Chapitre 5 la goute d'eau qui a fait déborder le vase

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    Ce chapitre contient des scènes qui pourraient heurter la sensibilité de certaines personnes 


J'ai déménagé et j'ai passé cette dernière année à travailler comme une dingue pour oublier mes peines, afin d'alléger cette lourdeur dans ma poitrine ; je me demandais depuis combien de temps ils me trompaient, ou le faisaient-ils, quand et comment j'allais devenir folle, et ce qu'il me rendait furieuse c'est le fait de penser à eux tendis qu'ils vivaient leur vie avec leur enfant.

J'ai fait du très bon travail à l'hôtel, surtout du coté marketing, malgré qu'on avait que quelques chambres elles étaient tout le temps occupées.

Le jour de mon 30 ème anniversaire j'ai décidé d'aller auprès du fleuve pour passer quelques instants seule pour me vider l'esprit et me reposer un peu, au moment du crépuscule, oncle jaque m'a prévenu la veille de ne plus prendre de réservations, et qu'il allait rénover l'hôtel, et qu'il sera fermer pour un certain temps, ce qui m'a semblé blizzard d'ailleurs, l'hôtel était en très bon état.

C'était le printemps il faisait très beau, j'ai enlevé mes ballerines et j'ai plongé mes pieds dans l'eau fraîche, d'habitude il n y a presque personne qui vient dans cet endroit à ce moment de la journée parce qu'il est caché par un grand rocher, ça demande un peu de force pour l'escalader et de se retrouver de l'autre coté de la rive ;

Au moment du retour j'ai entendu un bébé qui rigolait, je me suis retournée et la j'ai vu un petit garçon de 2 ans environ qui jouait au ballon, et une femme qui courait derrière lui, mon cœur a faillit s'arrêter, c'était Juliette avec son fils, j'ai fait demi tour et commencé à courir, mais je me suis arrêtée d'un coup sec; pourquoi  m'en fuir c'est à elle de le faire, à ce moment la je l'ai entendu dire :ça fait un bail !!!!

Je lui ai répondu sèchement tout en me retournant : qu'est ce que tu veux Juliette ?( mon cœur frappait très fort)

Juliette qui a croisé ses bras,  elle me regardait de bas en haut avec un air moqueur, je n'ai jamais remarqué au par-avant cette méchanceté qui se dégageait d'elle ; Alors comme ça tu habite à l'hôtel, je suis sure que tu ne supportais plus de me voir heureuse avec monnnnnnnnnn mariiiiiiiiii (elle a bien serré ses dents en parlant).

Je l'ai regardé étonné : pour quoi toute cette méchanceté et cette haine qu'est ce que je t'ai fait Juliette ? Je croyais qu'on était amies, je ne comprends rien, comment tu as osé me trahir, aboyai-je.

Elle m'a interrompu : arrêtes de faire la sainte ni touche, j'avais mare que tu me manipules, j'étais comme une chienne qui te suivait partout ou tu allais, et ne crois pas que je ne voyais pas clair dans ton jeu, tu me donnais tes trucs et tes affaires affin que tu puisses avoir de l'autorité sur moi.

J'étais comme droguée, j'étais  tombée des nues, comment pouvait elle pensait des trucs pareils, je n'ai jamais ressenti cela quand on était amies, elle continuait à parler;  l'essentiel qu'Eric m'aime, et il ne voyait en toi qu'une banque qu' il exploitait quand il le voulait, tu sais la première fois qu'on t'a trompée tu étais sous la douche, nous étions juste à coté dans ta chambre, et à chaque fois c'était pareille, tu n'étais jamais très loin, nous sommes ensemble depuis le 3 eme mois de ton mariage, il ne t'aimait pas et ne voulait surtout pas avoir d'enfant avec toi il te mettait de la pilule contraceptive dans le verre de lait qui te servais chaque nuit avant que tu ne t'en dormes, mais regardes notre fils il est bien la c'est une preuve que c'est moi qu'il aime.

J'avais envie de vomir mon estomac s'est crispée, ma respiration devenait lente, mais j'ai réussi  à lui glisser deux mots : tu m'as dit que tu te sentais comme une chienne qui me suivait par tout et ben figures toi que tu l'es réellement parce que tu as prix mes restes;  ce que j'ai jeté mon ex mari.

Je me suis vite retournée je sentais des centaines de poignard qui me transperçaient le cœur ; je me suis éloignée très vite, et quand j'ai ouvert mon sac pour retirer un mouchoir pour essuyer mes larmes, j'ai aperçu les clés de ma maison, et une idée monstrueuse m'a traversé l'esprit ;

Arrivée chez moi je me suis directement dirigée vers la boite à pharmacie, j'ai retiré la boite de médicaments de papa celle qui le soulageait de la morphine, je n'ai même pas vérifié la date de péremption, je voulais juste en finir avec cette maudite vie, comment peut on vivre avec des gens pareils, je n'ai pas été seulement trahis, ils me prenaient pour une connasse une idiote de première classe, et pendant que je cherchais l'eau pour ingurgiter les pilules, j'ai eu la présence d'esprit une voix qui me disait dans ma tète ; personne ne sais que je suis ici et oncle Jaque ne se doutera jamais que je suis la donc si  je me suicide ici mon corps va se décomposer et je vais pourrir y aura des verts par tout.....berque !!!! Non je ne ferai pas plaisir à ces deux con, je vais me tuer à l'hôtel comme ça oncle Jaque me fera des obsèques dignes, je le mérite.

J'ai pris les médicaments et je suis rentées directement.

Des que j'ai passé le seuil de la porte oncle Jaque a commencé à m'appeler : viens Rose vite j'ai vraiment besoin de toi.

Je lui ai répondu : pas maintenant je suis vraiment épuisée et...............

Oncle  m'a tenu par la main, il m'a traîné jusqu' à  la grande cuisine : écoutes c'est très important, je ne savais pas qu'il allait venir ce soir, donc j'ai fais partir Jij, Paul et lise, y a que toi et moi .....

Je l'ai interrompu : attends un peut qu'est ce tu raconte qui va venir et pour quoi tu as fait partir tout le monde je ne comprends rien ????

Ecoute, c'est pas vrai je ne vais pas rénover l'hôtel, il y a une personne très importante qui va venir rester quelque temps ici , mais il a exigé que l'hôtel soit vide rien que moi et son major d'homme, mais comme je ne sais pas cuisiner et je ne parle pas anglais je te garde avec moi, iil chuchotait comme ci quelqu'un nous espionnait.

Je l'ai encore interrompu :  tu sais bien que je déteste faire la cuisine

Jaque : mais au moins tu sais le faire!

J'allais répliquer mais pourquoi le faire je serai morte d'ici demain.

Oncle jaque était anxieux, il tournait comme une toupie, avant de partir Jiji la cuisinière a préparé le repas et lise la femme de chambre a préparé les chambres, il a bien dit que l'homme parlais anglais donc ça doit être un British, mais le fait qu' oncle Jaque est monopolisé tout l'hôtel rien que pour lui ça doit être une personne importante, j'étais curieuse de le voir, alors j'ai décidé de reporter mon suicide pour plus tard.

A minuit moins vingt un taxi s'est arrêté devant l'hôtel je regardais derrière les rideaux, oncle Jaque a commencé à crier : Rose descends, viens vite ils sont la!!!

le malfaiteur qui a chamboulé ma vieWhere stories live. Discover now