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Dans un monde où les étudiants n'ont le droit d'exprimer aucun sentiment. Nul n'a le droit à la parole. Tous forcé de travailler jusqu'à se surmené. Aucun d'eux ne peut exprimer leur sentiment à voix haute, la société risque de les rabaisser jusqu'à les étouffer. Ceux qui baisses les bras n'ont pas leur place dans ce monde. Ceux avec des problème physique ou mentaux n'ont pas leur place dans ce monde. Les faibles n'ont pas leur place. Seulement les plus forts restes pour dirigé le monde de plus tard.
Le reste, devront juste payer pour avoir été faible. Le reste devront payer pour avoir résisté. Avoir exprimer leur sentiment. Et s'être fait entendre. Avoir lever la tête et la garder dignement haute. Ils devront souffirir.
Mais si tout ça était seulement fictif.
Sauf que tout les jours, Lorsque que je lève mon regard vers le sien, mon coeur ne peut pas s'empêcher de battre. Je deviens nerveuse et peut être... heureuse ?
Sauf que tout les jours, Je n'ai aucun droit d'avouer ces quelques sentiments enfouient dans mon coeur.
Sauf que tout les jours, Je n'ai aucun droit de me rapprocher et de sourire face garçon nommé Lee minho.
La sonnerie retentit alors que je me dirigeais vers ma salle de classe. Je m'assis au fond le regard vide. Je fixe un point au hasard. Les chaises vident se remplissent petit à petit sauf...la sienne.
Comme tout les jours j'attendais qu'il s'assoit un peu plus loin devant moi pour contempler son beau visage. Je me demande à quoi il ressemble lorsqu'il sourit. Il doit juste, être beau.
La sonnerie retentit laissant place au début du cours alors qu'il n'était toujours pas arrivé. Je détourne le regard vers la fenêtre pour apercevoir des oiseaux dans le ciel. Un sourire s'étira sur mes lèvres, mais aussi tôt qu'il apparu. Il disparut.
Dans ce monde où tout doit paraître vide. Tout deviens si vide peu à peu.
La mâtiné se passa lentement aujourd'hui. Je me leva de ma chaise et marcha dans ces sombres couloir rempli de monde mais vide de sentiment.
Je me dirigea vers la cafétéria et alla m'assoire seule et commença à manger. J'ai l'air si vide. Mais tous ces sentiments en moi ne veulent qu'une chose. Être exprimé.
Je continuais de manger plongé dans mes pensées quand un plateau se pose devant moi. Je lève les regard surprise vers cette personne et l'appercu.
Lee minho.
Il m'adressa discrètement un sourire rassurant. J'essayais tant bien que mal de cacher mon étonnement.
-Bonjour t/p.
Pour la première fois, j'entendis sa voix calme et grave.
-Bonjour Minho.
On se fixais dans le blanc des yeux. Mon coeur bat plus vite au fur et à mesure du temps que nos yeux refuse de se détacher.
Un homme s'approcha de notre table.
-Que faites vous?
Je lève le regard vers lui angoissé. Nous n'avons pourtant exprimé aucune émotion.
-Nous discutions simplement Monsieur.
L'homme détourna le regard vers lui car celui ci s'adressait à lui.
-J'espère bien. Retournez dans vos classes rapidement.
Il tourna les talons et s'en alla. Je posa mon attention vers minho qui m'adressa un sourire.
Je souris à mon tour. C'est exitant de faire ces choses que nous n'avons pas le droit de faire.
On ne tarda pas à se lever en silence. Je me dirige vers ma salle de classe alors qu'une main m'attapa le poignet. Je me tourna et vis minho. Je n'eu le temps de dire quoi que ce soit qu'il me tira et m'emmena à l'extérieur de l'établissement.
On marcha un moment en passant par des rues désertes. On marcha jusqu'une belle plage bleue. Vide de population. Mais pourtant je pouvais ressentir ce bonheur dans le vent qui me soufflait dessus. Dans les vagues qui déferlent. Sur les rayons du soleil. Je pose mes pieds sur le sable chaud. Je n'avais qu'une envie.
De courir dessus en riant.
Minho me tire jusqu'au bord des vagues. Je lève mon regard vers lui. Le soleil caresse sa peau caramels. Un sourir est scotché sur son visage.
Et sans m'en rendre je souris comme je n'en ai jamais eu l'occasion. J'étais heureuse, et je pouvais exprimé ce magnifique sentiment.
-Je sais que je ne devrais pas mais t'aimer est plus fort que moi. Je t'ai aimé. Et je t'aime encore et encore. J'ai l'impression d'être un criminel. Mais je suis seulement un homme fou amoureux.
Le vent souffle et dégage quelques mèches de son front. Ses yeux pétillants s'accroche aux miens.
Je baisse le regard quelques secondes avant de relevé la tête vers lui. Je m'approcha de lui et posa mes mains sur ses épaules avant de décoller les talons du sol. J'approcha mes lèvres des siennes alors qu'il posa ses mains sur mes hanches. Il posa en premier ses lèvres sur les miennes. Elles sont si douces. Je souris puis le sent sourire contre mes lèvres à son tour. On se détache pour revenir contempler les yeux de l'autre.
-Lorsque que ton regard rencontre le mien mon coeur ne peut pas s'empêcher d'accélérer. Je t'ai aimer et je t'aime encore et encore. Nous ne sommes pas des criminels. Mais des personnes ordinaire qui ont découvert l'amour.
Ce vif sentiment pris le contrôle de mes esprits. J'avais raison, lorsqu'il sourit il n'est rien d'autre que magnifique. Il posa sa main sur ma joue et la caressa avec son pouce. Je n'avais qu'un envie. Que ce moment dur à jamais. Mais rien est éternel, sauf peut être,
L'amour que je ressent pour lui.
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