La boite à bijoux

287 14 21
                                    

Nous entrons donc dans la banque ou en haut des escaliers se trouvaient les parent d'hermione qui discutait joyeusement avec ceux de riri  et en voyant des moldu, le père de ron décida de les emmener boir un verre pour leur poser un nombre incalculable de questions. Hermione fut donc obligé de suivre et nous suivon les weasley jusqu'à nos coffre

Le premier coffre ouvert était celui des weasley qui ne contenaient que très peu d'argent. Alors quand se fut notre tour on se retrouve un peu mal devant cette montagne d'argent pour nous deux.

Cette argent économisé par nos parents qui nous rendait riche mais qui nous ai complètement inutiles lorsque l'on ai à poudlard et au priver drive. Je pris de quoi acheter mes livre, Harry aussi, et j'en profite pour prendre de l'argent en plus pour les cas de nécessité, et pour payer un réparateur pour ma boîte. Une fois sortit je vis madame weasley pzrtir avec ginny acheter des robe pour poudlard. Les jumeaux weasley partirent voir leur ami et percy pars dans une petite brocante, Harry, ron et riri l'es qui été très et je profite de cette instant pour aller chercher quelqu'un pour réparer ma boîte à bijoux. J'ai une heure devant moi

Je finit par trouver une petite boutique mais une fois à l'intérieur quand j'ai montré ma boîte au vendeur il m'a regardé comme si j'avais apporté quelque chose comme le graal

- où avez vous trouvé ça mademoiselle !?

- on me l'a offert.

- cest impossible. Les boîtes à musique des grande famille ne peuvent pas tomber dans les main d'une enfant. A qui les a tu voler!?

- je n'ai jamais volé quoi que se soit

- je vais devoir appeler le service des aurores

J'attrape ma boîte sur le comptoir et sort de la boutique avant de courir le plus vite possible

Maintenant on pense que je suis une voleuse. Mince.. j'aurai dû me rendre dans un endroit où l'on ne me traiterait pas de voleuse. Harry a bien dit que l'alle des embrume était un endroit pas recommandable n'est-ce pas ? Et si...

Je cours donc dans cette fameuse aller et entre dans une boutique qui semble être une vielle brocante. Le propriétaire me regarde assez étonné

- je peux vous aider mademoiselle ?

- je suis désolé. Je ne sais pas. J'ai un objet en ma possession.. je voudrais savoir si c'est cassé ou pas. Mais pour l'instant on me traite de voleuse dès que j'essaie de la montrer

- je ne suis pas le genre de commerçants à appeler les aurores mademoiselle, montrez donc se trésor.

Je lui montre donc ma boîte et ses yeux semble brillait en la voyant

- mademoiselle, ce que vous avez entre vos mains est d'une rareté inégalable, le seul moyen de l'obtenir c'est d'un héritage familial. Vous avez énormément de chance. Cette boîte revient toujours à son propriétaire d'une manière ou d'une autre . 

- elle est cassé ?

- non elle ne s'ouvre juste que quand le jour sera venue de l'ouvrir. Garder la précieusement. Ne vous inquiétez pas. Si elle vous appartient réellement, vous découvrirez bientôt ses nombreux secret

- merci, vraiment, merci.

Je lui donne de l'argent pour son expertise et je pars chez Fleury et bott pour acheter mes livres.
Je rejoignis d'abord les autres pas très loin.

Lorsque l'on arriva à proximité, nous viren une foule immense qui se pressait à la porte du magasin. La cause de cette affluence s'étalait en grosses lettres sur une banderole accrochée à la façade :
Aujourd'hui, de 12h30 à 16h30 GILDEROY LOCKHART dédicacera son autobiographie MOI LE MAGICIEN

—On va pouvoir le rencontrer ! s'écria Hermione. C'est lui qui a écrit à peu près tous les livres de la liste !

La foule était essentiellement composée de sorcières de l'âge de Mrs Weasley. Le sorcier-libraire visiblement épuisé qui se tenait à l'entrée essayait de modérer l'ardeur des admiratrices.

—Du calme, Mesdames s'il vous plaît... Ne poussez pas... Attention aux livres...

Malgré toute cette foule, Hart et ses deux meilleurs amis parvinrent à se glisser à l'intérieur de la librairie. Pendant que moi et riri restions de côté en montant les escaliers dans l'espoir de ne pas les perdre de vue, Harry a dit qu'il achèterai mes livres pour éviter qu'on y aille à deux. Une longue queue s'étirait sur toute la longueur du magasin au fond duquel Gilderoy Lockhart signait ses livres.

Lorsque la file avança, on put apercevoir Gilderoy Lockhart, assis à sa table, entouré par de grandes photos de lui qui lançaient des clins d'oeil à la foule avec un sourire aux dents étincelantes. Le vrai Lockhart était vêtu d'une longue robe de sorcier d'un bleu myosotis parfaitement assorti à la couleur de ses yeux, et son chapeau pointu était posé un peu de travers sur ses cheveux ondulés pour lui donner l'air plus cordial.
Un petit homme de mauvaise humeur lui tournait autour en prenant des photos avec un gros appareil qui laissait échapper un nuage de fumée violette chaque fois qu'il déclenchait son flash aveuglant.

Gilderoy Lockhart avait entendu le photographe écrasé les pieds de ron Pendant un instant, il ouvrit des yeux ronds, puis il bondit de sa chaise en hurlant

—Ma parole, ce n'est quand même pas Harry Potter ?

Bon, mon frère c'est fait remarquer. Pas de chance d'avoir une cicatrice sur le front. Moi je vais bien.

Un chuchotement fébrile s'éleva de la foule qui s'écarta tandis que Lockhart se précipitait sur Harry, l'attrapait par le bras et l'entraînait vers sa table sous des applaudissements nourris. Harry avait les joues en feu lorsque Lockhart lui serra la main pour l'objectif du photographe qui mitraillait comme un fou en projetant une épaisse fumée sur les Weasley.

—Fais-nous un beau sourire, Harry, dit Lockhart à travers ses dents étincelantes largement exhibées. Toi et moi, on va faire la une. Mais au faite, il parait que les potter ne sorte jamais seule, où est donc ta soeur

Je reste dans les escaliers dans l'espoir que personne ne me vois et hermione qui semble être une grande fan de cette écrivain se dépêcha de me repérer et de me montrer du doigt

- la haut

- mince.

Destin différent : pétrification Where stories live. Discover now