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Sous ces belles étoiles, devant ce couché du soleil. Le temps passe si lentement, comme si il attendait quelqu'un. Ton sourire comme ce croissant de lune illuminait mes sombres journées. Comme un parapluie sous la pluie.
Pourquoi ai-je l'impression de tout perdre, Alors que tout est toujours là ?
Un jour tu as passé la porte et tu n'es plus jamais rentrer. Un autre toi était là juste en face de moi.
-C'est quand que tu comptes te trouver un boulot? Sale clocharde tu profites de ta mère pour avoir un toit sur la tête ?
Depuis ce jour là, avant que je ne puisse te prendre dans mes bras comme je le faisais auparavant, tu me sors ces quelques mots. Qui on le dont de me détruire en mille morceaux.
Pourtant ce soir n'est pas un soir comme les autres. Tu avais décidé d'aller un peu plus loin.
Tu pris ta bouteille d'alcool vide que tu trainais toujours avec toi en rentrant et la tenait en l'air.
-Sale chienne sors de chez moi.
Des perles salées coulèrent sur mes joues alors que tu m'insulta de faible et de tout autre noms.
Je ne me fis pas prier, pris quelques affaires et sortie de chez moi laissant tout les souvenirs d'enfance passé avec toi derrière moi.
Tu m'avais blessé.
Brisé en deux, sans argent, seule maintenant je cherchais un banc pour passé la nuit.
Mais ce n'est pas une nuit que j'ai passé sur ce bout de bois mais maintenant une semaine.
Une semaine que je n'ai rien manger.
Une semaine que je pleure me demandant la raison pour laquelle tu m'avais abandonné.
Une semaine que je me demande la raison pour laquelle je suis née.
Instable mentalement depuis que tu n'es plus toi même, j'avais été diagnostiqué dépressif.
Tu m'as fais vraiment mal.
Et maintenant je n'ai nulle part où aller. Je lève les yeux vers ce ciel étoilé. Sauf peut être vers les étoiles.
Je me dirigeais alors vers la route juste à côté. Là où le bus passe tout les jours à la même heure.
Si je disparaît, personne ne le remarquerais. Puisque que ma peine à toujours été une façon de me faire remarquer. Si je disparaît, je rendrais certaines personnes heureuse. Puisque qu'on m'a détesté. Si je disparaît, j'arrêterais de souffrir. Puisque que... je disparaîtrait.
