Derrière la porte

Plus grave que prévu

Je me sépare de mon frère, essuie ses larmes et les miennes.
Méliodas : Tu peut te lever?
Zeldris : Il va falloir.
Je le prend à la taille et il passe son bras autour de mon cou. Je l'aide à se relever. Il se mord la lèvre. Sûrement pour ne pas crier de douleur. Il marche difficilement.
Patiente : Non mais je rêve! Ils passent avant tous le monde! J'étais là avant.
Je n'en crois pas mes oreilles. J'allais pour répliquer quelque chose mais on l'a fait avant moi.

Patient : Écoutez madame, ce jeune homme est très malade. Vous le voyez bien.
La femme continu de s'énervé.
Hendrisson : Ce garçon a une maladie grave. Si je ne le prend pas en urgence, il peut mourir. Vous n'avez rien à dire sur ma décision.
Sa la fait taire. Nous entrons dans le cabinet. Je guide mon frère vers le lit. Il s'assoit difficilement.
Hendrisson : Pouvez vous enlever votre manteau et votre pull.
J'aide mon frère à se dévêtir. Il se retrouve en tee-shirt. Il grelotte de froid. Le médecin vérifie son rythme cardiaque.
Hendrisson : Votre coeur a ralentit. Prenez vous des médicaments ?
Zeldris : Oui.
Mon frère cherche dans la poche de son manteau. Je vois qu'il a du mal. Il montre ce qu'il prend à l'homme.
Hendrisson : Vous en prenez combien par jour pour votre coeur?
Zeldris : Un seul.
Hendrisson : Et pour vos poumons?
Zeldris : Aucun.
Il se tord de nouveau de douleur. Je le vois modre encore ses lèvres. Il retient ses cris mais pas ses larmes. L'homme met quelque chose dans une seringue et l'administre dans le cou de mon frère. Dans les secondes qui suivent, je vois mon cadet s'effondrer. L'homme le retient et accompagne sa chute. Il l'allonge correctement. Je m'inquiète.
Hendrisson : Ne vous inquiétez pas. Se que je ai lui donner va le détendre et calmer ses douleurs.
Méliodas : Comment il va?
Hendrisson : Sa maladie c'est aggravé. Un seul cachet pour son coeur n'est plus suffisant. Faudrait qu'il en prenne deux par jour. Si il a encore des douleurs, il devra en prendre trois. Il devra en prendre aussi pour ses poumons.
Méliodas : C'est si grave que sa?
Hendrisson : Malheureusement, oui. Sa maladie progresse malgré le traitement. Si sa continu à se rythme, il ne lui restera plus beaucoup de temps à vivre.
Méliodas : Il n'y a vraiment rien qui peut le sauvé?
Hendrisson : J'ai peur que non. Cette maladie est très rare et très difficile à soigner. Revenez dans quelques jours, je ferai des examens un peu plus pousser.
Méliodas : Combien de temps va t-il dormir?
Hendrisson : Il va se réveillé avant le déjeuner.
Cusack met mon frère sur son dos.
Hendrisson : Tenez ceux la sont pour ses poumons. Deux par jour, matin et soir. Pareil pour son coeur. Si il a encore des douleurs, faudra passer à trois pour son coeur. A son réveille, il sera un peu déboussolé. Qu'es ce qu'il prend lors de ses crises?
Je lui explique.
Hendrisson : Bon pour l'instant rester comme ça. Quand vous reviendrez et qu'il a encore des crise malgré le renforcement des cachets. Je changerais son traitement.
Méliodas : Il peut continuer à faire des crises?
Hendrisson : Disons que s'il n'en fait pas dans les prochains jours, sa veut dire que sa maladie c'est calmé. Dans le cas contraire et que ses cachets habituels ne font rien, ça veut dire que sa maladie a avancé plus que je l'aurais imaginé. Autant prendre toute les précautions. Revenez à la fin de la semaine.
