𝐈𝐈 | 𝐏𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐚̀ 𝐛𝐨𝐫𝐝.

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Améthyste

Samedi 25 septembre, 16h28, Strasbourg.

J'étais en train de me préparer pour la soirée au bar ce soir.

Judith voulait absolument que je porte la robe que j'avais achetée deux jours plus tôt bien que je n'ai jamais aimé porter ce vêtement.

Ma robe est une couleur verte et elle fait ressortir mes yeux de couleur émeraude. Les mêmes yeux de ma mère.

J'ai toujours aimé mes yeux car, je me sens unique.

Une couleur qui n'est pas souvent vue mais une très belle couleur.

Riley venait de rentrer de son service, son collègue venait de le remplacer afin que ce soit sa soirée, et aussi pour qu'il m'accompagne.

Il rentra dans ma chambre, j'étais devant la coiffeuse, le maquillage sorti. Je voulais me faire belle pour moi.

Rien que pour moi.

Et non pour attirer les hommes bourrés ou pervers qui allaient rôder jusqu'à tard dans la nuit.

Riley s'approche de moi en laissant une certaine distance afin de m'admirer. Il m'a toujours trouvé très belle, surtout que je suis son style mais il n'a jamais rien tenté avec moi.

Il ne veut pas ruiner notre si belle amitié.

Je me lève puis je me fais tourner sur moi-même afin qu'il puisse m'admirer.

Il reste bouche-bée devant mon élégance, c'est très rare que je m'habille ainsi, alors il en profite pour se rincer l'œil.

- tu es magnifique Améthyste, tu vas faire tourner la tête de tous les hommes ! Me dis Riley tout en me souriant.

- Je sais, mais je veux me faire belle pour moi et non pour les autres. Lui fais je la remarque.

Il se penche vers moi pour me donner un simple baiser sur la joue avant de partir de ma chambre.

Il allait se préparer aussi pour la soirée.

Une heure après, il est fin prêt et nous allons pouvoir y aller avec sa voiture. Il avait formellement dit que je pouvais boire mais pas finir bourrer vu que j'allais me plaindre le lendemain. Et il déteste quand je me plains de quelque chose.

Nous sortîmes de chez moi et nous rentrâmes dans sa voiture.

Riley prend la direction du bar mais les ruelles sont bondées de voitures. Les personnes sortent le samedi soir.

Surtout dans les grandes villes.

Il finit par trouver une place non loin du bar et nous sortîmes en allant dans la direction de la ruelle.

Il me prit la main afin qu'on reste ensemble pour qu'aucun de nous deux ne se fasse kidnapper.

C'était redevenu à la mode depuis plus d'un an et demi.

Je n'aimais pas rentrer le soir toute seule chez moi alors qu'à n'importe quel moment je pouvais me faire kidnapper.

Mais heureusement pour moi, je sais me battre ou même me servir d'une arme à feu.

Nous poussons les grandes portes en verre du bar et nous voyons qu'il y a du monde.

Il y avait du monde sur la piste, au bar et d'autres dans la salle de jeux.

Judith se précipite sur nous et elle nous tend deux verres de mojitos.

Puis elle nous emmène dans la salle de jeux privée, il n'y a toujours que des fils à papa ou bien des hommes riches.

FALL IN LOVE IN OCTOBERWhere stories live. Discover now