chapitre 9

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Marie : Oh oui je crois en l'amour bien évidemment.

Nicky : Vous devriez surtout faire attention à votre petit cœur qui risque d'être prisée.

Léon : Qu'elle négativité.

Nicky : Une femme peut très bien prétendre vous aimez, puis ensuite vous planifiez un mariage et soudainement vous... L'oubliez.

Il eut un sourire sans joie, Jade savait qu'il parlait d'elle, mais les autres autour ne comprenez pas cette conversation.

Léon : J'ai du mal à croire qu'un homme qui planifie un mariage puisse oublier sa femme.

Nicky : Cela me paraît évident.

Jade : Soyez plus précis monsieur.

Nicky : À mon avis, la femme est sûrement oubliée parce qu'elle a dû faire quelque chose... Comme par exemple avoir un autre homme dans sa vie. Peut-être simplement qu'elle ne méritait pas son amour.

Jade fronça des sourcils, elle eut la mâchoire serrée et se leva soudainement.

Jade : Vous êtes monstrueux !

Jade parti en courant à l'extérieur. Léon et Marie la regardèrent sans comprendre ce qu'il venait de se passer. Quand à Nicky il était tellement énervé, qu'il se mit à la poursuivre, elle était dehors, elle respiré extrêmement fort. Jade essayait de se calmer, et de ne surtout pas pleurer. Elle se retourna et le vit, elle était furieuse et lui également.

Jade : Oh nom de dieu, c'est pas possible ! Vous n'avez pas terminez, vous avez peut-être envie d'en rajoutez !

Nicky : Oui je n'ai pas terminé.

Jade : Mais je vous en prie continuez monsieur.

Nicky : Vous m'avez menti, ça n'est pas votre ami.

Jade : Vous avez raison ! Léon n'est pas seulement mon ami c'est également mon infirmier. Et c'est un problème d'avoir un infirmier chez soi, parce que selon vous je devrais mourir sans rien faire, parce que certainement je ne méritait pas son amour !

La colère de Nicky descendit aussitôt. Jade continuait à lui criée dessue tout en gesticulant, il ne comprit pas pourquoi elle avait besoin d'un infirmier.

Jade : Ce n'est pas parce que vous avez perdu la mémoire, que vous êtes obligé de vous en prendre à tout le monde ! Moi je n'y suis pour rien, je ne vous ai rien fait et vous me jugez... Vous ... Vous

Elle grimaça soudainement en mettant sa main sur son ventre, Nicky voulut s'approcher mais elle l'arrêta de sa main.

Jade : Je... Vous interdis de vous approchez... De moi.

Il la regardé souffrir et ne pouvais rien faire, elle souffrait terriblement. Il entra à l'intérieur tout en paniquant et chercha Léon. Elle avait dit que c'était son infirmier, il pourrait probablement l'aider, ou du moins trouver une solution. Ils sortirent tous les deux à vive allure, Jade était allongé au sol en position fœtal. Elle se tenait le ventre, elle respirait difficilement et grimaçait de plus en plus. Léon se posa près d'elle et prit son pouls l'air inquiet.

Léon : Sur une échelle de un à dix la douleur...

Elle l'interrompit.

Jade : dix, dix c'est dix.

Léon sorti de son sac une seringue, il ouvrit sa chemise et la planta dans son ventre, un cri sortit de sa bouche et Nicky en eu une boule au ventre.
Il regarda la scène sans pouvoir faire quoi que ce soit.

Léon : Ça va aller dans quelques secondes tiens bon.

Léon mis sa main sur son front humide et regarda Nicky.

Léon : Elle n'a pas de fièvre c'est bon signe ça.

Jade sombra dans un sommeil profond, Léon voulu la soulever pour la ramener chez elle, mais Nicky sans chargea. Ils prirent la voiture et rentrèrent tous les trois. Nicky la déposa sur le lit, il lui mis une couverture, il ne put s'empêchait d'embrasser sa tempe.
Il ferma la porte de sa chambre. Léon était sur le canapé, il paraissait inquiet, Nicky s'assied face à lui.

Léon : Je viens de raccrocher avec son médecin, mais il n'y a toujours aucun donneur je ne sais pas si...

Nicky : Un donneur ?

Léon fit tête, comme si il avait fait une erreur en disant cette phrase, il était persuadé qu'il savait.

Léon : Vous... Vous ne savez pas ?

Nicky : Dites-le-moi, s'il vous plaît.

Léon : Je ne peux pas, il y a le secret professionnel.

Nicky : Je vous en prie, j'en mourrais si jamais il lui arrivait quelque chose, je pourrais peut-être l'aider.

Léon hésita un moment mais face à la détresse de Nicky, il décida tout de même de lui parlé. Après tout, peut-être qu'un ami près d'elle serait salutaire.

Léon : Jade à des problèmes rénaux depuis sa plus tendre enfance, de ce que j'ai compris ses parents ne pouvant payer les traitements l'ont... abandonnée. Elle avait de simple traitement au début et ça se passait bien, mais malheureusement pour elle il y a plus de six mois, elle a rechuter. Son médecin pense à un choc émotionnel, je sais seulement que depuis un mois c'est de pire en pire.

Léon regarde à la porte fermée.

Léon : J'ai l'impression... Qu'elle a laissée tomber, qu'elle ne se bat plus... Comme si elle avait...

Nicky : Laisser tomber la vie.

Léon acquiesça.

Nicky en eu mal au cœur, elle était malade depuis bien longtemps, il ne s'en était jamais rendu compte. Il avait était froid et même méchant avec elle, alors qu'elle se battait tous les jours pour vivre. Lui avait déverser sa haine contre elle.
Il s'en voulait énormément il n'avait pensé qu'à lui, qu'à ses problèmes, sans même se rendre compte le moins du monde qu'elle souffrait. Léon parti le laissant seul avec elle, il avait ouvert la porte, il s'approcha du lit, elle dormait paisiblement. Elle n'avait plus l'air d'avoir mal, son visage d'ange et ses cheveux ondulé sur le coussin. Il s'approcha d'elle et lui embrassa la tempe, il préféra la laisser seule, car après tout c'était lui le déclencheur de sa crise. Il s'en voulait d'avoir était aussi violent, elle l'avait touché au plus profond de son être.

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