La beuglante

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Quand on est arrivé à la salle commune de gryffondor j'ai vu que tous le monde accueillait les deux imbecile avec fierté. La rumeur avait déjà fait le tour de l'école ron weasley et Harry Potter en route pour poudlard dans une voiture volante. J'ai dû obliger harry à aller dans sa chambre.

Mais le lendemain matin les choses furent bien différent. Malgré leur entrée étonnante.  Tous le monde semblai avoir déjà décidé que c'était pas assez important pour en parler pendant vingt ans

Les quatre longues tables, une pour chaque maison, débordaient de porridge, de harengs, de toasts, d'œufs au plat qui s'offraient à l'appétit des élèves sous le ciel magique, plutôt gris et couvert ce jour-là.

Hermione qui avait posé son exemplaire de Voyages avec les vampires debout contre le pichet de lait pour pouvoir le lire à son aise. Son ton était un peu froid lorsqu'elle  dit « Bonjour » au deux imbecile . Apparemment, elle ne leur avait pas encore pardonné leur escapade en voiture volante.  Ce qui me fait mourir de rire

Neville Londubat, en revanche, les salua avec chaleur , il vont s'installer à mes côtés et commença à me parler des cour de botanique qui n'avait pas encore commencé.
- tu ne veux pas parler d'autre chose? J'ai pas bien dormi cette nuit alors j'ai un peu mal à la tête.

— d'accord  ,Le courrier ne va pas tarder, dit-il. Ma grand-mère doit m'envoyer quelques petites choses que j'ai oubliées à la maison.

- ton rappel tout ? Encore ?

- très drôle.

Je n'eut pas le temps de rajouter quoi que se soit qu'il y eut soudain un grand bruit d'ailes au- dessus de nos tête : une bonne centaine de hiboux venaient de s'engouffrer dans la Grande Salle en tournoyant au-dessus des tables pour laisser tomber lettres et paquets entre les mains de leurs destinataires. Un gros colis rebondit sur la tête de Neville et un instant plus tard une grande chose grise tomba dans le pichet d'Hermione en éclaboussant tout le monde de lait et de plumes.
—Errol ! s'écria Ron en attrapant par les pattes le hibou amorphe et ruisselant.
Errol, inanimé, s'effondra sur la table, les ailes écartées, les pattes en l'air. Il tenait dans son bec une enveloppe rouge vif.

—Oh, non... balbutia Ron.

—Ne t'inquiète pas, il est toujours vivant, le rassura Hermione en caressant l'oiseau du bout des doigts.

—Ce n'est pas de ça que je parle... Regarde !

Ron montrait du doigt l'enveloppe rouge vif. Je ne lui trouvait rien de particulier mais Ron , riri et Hermione la regardaient d'un air affolé, comme s'ils s'attendaient à la voir exploser d'un instant à l'autre.

—Qu'est-ce qui se passe ? demanda Harry.

Moi aussi je voulais savoir...

—Elle... elle m'a envoyé une Beuglante, dit Ron d'une voix faible.

—Tu ferais mieux de l'ouvrir tout de suite, murmura timidement Neville. Sinon, ce sera pire. Ma grand- mère m'en a envoyé une un jour, je ne l'ai pas ouverte et... ça a été horrible.

—C'est quoi, une Beuglante ? demandaitje completement paumer

Mais l'attention de Ron était entièrement concentrée sur la lettre qui laissait échapper des filets de fumée aux quatre coins.

—Ouvre-la, lui conseilla Neville. Tout sera terminé dans quelques minutes.

Ron tendit une main tremblante, prit l'enveloppe dans le bec d'Errol et l'ouvrit.

Neville se boucha aussitôt les oreilles. Un instant plus tard, Nous avon finit par comprendre pourquoi: un rugissement féroce retentit dans l'immense salle en faisant tomber de la poussière du plafond.

