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Sous ces pétales de rose qui tombe sur moi. Alors que le soleil se couche. Alors que la mélodie de ce piano ne cesse de se jouer dans mes oreilles. Sous ce ciel rose, Je te cherche mais tu ne me vois pas. J'aimerai m'apporcher et te saluer mais tout m'en empêche. Alors je marche vers l'avant en t'ingnorant. C'est à ce moment là, que ton attention se tourne vers moi. Et la seule chose que tu vois, c'est moi t'ingnorant.
J'aimerais faire demi tour. Mais tout est fini maintenant. Depuis que ces instants avec toi se sont arrêtés. Depuis que tout est fini.
Lorsque que nous avons décidé de briser nos cœurs, alors que pourtant l'amour que chacun éprouve pour l'autre ne disparatrait pas pour autant.
Je me retourne vers toi, mais tu m'ignore.
Les yeux baissés vers le sol entouré de tout tes amis en rentrant de tes entraînement. Alors que normalement nous serions ensemble, main dans la main.
Je t'aime encore Changbin.
Et tu ne pourras pas m'en empêcher. Même après avoir passé trois long mois sans toi je t'aime toujours.
Je me précipite chez moi tout en t'ingnorant, alors qu'un jour, nous nous sommes aimé.
Je ne verouille pas la porte derrière moi, mes habitudes avec toi n'ont pas changés. Comme quand tu rentrais tard, je te laissais la porte ouverte. Juste parce que je t'attendrai. Et en vérité, je t'attend toujours.
Je m'assoie au piano et joue cette mélodie et que j'ai écrite pour toi. Je m'assoie au piano et entend toujours ta voix chanter ces merveilleuses notes accompagné de ces accords.
Mais pourtant, tu n'es plus là.
Comme si j'étais dans un désert.
Si vide.
Si dépourvu.
Sans toi.
Dans ce néant infini, sans toi. Je passe ces moments seule alors que j'aurais pu être avec toi, dans tes bras.
Je ne tarde pas avant d'aller me coucher. C'est si dure sans toi. Je ferme les yeux en me concentrant sur ma respiration. De plus en plus lente comme si c'était la dernière fois que je respirais.
Je me réveille alors que l'étoile du soir apparaît dans l'azur. Dans un bleu profond et lointain. Je me lève et et ouvre la fenêtre. Je passe mon visage dehors pour ressentir le vent frais sur ma peau. Je prend une grande bouffer d'oxygène et baisse le regard vers ces quelques passants.