Méliodas : Si j'ai bien compris, son traitement est renforcé et devrait calmer sa maladie. Si il fait une crise, il prend ses cachets habituel et si ce n'est pas suffisant. C'est que sa maladie à plus avancer que prévu. C'est ça?
Hendrisson : Tout à fait.
Méliodas : J'espère que ce n'est pas le cas.
Hendrisson : Je l'espère pas non plus. Il doit commencer à prendre la nouvelle dose se soir. Si demain il a encore des petites douleurs, c'est normal. Il faut que sa fasse effet. Si le soir suivant, il a encore des douleurs, augmentez la dose pour son coeur.
Méliodas : Si il a des douleurs demain c'est normal?
Hendrisson : Tout à fait.
Cusack : Le pauvre. Heureusement, que vous ne l'avez pas déclencher vous aussi.
Méliodas : C'est vraiment injuste. Il n'a pas a subir tous ça. Il ne le mérite pas.
Cusack : Je suis d'accord. Bon allons y.
Je prend les vêtements de mon frère, et nous sortons du cabinet. La femme qui ne voulais pas nous laisser passer, nous regarde de haut.
Hendrisson : Heureusement, que vous êtes arrivé à temps, ou votre frère ne serai plus de se monde.
J'ai une boule au ventre. Zel aurait dû en parler plus tôt. Nous nous balladons en ville.
Cusack : Où allons nous jeune maître?
Je suis inquiet pour mon frère.
Cusack : Jeune maître ?
Méliodas : Désolé, j'étais dans mes pensées. Allons dans une auberge. Zel a besoin de repos.
Nous nous dirigeons dans une auberge. Cusack paye les chambres pour notre séjour. Il y en reste que deux. Avec Élizabeth, nous la partagerons avec mon frère et sa belle. Sa me rassure un peu. Je vais pouvoir le surveiller. Cusack installe mon frère sur l'un des lits.
Méliodas : Je vais rester avec lui. Toi tu vas cherché les filles et Chandler. Ils ne savent pas ou nous sommes.
Cusack : Vous êtes sûr...
Méliodas : Fais ce que je te dis.
Cusack : Bien.
Il sort de la pièce. Je sais qu'il s'inquiète pour son protéger. Je le regarde dormir. Il a l'air apaisé. J'explose en larmes. J'ai si peur de le perdre. Les heures passent et il finit par se réveiller.
Méliodas : Salut la marmotte.
Zeldris : Hum... Où suis je?
Méliodas : Dans une chambre qu'on a loué.
Il essaye de se redresse mais il grimace de douleur.
Méliodas : Tu devrais rester allonger.
Zeldris : Qu'es ce qu'on fait là ? Enfin là dans un lit?
Méliodas : Oh, c'est vrai. La piqûre t'a déboussolé. Tu te souviens de quoi?
Zeldris : On venait d'arriver dans une grande ville. Les filles voulaient faire du shopping. Après je ne sais plus.
Méliodas : Tu voulais voir un médecin. Nous y sommes aller. Tu t'es plein de douleur au coeur et s'a c'est accentuer. Je vais pas te mentir, ta maladie c'est un peu aggravé.
Zeldris : Oh...
Méliodas : Le médecin a renforcer ton traitement. On dois le revoir en fin de la semaine pour faire des test.
Zeldris : Je vais sûrement changer de traitement.
Méliodas : Tu aurais pu nous le dire un peu plus tôt pour tes douleurs.
Zeldris : J'avais peur que sa s'aggrave. Finalement c'est arrivé.

Yo tous le monde. Comme annoncé il y a quelque temps, l'vistoire va bientôt finir. Il reste 2 chapitres sans compter celui là. La question que vous vous demandez sûrement est si Zeldris va s'en sortir? Malheureusement, je ne peut vous répondre pour le moment et vous laisserez le découvrir par vous même la semaine prochaine. Merci pour les commentaires. Il devrait avoir un os d'ici les prochains qui va sortir. Il ne sera pas sur cet univers mais sur un jeu que j'aime beaucoup.

A la prochaine. Biz.