Destin différent : pétrification

L'héritier de serpentard.

Le lendemain, il faisait un soleil radieux et une petite brise rafraîchissait l'atmosphère.

—Un temps idéal pour un match de Quidditch ! s'exclama Dubois avec enthousiasme en attaquant son petit déjeuner.

Harry n'avait cessé d'observer les visages des élèves de Gryffondor rassemblés autour de la table en se demandant si c'était vraiment l'un d'eux qui avait volé le journal intime mais visiblement il ne m'avait pas tous dit

Hermione l'avait incité à signaler le vol, mais
Il n'aimait pas trop cette idée. Je pense que d'expliquer qu'un journal vieux de cinquante ans qui te répond quand tu écris, doit être pas forcément bien vu non plus.

Lorsqu'il quitta la Grande Salle en compagnie de Ron et d'Hermione pour aller chercher son équipement de Quidditch je me mît avec Jason et riri pour aller chercher nos banderoles pour soutenir mon frère seulement, arrivé dans le couloir je fût étonné d'entendre à nouveau cette voix

—... Tuer, cette fois... déchirer... écorcher...

—La voix !Je viens encore de l'entendre. Pas vous ?
Riri , les yeux écarquillés, fit « non » de la tête. Et jay me regarda comme si  il avait compris quelque chose.
—Attendez, lena. Cette voix, toi tu l'entend et Harry l'entend.

- oui? Dit je en cherchant d'où provenait la voix

-  et quel est votre autre point commun ?

- on est jumeau

- pas ça , bref je vais aller chercher hermione pour lui en parler je vous retrouve pour le match.

Je ne trouverais pas le monstre et de toute façon j'allai être en retard.

Les deux équipes s'avancèrent sur la pelouse dans un tonnerre d'applaudissements. Madame Bibine lâcha les balles tandis que les joueurs de Poufsouffle, vêtus de robes jaune canari, écoutaient les conseils de dernière minute de leur capitaine.

Harry venait d'enfourcher son balai lorsque le professeur McGonagall traversa soudain le stade, moitié marchant, moitié courant.
Elle avait à la main un énorme mégaphone violet.

- Le match est annulé, annonça le professeur McGonagall dans le mégaphone.

Une explosion de cris et de huées monta aussitôt des gradins. Olivier Dubois, l'air atterré, se précipita vers le professeur McGonagall sans prendre la peine de descendre de son balai.

De là où j'étais je ne comprenais pas de quoi ils parlaient

Le professeur McGonagall ne lui prêta aucune attention et continua de crier dans son mégaphone.

—Tous les élèves doivent immédiatement retourner dans leur salle commune où il leur sera donné de plus amples informations. Dépêchez-vous, s'il vous plaît !

Elle fit alors signe à Harry de la suivre.

—Potter, il vaut mieux que vous veniez avec moi, dit-elle.

En se demandant de quoi on pouvait bien le soupçonner cette fois, Harry vit Ron se détacher de la foule des élèves en colère et courir vers lui.  Et d'un signe de tête je fit signe à riri de suivre le mouvement. A notre grande surprise, le professeur McGonagall nous autorisa à les accompagner au château.

—Il vaut mieux que vous veniez aussi, dit-elle.

Les réactions étaient partagées parmi les élèves qui les entouraient : certains protestaient ouvertement contre l'annulation du match, d'autres avaient l'air inquiet.

Nous suivons le professeur McGonagall dans l'escalier de marbre, mais, cette fois, ce n'était pas dans un bureau qu'on les emmenait.

—Vous allez avoir un choc, avertit le professeur d'une voix étonnamment douce.