : Quand à nous, on va visiter de notre côté.
Zeldris : Je ne l'ai pas dit quand il avait les filles mais j'ai besoin d'aller voir le médecin. Je commence à avoir des douleurs au coeur.
Cusack : Jeune maître, pourquoi le dire que maintenant ?
Zeldris : Je ne voulais pas inquiété Gelda. Déjà qu'elle est par rapport à ma maladie. Si il faut ce n'est rien de grave.
Méliodas : Je comprends. On va y passer.
Ce qu'il vient de me dire m'inquiète. Les cachets qu'il prend est censé éviter les douleurs justement. J'espère que ce n'est rien de grave. N'empêche il le cache bien, je n'ai rien vu.
Cusack : J'en connais un bien.
Méliodas : Parfait. Allons y.
Nous prenons le chemin que nous indique Cusack. Sur la route, Zel ralentit beaucoup. Je vais à sa hauteur.
Méliodas : Hey, ça va frangin?
Zeldris : T'inquiète. Aaaah!
Je le vois se tordre de douleur. Il manque de peu de tomber. Je le rattrape avant.
Méliodas : Zel, ça va aller d'accord. Je suis là.
Il essaye de marcher mais manque de tomber à plusieurs reprises. Je met mon bras près de sa taille est le soutient. À chaque pas, il grimace de douleur.
Méliodas : On est loin?
Cusack : Malheureusement, oui. Il faut traverser la moitié de la ville.
Méliodas : Zel ne tiendra pas jusque là.
Cusack s'accroupit et je le met sur son dos. Zeldris s'accroche du mieux qu'il peut. Nous reprenons la route. Son maître d'arme va du plus vite qu'il peut. Je le suis tans bien que mal. Je vois mon frère en larme. La douleur doit être insupportable. Il ne sait jamais plain. Je l'ai déjà vu pleurer évidemment, mais jamais à cause de la maladie. Il est très courageux. Il a subi plusieurs test pour adapter son traitement. Nous arrivons enfin chez le médecin. Il y a d'autre patient. Pourvu que sa ne soit pas long. Cusack le pose sur une chaise. Je vérifie sa température. Il en a beaucoup je trouve. Le pauvre a une petite mine. Je me met à sa hauteur.
Méliodas : T'inquiète frangin, ça va aller.
Zeldris : J'ai terriblement mal.
Le voir dans cet état, me fait souffrir. J'aimerais apaiser sa douleur. Il s'effondre en larmes. Je le prend dans mes bras. Il me repousse gentiment.
Zeldris : C'est gentil mais mes membres me font mal. Si je bouge trop c'est pire.
Méliodas : Je suis désolé.
Zeldris : Ce n'est rien. Tu voulais bien faire.
Méliodas : C'est bien la première fois que je te vois dans cette état.
J'essuis ses larmes.
Zeldris : C'est affreux. Je me sens très faible. Plus que lors de mes crises. J'aime pas être comme ça. J'aime pas te voir aussi inquiet.
Méliodas : Je me sens tellement impuissant.
Zeldris : Tu ne l'es pas, je t'assure. Tu me soutient et tu es toujours là pour prendre soin de moi lors de mes crises.
Se qu'il dit me touche. Je lui caresse sa joue humide par ses pleures.
Méliodas : C'est normal, tu es mon petit frère.
Il se tord de nouveau de douleur.
Méliodas : Oh non, Zel.
Il ne peut pas rester comme ça. Cusack est nerveux depuis que nous sommes là.
Méliodas : Essaye de te calmer Cusack, tu me rend nerveux.
Cusack : Navré mais il y a trop de monde et la santé de votre frère est entrain de se détériorer.
Zeldris : Hey, me met pas dans la tombe avant l'heure. Je suis sûr qu'il n'y a rien de grave.
Il commence à tousser.
Méliodas : Zel, tu ne devrais pas le prendre à la légère. Ce n'est pas normal que tu es ses douleurs. Tes médicaments sont censé soulager ton coeur, pas accentuer ta maladie.
Zeldris : Ça va, je te dis.