... VOLER LA VOITURE ! ÇA ME M'AURAIT PAS ÉTONNÉ QU'ILS TE RENVOIENT ! ATTENDS UN PEU QUE JE T'AIE SOUS LA MAIN ! J'IMAGINE QUE TU NE T'ES PAS DEMANDÉ DANS QUEL ETAT D'INQUIÉTUDE ON ÉTAIT, TON PÈRE ET MOI QUAND ON A VU QUE LA VOITURE AVAIT DISPARU !...

Les hurlements de Mrs Weasley, cent fois plus puissants que d'habitude, faisaient trembler les assiettes et les cuillères et se répercutaient en échos assourdissants sur les murs de pierre.

Tous les élèves s'étaient tournés vers eux pour voir qui avait reçu la Beuglante et Ron s'était tellement tassé sur sa chaise qu'on ne voyait plus que son front écarlate dépasser de la table.

... REÇU UNE LETTRE DE DUMBLEDORE HIER SOIR ! J'AI CRU QUE TON PÈRE ALLAIT MOURIR DE HONTE ! ON NE T'A PAS ÉLEVÉ PENDANT TOUTES CES ANNÉES POUR QUE TU TE CONDUISES COMME ÇA ! HARRY ET TOI, VOUS AURIEZ PU VOUS TUER....ABSOLUMENT INDIGNÉE ! TON PÈRE RISQUE UNE ENQUÊTE DU MINISTÈRE ! C'EST ENTIÈREMENT TA FAUTE ET SI JAMAIS TU REFAIS LA MOINDRE BÊTISE, TU REVIENS IMMÉDIATEMENT À LA MAISON !

Le silence retomba, encore imprégné de fureur. L'enveloppe rouge qui avait glissé des mains de Ron prit soudain feu et fut rapidement réduite en cendres. Harry et Ron semblaient assommés, comme si un raz-de- marée les avait brusquement submergés. Quelques élèves éclatèrent de rire et, peu à peu, les conversations reprirent.

Je souffle un instant et réveille doucement mon frère de sa torpeur.

Hermione referma Voyages avec les vampires et baissa les yeux vers Ron dont on ne voyait toujours que le sommet du crâne.

—Je ne sais pas à quoi tu t'attendais, Ron, mais tu...

—Ne me dis pas que je l'ai bien mérité ! répliqua Ron sèchement.

Harry repoussa son assiette de porridge.

Mr Weasley risquait de faire l'objet d'une enquête. Après tout ce que les parents Weasley avaient fait pour nous  durant l'été je comprenais qu'il se mettent à culpabiliser.
Mais il n'eut guère le temps de ruminer davantage : le professeur McGonagall était venue distribuer les emplois du temps de l'année. Je  prit le miene vu que nous allons commencer par un cours commun de botanique avec les Poufsouffle.

Je quitte donc la salle commune accompagné de neville vu que riri parlai avec jason.

Lorsque l'oncle devant les serres, le reste de la classe était déjà là, attendant le professeur Chourave. Quelques instants plus tard, Chourave traversa la pelouse à grands pas, en compagnie de Gilderoy Lockhart. Le professeur de botanique avait les bras couvert de bandages.

Le professeur Chourave était une petite sorcière potelée, coiffée d'un chapeau rapiécé sur ses cheveux en désordre. Ses vêtements étaient souvent maculés de terre et l'état de ses ongles aurait fait s'évanouir la tante Pétunia.

Gilderoy Lockhart, en revanche, était impeccable dans sa robe de sorcier turquoise, avec ses cheveux dorés qui brillaient sous un chapeau également turquoise, bordé de fils d'or.

—Bonjour, tout le monde ! lança Lockhart en adressant aux élèves un sourire radieux. Je viens de montrer au professeur Chourave comment il fallait s'y prendre pour soigner un saule cogneur ! Mais n'allez surtout pas vous mettre dans la tête que je suis meilleur qu'elle en botanique ! Il se trouve simplement que j'ai souvent rencontré ce genre de plantes exotiques au cours de mes voyages...
—Serre numéro trois, aujourd'hui ! dit le professeur Chourave qui avait perdu sa gaieté habituelle et paraissait de très mauvaise humeur.

Se prof de défense m'énerve

Destin différent : pétrification Where stories live. Discover now