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Comme tout les mardi j'allais acheter ce bouquet Iris pour le déposer sur la pierre de la personne qui m'a rendu le plus heureuse. Chaque mardi je déposais ce bouquet d'iris pour que cette personne soit heureuse là où elle peut être. Je les remplaçais lorsqu'elles fanaient pour les remplacer par de nouvelles fleures. Comme quand cette personne pouvait remplacer ma douleur en bonheur avec un simple sourire. Comme quand cette personne prenait soin de moi à chaque fois que je la rencontrait. Quand j'écoutais son cœur et qu'elle me disais que je pouvais être forte. Que j'en étais capable. Comme quand elle me disait je t'aime chaque matin et chaque soir. Je vous parle de l'amour d'une mère aimente. Une mère qui a pu prendre énormément soin de moi dès l'âge de six ans pendant encore onze ans. Lorsque qu'elle à rendu un jour spécial que je peux appeler le plus beau jour de ma vie. Le jour de mon adoption.
Comme chaque mardi, j'allais sur sa tombe pour y déposer ces fleures et faire couler quelques larmes. Je lui parlais encore mais plus le temps passait plus je me sentais seule. Le vent soufflait de plus en plus fort. Et la pluie s'abattait sur moi de plus en plus. L'hivers vînt remplacer le Printemps. Plus les jours passerent plus je restais silencieuse devant cette pierre. Plus je gardais ma peine au fond de moi.
Comme tout les mardi, le bouquet d'Iris devient tristement fané. Pourquoi je continuais de les déposer ici si c'est pour s'acrifier leurs vies alors qu'elles ne sont en faite destinée à personne. Personne de vivant.
Plus le temps passait moins je laissait ma douleur apparaître. Plus le temps passait moins je me vis sourire.
Tout les mardi je me rend au cimetière pour rendre visite à cette personne sans bouquet de fleure. Des fleures fané était poser sur la pierre sans jamais être remplacé.
Comme tout les mardi je venais de plus en plus tard la soir, les mains vide, le regard baissé et tout aussi vide. Ce cimetière que je connaissais de plus en plus me paraissent de plus en plus inconnu. Plus je m'y promenait plus j'avais l'impression qu'on m'avait laisser dans un lymbirinte et qu'on m'avait abandonné. Je levais les yeux vers la lune lui réclament de l'aide comme si celle-ci pouvait m'indiquer la sortir et me remettre sur le droit chemin.
Alors je baissais la tête, je n'avais rien de mieux à faire. Je n'étais capable de rien d'autre. Assise devant la pierre, des larmes menaçait de couler. Mais je m'empêchais tout laisser apparaître toute émotions. Accoupis la tête dans les bars je m'empêchait de verser ses quelques larmes qui pourrait me sentir plus légère.
Une mains se déposa délicatement sur mon épaule, si délicatement que ça ne me surpris même pas. Je leva la tête et apreçois un jeune homme aux cheveux noirs très sombre. Une lueur d'emphtie se lu dans ses yeux noisettes pourtant un sourire rassurant était dessiner sur son visage. Le vent se calma peu à peu avant de laisser des flocons de neige tomber. Il s'assit à côté de moi. Aucun de nous prononce ne serait-ce qu'un mot mais ce silence est si réconfortant. Il me prit la main et la serra fort comme pour me faire comprendre que quelqu'un est présent auprès de moi. Je ne chercha pas à le repoussée. En ce moment même j'ai besoin que quelqu'un me tienne la main et me réchauffe le cœur.
Le mardi suivant j'arrivais les mains vide devant la tombe de ma mère. Rien avait changer, le ciel était toujours aussi étoilé, le vent soufflait toujours autant, aucun sourire n'apparu sur mon visage. Sauf que le bouquet Iris avait été remplacé. Un autre bouquet avait remplacé le peu qui restait des autres fleurs fané.
Un main se posa délicatement sur mon épaule.
-Elles sont plus belles comme ça non?
Je ne répondi pas et me contenta de le fixer longuement. Il me souria et me tenda sa main pour que je puisse l'attraper. Par surprise je le fis. Il m'amena quelques mètres plus loin dans le sombre cimetière.
-J'ai perdu mon frère.
Une larmes coula sur mon visage alors que j'avais empêcher celle-ci de couler depuis bien trop longtemps.
-Tu- tu veux en parler.
-J'ai déjà fais mon deuil.
Je lui lança un regard incompréhenif.
-J'aimerai t'aider à faire le tien.
Quelques autres larmes coula sur mon visage. Puis j'éclata en sanglots. Bizarrement c'était agréable de pleurer. De pouvoir se libérer d'un poids. Il me prit la nuque et me fit faire un pas en avant pour qu'il puisse me serré dans ses bars. Il caressa mes cheveux et posa son menton sur ma tête. J'entendais son coeur battre. Le mien et le sien battait en même temps. Un sourire se dessina petit à petite sur mon visage. Je ferma les yeux et ses battements de coeur me berçait pendant cette nuit glacial. Ce moment me rappelait ceux que j'avais pu passé avec ma mère lorsqu'elle était encore là.
La nuit suivante il était déjà là. Des nouvelles Iris était dépose sur la pierre. Je m'approchais de lui qui était dos à moi assis contre un arbre. Je m'assis à côté de lui ce qui me donne le droit à un beau sourire. Je me met en boule et croisa mes bars sur les genoux avant d'y déposer ma tête.
-Comment t'appelles-tu?
-Changbin. Seo Changbin.
Il posa sa main sur ma tête et caressa mes cheveux avec douceur. Sa respiration m'appaisais et me berçais. Il posa une Iris dans ma main entre-ouvèrte et passa une bague dans sur index. Petit à petit je me laissa tomber dans les bras de Morphée dans cette nuit étoilée.
Je me réveilla et décolla ma tête de mes bras. Je regardais autour de moi et Changbin avait disparu. L'iris était sur la sol juste à côté de moi. Je regardais la main sur laquelle Changbin avait passé la bague sur mon doigt, elle était toujours là. Une iris était gravé dessus. Un sourire apparu sur mon visage. Je me leva et alla vers la tombe de ma mère. Le bouquet avait été remplacé une nouvelle fois.
Depuis je ne revue jamais ce Changbin. Mais ce qui est sûr c'est que jamais je ne l'oublirai.
Tout les mardi, sous le ciel étoilé j'arrivais devant la pierre de la personne que j'ai pu le plus aimer et déposa un bouquet d'iris le sourire aux lèvres alors que des larmes me montait aux yeux.
Tout les mardi j'attendais Changbin qui ne venait plus depuis la dernière fois.
Je marchais dans le cimetière que je connaissais si bien maintenant. Des semaines passaient et je me raprochais de plus en plus de la fin de mon deuil. Mais pourtant il me manquait quelque chose. Ce belle inconnu que j'avais l'impression de connaître depuis dès année. Seo Changbin où es-tu?
Je me rapprochais de la tombe de son frère. Le nom marqué était
Seo changbin.
Comment ? Est-ce que j'avais rêvé ?
Depuis tout les mardi je deposa des iris sur la tombe de ma mère et de changbin. Tout les mardi j'avais l'habitude de regarder longuement la bague qu'il m'avait donner. J'étais un peu perdu. Changbin restera un mystère pour toujours. Mais aussi, un bon souvenir.
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