Sa toux s'accentue. Il m'énerve à le prendre à la légère. Je vois bien qu'il est plus mal que d'habitude. Il souffre. Un patient entend notre échange.
Patient : Vous pouvez passé avant moi jeune homme.
Méliodas : Oh, non. Vous étiez là avant.
Patient : Votre frère à l'air d'être mal en point.
Méliodas : Oui mais...
Patient : Il n'y pas à discuter. Passer avant.
Je ne sais pas quoi dire.
Zeldris : Merci mais ça ne sera pas la peine. Je ne suis pas si mal que ça.
Là c'est trop. Il m'énerve.
Méliodas : Bon, maintenant ptit frère, tu vas m'écouté. Tu vas arrêté de dire qu'il y a rien de grave. Ta maladie est peut-être entrain de s'empirer. Je vois très bien que tu souffres plus que d'habitude. Je ne supporterais pas plus longtemps de te voir dans cet état. Je ne veut pas te perdre toi aussi. J'ai peur. Terriblement peur.  Tu devrais avoir la vie devant toi. Or ce n'est pas le cas. A cause de cette maladie, on ne sait pas ce qu'il peut t'arrivé. Tu es beaucoup trop jeune pour mourir. C'est injuste. Je tient à toi. Je sais que tu n'aime pas qu'on s'inquiète pour toi ou qu'on te surprotège. Tous simplement car on ne veut pas te perdre.
Les larmes coulent toutes seules. Je ne peut plus les retenir et je ne veut plus. J'ai peur, très peur.
Zeldris : J'ai peur. Je suis terrorisé même. Ma maladie me détruit et je peut rien faire. J'essaye de montrer que tout va bien. De faire toujours plus pour me dire que je suis normal. A chaque fois, ma maladie me rappelle à quel point je suis faible. Je te vois pleurer quand je fais des rechutes. Je le sais. Dès que je tousse, que j'ai de la fièvre, que je fais une rechute, ou que j'ai une douleur, j'ai peur. Peur que sa s'aggrave. Je suis terrorisé. J'ignore ce qu'il va m'arrivé demain. J'ignore si mes cachets sont suffisant. Je ne veut pas laissé ma belle toute seule. Je ne veut pas mourir mon frère.
Je ne sais pas quoi dire. Il me prend dans ses bras. Je sais que sa lui fait mal mais je lui rend son étreinte. Il me serre aussi fort qu'il le peut.
Zeldris : Je t'aime mon frère.
Méliodas : Je t'aime aussi mon frère. Tu ne vas pas mourir pas tout de suite.
Le médecin sort enfin. Il y a quelqu'un d'autre avant nous. J'espère que se sera pas long. Zel a de plus en plus de douleur au coeur.
Médecin : Cusack?!
Cusack : Hendrisson.
Hendrisson : Que fais tu là?
Cusack : Ce jeune assis là, je t'en avais parlé de sa maladie.
Hendrisson : Oui, je m'en souviens. Que lui arrive t-il?
Cusack : Il a des douleurs qu'il ne devrait pas avoir.
Hendrisson : Je vais le prendre en urgence. Venez.
Je me sépare de mon frère, essuie ses larmes et les miennes.
Méliodas : Tu peut te lever?
Zeldris : Il va falloir.
Je le prend à la taille et il passe son bras autour de mon cou. Je l'aide à se relever. Il se mord la lèvre. Sûrement pour ne pas crier de douleur. Il marche difficilement.
Patiente : Non mais je rêve! Ils passent avant tous le monde! J'étais là avant.
Je n'en crois pas mes oreilles. J'allais pour répliquer quelque chose mais on l'a fait avant moi.

Yo tous le monde. Bonne année à tous. J'espère que vous avez passé une super soirée. Que cette année soit pleine de bonne chose. Nous arrivons bientôt à la fin de cette histoire. J'écris d'autre longues histoires mais elles ne sont pas encore prête. Dîtes moi si vous voulez que je commence à publié ou pas.

A bientôt.

Derrière la porteTahanan ng mga kuwento. Tumuklas ngayon