Dans la tête d'une Pute🇨🇲 ( En pause)

chapitre 15

Nous étions Samedi et j'étais toujours chez Rodrigue. Toutefois, il n'était pas à la maison, car il avait un rendez-vous important et ne devait revenir que tard dans la nuit. Du coup, j'étais restée seule avec Alan. Aucun d'entre nous n'avait adressé la parole à l'autre.  J'étais à la cuisine, en train de me débrouiller à faire à manger, lorsque Alan y pénétra.
    J'étais gênée, des flashbacks de la scène d'hier revenaient en boucle dans ma tête , toutefois je ne laissais rien transparaître et continuai à découper les oignons. Tout à coup, je le sentis se rapprocher de moi.. il passa ses mains autour de ma taille et colla son bassin contre mes fesses. Il se mit à m'embrasser langoureusement le cou et agrippa brusquement ses mains sur mes fesses, ce qui fit sursauter. J'aimais ça....

Je déposai le couteau et me retournai de façon à être en face de lui. Je pris possession de ses lèvres et nous nous embrassâmes d'une manière passionnée... il me posa sur l'îlot et se plaça entre mes jambes, il baissa mon « kaba »de façon à ce que ma poitrine soit exposée, il appuya mes seins, les suça, titilla mes tétons, faisant naître en moi, un désir aussi fort qu'avait fait naître son frère.

-Suce-moi, comme tu as sucé mon frère hier....m'ordonna t-il.

Je descendis de l'îlot et il s'adossa contre celui-ci. Je me mis à genou devant lui et défis sa culotte. Je fis sortir son intimité et me mis à la caresser, je l'introduisis dans ma bouche et me mis à lécher, sucer, jouer avec..tellement je m'y prenais bien qu'il se mit à gémir de plaisir....
  Il tirait mes tresses et  m'accompagnai la main sur ma tête, à effectuer mes mouvements de vas et viens. 
     Lorsqu'il fut suffisamment tendu,  il me releva,  me plaqua ventre contre l'îlot et me pénétra par l'arrière, ce qui me fit hurler de plaisir. Il exerça des mouvements de vas et viens violemment, créant en moi un feu d'extase car j'avais horreur de la douceur durant l'acte sexuel..
    Après des minutes de plaisir intense, il jouît à l'intérieur de moi, et ressortit calmé.

-Pourquoi tu l'as fait à l'intérieur? Lui demandais-je essoufflée et paniquée.

-Du calme, tu prendras une pilule. Me dit-il en sortant de la cuisine.
   J'avais arrêté la cuisine et étais partie me doucher, et pendant que je le faisais, Alan était une fois de plus entré. Nous avions une fois de plus couché ensemble et c'était une fois de plus exquis...

(.....)

J'avais tellement adoré mon week-end chez Rodrigue, que la semaine qui suivait moi-même je m'étais proposée d'y aller à nouveau et bien évidemment il avait accepté. Par la suite, c'était devenu une routine de me rendre chez lui chaque week-end depuis un mois maintenant....

     Alors quand vendredi était arrivé, j'étais la plus heureuse du monde car je m'attendais à passer une fois de plus, un week-end sexuel....
  Si Rodrigue et moi, avions attribué un nom à la relation que nous vivions, Alan et moi ne connaissions pas la nature de la nôtre. Nous nous parlions normalement devant tout le monde, ce qui rendait les filles de mon amphithéâtre jalouses, mais une fois que nous nous retrouvions à deux, nous couchions ensemble et j'adorais ça...
   Ces deux frères avaient reçu un véritable don pour les rapports sexuels. Que ce soit avec Rodrigue ou Alan, je ressortais toujours satisfaite. Certes, je n'étais amoureuse d'aucun d'entre eux, mais je devais avouer qu'une fois dans la chambre, ils réussissaient à me faire perdre la tête et mon fantasme le plus cher était de coucher avec les deux en même temps, mais c'était impossible, Rodrigue ne l'aurait jamais accepté....

J'étais donc en train de ranger mon sac, lorsque mon nouveau téléphone se mit à sonner... eh oui! Je m'étais achetée un iPhone quatorze grâce à l'argent que me donnaient Rodrigue et Alan. C'était spécialement pourquoi j'aimais me rendre chez eux les week-ends, j'étais au petit soin. Et dans les différentes relations que j'entretenais avec les deux, j'étais gâtée....
Je décrochai mon téléphone enjouée, remarquant que c'était Danielle avec qui je m'étais réconciliée.