10 ans

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"Mon Élizabeth,

Ça fait 10 ans que j'ai perdu mon frère et que sa femme c'est tuer. 10 ans que je pleure chaque matin sur leurs tombes. 10 ans que je te cache la vérité. Je te dois quelques explications. Quelques jours après la disparition de mon petit frère, la maladie c'est déclaré. Je suis allé voir les meilleurs médecins. Chacuns d'eux me faisait les tests qu'à subi mon frère. J'ai également eu un traitement. Je te l'ai caché, je ne voulais pas que tu pleures. Je pensais également que sa aller se soigner. J'ai eu tord. Cette maladie ne guéris pas. Même avec le meilleur traitement. Elle ne se soigne pas. Les cachets soulage juste les douleurs. Une fois la maladie déclaré, elle met 10 ans pour nous détruire. 10 ans qu'elle nous ronge sans pouvoir l'arrêter. J'ai finis par le comprendre. A ce moment, j'ai arrêté tous médicaments. Ça ne servait à rien. Je t'ai demandé ta main et nous nous sommes marié. Tu m'a comblé de bonheur. Puis est arrivé notre fils. Il a pris de ton courage et a pris mon sale caractère. Il m'a beaucoup troublé également. Des cheveux aussi noir qu'un corbeau et des yeux vert. Comme mon défunt frère. Il m'avait souvent demandé pourquoi j'étais si triste. J'ai fini par l'emmener avec moi. Il m'avait demandé de quoi était mort son oncle. Dire que Zeldris n'avait même pas 20 ans. La vie est vraiment injuste. La belle Gelda n'a supporter la douleur est la rejoind dans la foulé. Je comprends aujourd'hui pourquoi il ne voulais en parlé à personne de son état. Il savait qu'il était condamné. Sa maladie l'a tuer et ne lui laissé aucune échappatoire. Comme notre mère. J'ai compris aussi, qu'elle se déclare quand on a vécu qu'elle que chose de traumarisant. Dès la mort de ma mère, mon frère l'a déclenché et dès qu'il a disparu, je l'ai déclenché à mon tour. Je comprend sa souffrance. Chaque jour, la maladie te rapelle que notre temps est compter et que tu ne t'en sortira pas. Il a accepté son sort. J'étais le seul au courant. J'ai gardé son secret. Je comprend également son comportement. Je pensais qu'il était pessimiste mais c'était tous le contraire. Il voulais vivre normalement. Vivre la vie qu'il souhaiter. Il ne voulais pas qu'on s'apitoie sur son sort. Alors il a jouait la comédie. J'ai fini par faire pareil en disant que tout aller bien. Cachant la douleur. J'ai emmené notre fils pour faire des examens. Je voulais pas le voir lui aussi disparaître. Heureusement, il n'a pas pris mes gènes et n'aura jamais la maladie. Je ne regrette rien et j'ai passé les plus belles années de ma vie à tes côtés. Je t'aime et je continuerais à t'aimé. J'espère que tu ne m'en voudra pas et que tu me pardonneras. Si tu lis cette lettre, ça veut dire que j'ai fini par rejoindre mon frère et sa belle.

Je t'aime,

Méliodas."

Yo tous le monde. C'est sur cette note triste que s'arrête cette histoire. Chapitre court mais dans le format lettre. Dîtes moi en commentaire se que vous en avias pensé. Au départ, je voulais l'arrêter au chapitre précédent mais j'aime bien cette fin. J'ignore si une tel maladie existe. Il n'y aura pas de suite. Il y a d'autres histoires en court d'écriture. Quelques une sont sur The seven deadly sins mais il y a aussi une fiction sur un jeu que j'adore, Kingdom hearts.
J'espère que sa vous aura plu.

A bientôt.

Derrière la porteWhere stories live. Discover now