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Ses yeux étaient figés sur lui, et son corps s'alerta immédiatement en ne voyant pas Julian. Elle se mit à le chercher du regard, jusqu'à ce que son regard croise le sien, assis dans sa voiture. L'idée t'intervenir entre eux, titillait l'esprit de Julian, mais il se retint en soupçonnant Mael d'être surement le passé ou présent de Malika.
Elle voulait que Julian vienne à elle, l'aide, se sentant complètement désarmée face à celui qui avait piétiné sans vergogne son cœur. Julian lui fit un signe de tête, tout en lui transmettant toute la sécurité qu'elle voulait avoir de lui.
La voix de Mael dans ses oreilles, lui était devenue insupportable. Elle poussa un léger soupir et rangea son téléphone dans son sac.
— Qu'est-ce que tu veux.
— Il faut vraiment qu'on parle de tout ce qui s'est passé Malika ! rétorqua-t-il en la saisissant brusquement par les épaules.
Julian fronça instinctivement les sourcils et s'apprêtait encore à sortir de la voiture, mais se ravisa. Le voir poser ses mains sur elle, le rongeait de l'intérieur. Mais il ne pouvait pas agir, même en tant que son Psy, car elle devait le faire toute seule, comme une thérapie.
— Purée... enlève tes salles pattes d'elle. Marmonna-t-il depuis la vitre de sa voiture.
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Malika balança fortement les bras de Mael, l'air furieux.
— Déjà tu ne me touches pas ! protesta-t-elle d'une voix ferme. Ensuite, tu me suis dans la maison, on va en finir une bonne fois pour toutes !
Elle se décala et le laissa entrer en première position, mais avant de se retrouver seule dans une pièce, avec son ex-meilleur ami, elle jeta un dernier coup d'œil à Julian qui soutenait son regard pour la rassurer.
