chapitre 18

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PDV Serena

Je me réveille dans ma chambre avec un mal de crâne intense.

- Gloire à Poséidon ! Tu es réveillée!

Affirme Merida qui était assise à mon chevet. Elle essaye de me toucher mais je la repousse violemment.

- Ne me touche pas espèce de traîtresse. Vous êtes tous des menteurs dans cette maison je vous déteste.

Je crie tellement que toute la famille qui était dans le salon, se retrouve dans ma chambre.

- Vous m'avez caché la mort de ma mère. Vous êtes les pires espèces que j'ai eu à rencontrer dans ma vie. Vous auriez dû mourir à leur place je vous hais.

Je continue de crier en pleurant.

C'était le silence total dans la pièce. Bien sûr ils n'avaient plus rien à raconter.

- Enlever la télé de ma chambre pour ne pas que je vois ces informations, quelle bande d'égoïste vous êtes. Vous ne valez pas mieux que...

- ÇA SUFFIT !!!

Le cri de  Josh nous fait tous sursauter. Je ne l'avais jamais vu dans cet état. Sa voix était grave on aurait dit un monstre et son regard devenait de plus en plus rouge.

- Personne ici n'est responsable de la mort de tes parents. Ni toi, ni nous tous ici présent, ni le président américain, ni le roi de l'Espagne, ni la machine à laver ou je ne sais qui encore, alors surveille ton langage petite.

Continue Josh.
Je me  préparais à sortir lorsque la porte de ma chambre claque  violemment.

- Tu n'iras nulle part par ce que tu vas nous écouter attentivement.

Je l'écoute pas et tire sur la poignée de la porte pour l'ouvrir.

- Pas besoin de te fatiguer. Elle ne s'ouvrira pas tant que je décide alors t'as intérêt à poser tes petites fesses sur ce lit.

Affirme sévèrement Anissa.

Quoi ? Elle aussi s'y met! Non mais quelle famille !

- C'est maintenant que vous me montrez votre vrai visage ? Vous êtes pires que des monstres.

Je retourne tranquillement m'asseoir.

- Je sais que c'est difficile pour toi et je te comprends très bien.

Jack parle avec tellement de douceur que la douleur que je ressentais semblait s'atténuer.

-J'ai enlevé la télé parce que si tu voyais cette information à la télé, tu serais sans doute morte. Une scène comme celle de la prison ne doit pas se produire plus d'une fois par semaine pour une nouvelle sirène ou tu risques d'être affaiblie par tes propres pouvoirs et même trouver la mort.

- Bah j'aurai préféré mourir avec eux.

Je pleurais a chaude larmes pendant que Jack me parlais. Mon père ensuite ma mère.

- Pourquoi moi !

Je demande toujours en pleurant.

- Parce que tu es sensée accomplir de grandes choses. Ce n'est qu'une épreuve qui a pour but de te former.

Affirme Ray.

Il me prend aussi dans ses bras pendant que je pleurais.

- Mes parents !

La Bataille Des Sirènes II (L'encre De Mes Larmes)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant