Un Halloween festif

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Ainsi, à sept heures du soir le soir d'Halloween au lieu de se rendre dans la Grande Salle, Harry, Ron riri , Jason et Hermione prirent la direction des cachots en me traînant avec eux

L'étroit passage qui menait à l'endroit où se passait la fête de Nick Quasi-Sans-Tête était éclairé par des chandelles fines et noires dont la lueur bleuâtre leur donnait à eux aussi l'aspect de fantômes. Il faisait de plus en plus froid à mesure qu'ils avançaient. Bientôt, ils entendirent un son épouvantable, comme des centaines d'ongles crissant sur un énorme tableau noir.

—C'est de la musique, ça ? murmura Ron.

Derrière un angle du couloir, ils virent soudain Nick Quasi-Sans-Tête qui se tenait dans l'embrasure d'une porte tendue de draperies noires.

—Mes chers amis, dit le fantôme d'un ton lugubre, soyez les bienvenus... Je suis si content que vous soyez là.

Il ôta son chapeau à plume et nous invita à entrer en s'inclinant devant nous.
Un spectacle stupéfiant s'offrit alors à nos yeux. Des centaines de silhouettes translucides, d'une couleur gris perle, glissaient autour d'une piste de danse bondée où d'autres formes spectrales valsaient au son terrifiant d'une trentaine de scies musicales jouées par des musiciens rassemblés sur une estrade tendue de noir. Au plafond, un lustre formé d'un bon millier de chandelles noires diffusait une lumière d'un bleu éclatant.

—Allons jeter un coup d'oeil, suggéra Harry qui voulait se réchauffer les pieds.

—Fais attention de ne traverser personne, dit Ron d'une voix inquiète.

C'est vrais qu'il faudrait éviter, les fantômes sont trop susceptibles.

On continue donc notre chemin.  En passant devant une dizaine de fantôme.

—Oh non, dit Hermione en s'immobilisant. Vite, demi-tour, je ne veux pas parler à Mimi Geignarde...

—Qui ça ? dit Harry tandis qu'ils revenaient précipitamment sur leurs pas.

En voyant le fantôme en question je me mît derrière harry pour éviter qu'elle me voit. La seule fois où je suis allé dans ses toilettes j'ai finis insulter

—Elle hante les toilettes des filles, au deuxième étage, continua riri, tu te rappel l'an dernier quand elle a commencé à se plaindre a Léna et qu'elle à finit par s'enfuir jusqu'au lac.

—Les toilettes ?

—Oui. Elles ont été inutilisables pendant toute l'année parce qu'elle n'arrêtait pas de piquer des crises en provoquant des inondations. Je n'y vais jamais tant que je peux l'éviter. C'est terrible d'aller aux toilettes et de l'entendre gémir sans arrêt...

—Regarde. A manger, dit Ron.

- où ça!? Fit ma meilleure amie qui semblait avoir autant d'appétit que le rouquin

De l'autre côté du cachot, une longue table était recouverte de velours noir. Ils s'en approchèrent d'un air gourmand mais se figèrent soudain sur place avec une grimace horrifiée. L'odeur qui se dégageait du buffet était horrible

De gros poissons pourris s'étalaient sur des plats d'argent, entre des amoncellements de gâteaux brûlés comme du charbon. Il y avait aussi un énorme hachis grouillant de vers et un morceau de fromage couvert de moisissure verdâtre. Au milieu de la table, à la place d'honneur, se dressait un gigantesque gâteau en forme de pierre tombale sur lequel était écrit en lettres noires :

Sir Nicholas de Mimsy-Porpington mort le 31 octobre 1492

—Il vaudrait mieux qu'on ne reste pas trop près, dit Ron. J'ai mal au cœur.

Destin différent : pétrification Où les histoires vivent. Découvrez maintenant