𝐀𝐌𝐎𝐑𝐄 𝐄𝐓𝐄𝐑𝐍𝐎

Chapitre 6

bonne lecture mes stars 🌹

⁓ chapitre 6 ⁓

ELYO RIZZO

Sicile, Italie.

28.08.23.

10h00.

Je rentre dans la voiture après avoir déposé Valentino à la nouvelle villa, dans moins d'un quart d'heure, je ferais la connaissance de Rosa, si par chance elle est jeune, j'essayerais de la séduire pour avoir des informations, et si c'est une vieille... Mon visage ne se froisse rien que d'y penser.

Beurk, je déteste les femmes, je ne sais même pas si j'y arriverai même si c'est une jeune, et quand je dis jeune, je pense 28-29 ans ça m'étonnerais qu'elle soit plus jeune

La voix du GPS retenti dans la voiture pour m'indiquer qu'il faut tourner à droite puis continuer tout droit pour arriver à destination.

5 minutes plus tard, je suis devant un grand portail noir avec deux gardes, les deux s'approchent de ma voiture en sortant leurs armes pour ensuite toquer sur ma vitre pour que j'abaisse, ce que je fis sans broncher.

- tu fous quoi ici ? me demande lui au crâne chauve.

- Je viens pour votre chef.

Il tourne la tête pour regarder son collègue, puis prend son talkie-walkie de son jean

- Qui Alessio, c'è un ragazzo che finge di vedere el capo.

( ici Alessio, il y a un gars qui prétend voir la chef )

Pourquoi il parle italien cet abruti ? Je pense qu'ils ne savent pas que je comprends leur langue ces trous du cul.

- ignor Jones, è il nuovo mercenario, fatelo entrare, dit une voix aiguë du talkie-walkie.

(C'est monsieur Jones le nouveau mercenaire, laisse le entrée)

Le chauve fait un signe de tête à son collègue pour ouvrir le grand portail, une fois ouvert, je roule quelques mètres et fais face au manoir qui émergeait derrière les grands arbres sur un chemin de terre.

Devant le manoir, il y a une grande fontaine autour de celle-ci il y a 2,3 trois voitures, je me gare juste accoter d'une belle Porsch noire, je ne sais pas à qui appartient cette voiture, mais il a des bons gouts.

Je m'avance jusqu'aux grandes marches, je les grimpe avec un étrange pressentiment, mais je ne sais pas dire lequel.

L'ambiance, peut-être me dis-je en jetant un regard circulaire sur les grandes étendus de verdures et de forêt qui encerclaient le manoir.

Je quitte le paysage des yeux pour regarder cette fois-ci la grande porte devant moi, je lève ma main pour sonner, mais la grande porte lourde et boisée d'un bois très noir s'ouvre sur une dame âgée d'une quarantaine d'années à vu d'oeil. 

-Buongiorno signor Jones, per favore entri, dit-elle en s'écartant pour que je pénètre dans les lieux.

(Bonjour monsieur Jones, veuillez entrer)