souviens toi!

chapitre 2

Un mois plus tard :

Nicky était de retour au bureau depuis une semaine. Il se sentait toujours étrange, ne pas se rappeler plus de deux ans de sa vie, était quelque chose d’horrible qu’il avait du mal à supporter. Cela lui faisait des migraines atroce, en reprenant le travail, il c’était imaginait qu’il aurait pu avoir ne serait-ce qu’une bribe de souvenirs mais non, il n'y avait rien. Ce n’était malheureusement pas ça qui le chiffonner le plus. Il n’avait pas revu Jade depuis un moment.
Depuis qu’il s’était réveillé de son coma, il l'avait presque vu tous les jours, elle avait toujours était près de lui. Malgré qu’ils ne se souvenait pas d’elle. Il savait qu’elle avait été sa maîtresse, Paul le lui avait dit, mais du jour au lendemain, il ne l’avait plus revu. Cela était un véritable mystère pour lui, il avait ressenti comme un l’abandon. Il était en colère après elle, probablement qu’elle en avait eu marre de rester avec lui. À ce moment-là, Paul entra dans le bureau  avec un grand sourire. Nicky et Paul était amis depuis des années, ils n’avaient pas toujours était d’accord sur tout, mais depuis qu'il était sorti de son coma Nicky se méfier de lui. Il ne saurait dire pourquoi, mais quelque chose le tracassait.

Paul :  Alors mon vieil ami, comment te portes-tu aujourd’hui ?

Nicky :  J’ai connu mieux.

Nicky commença à se masser les tempes, il regarda son ami un instant.

Paul : Il y a quelque chose qui ne va pas je te sens un peu distrait ?

Nicky :  Oui, c’est à propos de Jade.

Nicky vit son ami se tendre légèrement.

Paul :  Qu’est-ce qui se passe avec cette Jade ?

Nicky :  Je trouve ça étrange de ne pas avoir eu de ses nouvelles, elle était là depuis que je me suis réveillé de mon coma et soudainement, plus aucune nouvelle  je trouve ça vraiment étrange.

Paul : Tu devrais l’oublier mon ami, c’est une maîtresse comme une autre.

Nicky :  C’est étrange, mais je n’ai pas cette impression.

Paul :  Bon écoute mon ami, il est temps que je te dise la vérité.

Nicky le regarda en foncent les sourcils. De quoi son ami paraît-il ?

Paul : J’ai toujours su que cette femme n’était pas fait pour toi et ça depuis le début. Tu as eu une brève liaison avec elle et finalement tu as laissé tomber, je ne voulais pas te le dire parce que les médecins ne veulent pas qu’on te raconte ce qu’il s’est passé. Pour ne pas te brusqué, mais il est temps que tu l’oublies de plus j’ai…

Nicky : Tu as quoi ?

Paul : Je lui ai proposé une grosse somme d’argent, elle a acceptée pour ne plus te voir.

Nicky :  Tu as quoi !

Il haussa le ton soudainement et sentit son ventre se tordre.

Paul : Écoute, c’était la raison pour laquelle elle souhaitait rester près de toi, pour ton argent, comme Caroline, la preuve en est elle à acceptait et depuis plus aucune nouvelle.

Nicky senti une rage folle à l'intérieur de lui-même. Il ne savait pas si cela venais du fait que son amie avait fait cela ou du fait qu'elle est put accepter. Il ne saurait dire pourquoi, mais il avait eu l’impression, depuis il était sorti du coma, que c’était la seule personne qui était franche avec lui. Peut-être, était-ce dû à ses yeux si exceptionnelle ou à sa façon de le regardait. Pas avec de la peine ni de la pitié, mais de la compréhension. Il se retourna vers la fenêtre et dit une voix rauque.

Nicky : Va-t’en !

Paul :  Très bien, mais n’oublie pas ton rendez-vous à l’hôpital dans une heure.

Paul partie en fermant la porte.
Nicky se dirigea vers la commode et pris un verre de scotch. Il le but d’une traite, cette situation était insupportable pour lui, ne pas se souvenir de deux ans de sa vie, de tout ce qu'il avait pu se passé. Pour lui cette façon que les gens avaient de le regarder avec pitié ou envie était horrible. Certaines personnes essayer d’avoir ses faveurs, alors qu’il voyait bien dans leur regards que ses personnes voulait seulement profiter de son amnésie, qu’il espérait temporaire.
Jade était dans l'ascenseur, elle se rendit à la cafétéria afin de prendre un café. Elle avait eu son traitement aujourd’hui et se sentait extrêmement fatiguée et affaibli. Ce traitement, qui devait l’aider à attendre cette grève du rein, il faisait des effets secondaires plutôt désastreux. Mais avait-elle le choix ? Elle était sur liste d’attente pour avoir un donneur, les donneur compatible se faisait rare. Mais allait-elle se plaindre ? Non, elle admira le courage de Emmy de supporter tout cela à son jeune âge, du courage de sa mère de supporter de voir sa fille souffrir en ayant toujours ce même sourire. Elle avait était heureuse de pouvoir les aidées, heureuse d’avoir pu contribuer à ses soins et cela lui réchauffa le cœur. Malgré cela, elle était extrêmement triste, depuis qu’elle avait dû abandonner Nicky. Elle avait vu dans la presse, qu’il s’était fiancé à Caroline, son ex, qui avait profité de lui. Puis il avait démenti dans une conférence de presse. Cela lui fendit le cœur, néanmoins elle n’avait rien à faire dans cette histoire. Après tout, il ne se souvenait pas d’elle, ou en tout cas pas de leur splendide histoire d’amour. À ses yeux  ça n’était qu’une maîtresse parmi d’autres, qui passait dans sa vie. Elle remit son gilet et se gratta le bras, elle savait que ce soir elle aurait un bleu, tout simplement parce qu’elle avait foncé dans l’ascenseur, afin d’ouvrir les portes qui se refermèrent et qu’elle eut un petit choc. L’un des nombreux effets secondaire était cela, de marquer extrêmement vite, c’était un problème. Son corps était presque rempli de bleu, mais elle pouvait encore marchait et surtout elle avait pu être autorisé à rentrer chez elle. Elle revenait que pour les soins, de toute façon, elle n’avait pas les moyens de payer l’hospitalisation.
Et puis à quoi bon, elle n’avait plus goût à rien. Elle mit une pièce dans la machine à café et appuya sur le bouton, elle attendit quelques instants que son café soit prêt, elle le prit puis se posa à une table seul. Soudainement, une personne s’assied face à elle, quand elle leva les yeux, elle se figea. C’ét, l’homme de ses pensés, que faisait t-il là ? Et surtout que faisait t-il face à elle ? Son cœur  ratas plusieurs battements, il la regardé froidement, comme si c’était son ennemi numéro un.